2005-2025: 20 ANS D'INFORMATION SUR LE CENTRE ET LE CENTRISME

jeudi 27 mars 2025

La Quotidienne centriste du 27 mars 2025. Trump: tout ce qui se passe était prévisible, aucun de ses électeurs ne peut dire qu’il ne savait pas


Les électeurs américains ont majoritairement voté pour Donald Trump.

Aucun de ceux qui l’ont choisi pour être leur président ne peut dire qu’il ne savait pas ce qui allait arriver et que nous avons devant nos yeux consternés quotidiennement.

C’est bien la démocratie qui a pris une claque dans la figure en permettant une nouvelle fois à un escroc de la rouler dans la farine grâce au peuple.

La dernière frasque de son administration est d’avoir planifier par téléphones portables une attaque contre les Houthis que tout le monde pouvait intercepter et dont un journaliste a été ajouté à la conversation à la suite d’une erreur d’un des participants alors que les informations échangées étaient classifiées ultra-secrètes!

Et dire qu’Hillary Clinton a sans doute perdu l’élection de 2016 à cause d’une fake news prétendant qu’elle avait utilisée son ordinateur pour envoyer des messages avec des informations secrètes…

Mais cet épisode est un épiphénomène devant le mélange d’incompétence et d’idéologie extrémiste avec laquelle les Etats-Unis sont gouvernées.

On le voit avec le plan économique qui va provoquer une récession selon l’ensemble des économistes.

On le voit dans les négociations avec Poutine où la méconnaissance du dossier de l’invasion de l’Ukraine, de la situation de la Russie et des enjeux stratégiques risquent de conduire au désastre.

On le voit avec la volonté d’annexer le Canada et le Groenland où, au-delà d’une vision impérialiste d’un autre âge couplée avec les images d’Epinal de la conquête de l’Ouest, Trump est en train de se fâcher avec deux des plus sûrs alliés des Etats-Unis.

Et l’on pourrait continuer la liste des méfaits tant en matière de politique intérieure où l’inflation s’emballe et les épidémies menacent faute de campagne de vaccination qu’en matière de politique extérieure où le renforcement des ennemis des Etats-Unis et l’affaiblissement de ses alliés devraient conduire Trump tout droit vers la case destitution…

Peut-être que les électeurs américains ne voulaient pas voter pour ça mais alors il leur suffisait de se rappeler les quatre ans de sa première présidence et de l’écouter parler.

Plus profondément, on est en droit que questionner les failles dans la construction du projet démocratique non seulement aux Etats-Unis mais dans l’ensemble du monde libre.

 

[Retrouvez quotidiennement ce billet rédigé par l’équipe du CREC concernant l'actualité du jour] 

 

 


Propos centristes. Union européenne – Pologne: renforcement des capacités de défense / Italie: pour une défense européenne / UE: stratégie pour mieux anticiper les risques / UE: Renforcer la résilience démocratique / La Hongrie doit respecter l’Etat de droit…


Voici une sélection, ce 27 mars 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne.

► Institutions européennes
● Commission européenne (commissaires centristes)
[Nota: les propos tenus par les commissaires européens français sont à lire dans Propos centristes France]  
Kaja Kallas (vice-présidente, haute représentante pour les affaires étrangères et la politique de sécurité)
> Honorée de rencontrer le Prix Nobel de la Paix Denis Mukwege. Son travail à l'hôpital de Panzi en République démocratique du Congo a donné de l'espoir à d'innombrables survivantes de violences sexuelles en zone de conflits. La dignité humaine doit être défendue partout dans le monde.

> L’Europe doit être prête à toute menace, à tous les niveaux de la société. Aujourd’hui, nous présentons une stratégie pour mieux anticiper les risques et préparer la réponse, renforcer la coopération civilo-militaire et travailler en étroite collaboration avec nos partenaires. Parce que la meilleure façon de faire face aux menaces est de les devancer.

> La priorité est maintenant que le cessez-le-feu soit rétabli et que l’aide humanitaire revienne à Gaza. Notre mission EUBAM Rafah est prête à reprendre ses activités de surveillance au point de passage de Rafah.

> Mon message en Israël aujourd’hui : dans une nouvelle guerre, les deux parties perdent. Le Hamas doit libérer tous les otages et Israël doit réintégrer pleinement l’aide humanitaire à Gaza. Les négociations doivent reprendre.

> Au Caire, j’ai rejoint le comité ministériel arabo-islamique pour discuter de la situation à Gaza. Nous avons condamné la reprise des hostilités et appelé à la reprise urgente de l’aide humanitaire. La solution à deux États est la seule voie vers une paix durable.

> L’UE et l’Égypte sont des partenaires importants. Notre coopération s’est considérablement approfondie depuis la signature du Partenariat stratégique et global l’an dernier. Aujourd’hui au Caire, nous avons discuté de la situation à Gaza et en Syrie.

 

Michael McGrath (commissaire à la démocratie, à la justice et à l’état de droit)
> Se préparer, c’est aussi renforcer la résilience démocratique de nos sociétés. Nous sommes tous les jours témoins d’attaques contre nos systèmes démocratiques - allant de la désinformation à la manipulation et l’ingérence des informations étrangères. Le bouclier européen de la démocratie vise à contrer ces menaces.

> Dialogue éclairé sur l’état de droit avec les médias. Les médias indépendants sont la pierre angulaire de la démocratie. Les journalistes doivent pouvoir travailler librement dans toute l’UE  Nous surveillons la liberté des médias dans tous les États membres et travaillons avec eux pour être prêts lorsque la Loi sur la liberté des médias s’appliquera à partir d’août.

> Très instructif premier dialogue sur l’état de droit avec les organisations de la société civile en Hongrie aujourd’hui. Dans tous les États membres de l’UE, la société civile joue un rôle important pour une démocratie florissante et le maintien de l’état de droit. Ils doivent être protégés et soutenus pour fonctionner sans effets de refroidissement.

> Le programme Citoyens, égalité, droits et valeurs (CERV) est essentiel pour promouvoir les valeurs de l’Union dans toute l’UE. J’ai échangé avec des organisations de la société civile financées par le CERV en Hongrie. Leur travail fait une différence dans la vie des gens et met les fonds de l’UE au service des besoins les plus pressants.

> J’ai eu une conversation ouverte avec Janos Boka, ministre des affaires européennes de la Hongrie sur les recommandations du rapport sur l’État de droit, dont le progrès est crucial. Nous avons également échangé sur la société civile et les médias indépendants. Il faut protéger les deux. Le droit de réunion pacifique est un droit fondamental qui doit être garanti.

> De plus en plus de gens, surtout des enfants, jouent à des jeux en ligne. Ils ont droit à une expérience de jeu juste et sûre, en particulier lorsqu’il s’agit de monnaies virtuelles dans le jeu.

 

Hadja Lahbib (commissaire à l’égalité et à la gestion des crises)
> Excellente discussion avec Thani Mohamed Soilihi le ministre français délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères chargé de la Francophonie et des Partenariats internationaux sur l'importance de fournir des réponses efficaces et complètes dans les contextes fragiles et affectés par les conflits. La solidarité européenne reste notre boussole. Unis, nous œuvrons pour un futur plus résilient et inclusif.

> [Remarques sur la stratégie de l'Union à propos de la préparation et de la gestion aux crises de ses citoyens]
450 millions de raisons d'être mieux préparées.
Les menaces d'aujourd'hui auxquelles l'Europe sont plus complexes que jamais, et ils sont tous connectés. Pendant trois ans en Ukraine, nous avons vu un champ de bataille de bombes et de balles, de drones et d'avions de chasse, de tranchées et de sous-marins.
Notre sécurité européenne est directement menacée par cela. Il est également menacé par d'autres champs de bataille. Les champs de bataille dans nos poches - nos téléphones - et nos ordinateurs, nos centrales, nos banques, nos chaînes d'approvisionnement, nos matières premières et dans les médias que nous consommons tous les jours. Ce sont tous des champs de bataille, et ils sont armés pour menacer notre mode de vie européen et nos démocraties.
L'Union européenne a deux façons de réagir: nous pouvons coller notre tête dans le sable et agir comme si cela ne se produisait pas. Ou nous pouvons regarder ces menaces carrément dans les yeux et dire: c'est la réalité, nous nous préparerons.
Depuis le début de mon mandat en tant que commissaire à la préparation, j'ai visité des pays ici en Europe et à mi-chemin du monde - Ukraine, Pologne, Italie, France et Bangladesh. Et plus tôt cette semaine, j'ai visité le port d'Anvers. J'ai vu de première main comment différents pays et emplacements se préparent aux urgences, selon la géopolitique ou leur emplacement géographique.
Être préparé est différent pour chaque pays. Il n'y a pas de «taille unique». J'ai échangé des idées et des meilleures pratiques avec les autorités locales et les experts sur le terrain. Ces échanges ont contribué à rendre cette stratégie concrète, ciblée et opérationnelle.
Dans l'UE, nous devons penser différents parce que les menaces sont différentes. Nous devons penser plus grand parce que les menaces sont plus grandes. Cette stratégie fait précisément cela, en exposant 30 actions concrètes. Nous mettons tout le monde à bord dans tous les secteurs - des gouvernements, des institutions et des entreprises aux communautés, aux citoyens et aux bénévoles.
Nous avons déjà de forts outils de réponse en crise, mais nous ne pouvons plus compter sur les réactions ad hoc. Nous devons être sur le pied avant - plus proactifs, plus coordonnés, plus systématiques, détectant les menaces plus tôt et agissant plus rapidement. C'est pourquoi nous créons un nouveau centre de coordination de crise de l'UE pour mieux coordonner lorsqu'une crise frappe. Ce centre s'appuiera sur l'expertise de notre centre de coordination des interventions d'urgence (ERCC) pour mieux soutenir les États membres dans la gestion des crises d'aujourd'hui.
Nous renforçons également notre mécanisme de protection civile de l'Union (UCPM), notre bouclier protecteur en cas d'urgence. Il coordonne l'aide, mobilise les équipes d'urgence et fournit une aide vitale lorsque les inondations, les incendies de forêt et d'autres catastrophes frappent. Nous l'avons fait en Espagne, en Irlande, au Mozambique, à Mayotte et tout récemment dans le nord de la Macédoine avec plus de 50 victimes de brûlures d'un incendie de boîte de nuit qui s'occupe des hôpitaux de l'UE. Lorsque nous recevons l'appel, nous partons.
Les demandes d'assistance ont augmenté plus de dix fois depuis le début de l'UCPM au début des années 2000, et les demandes augmentées pendant la covid19 et la guerre en Ukraine. Nous répondons non seulement en Europe, mais à travers le monde et pour de nombreux types de crises. Aujourd'hui, notre UCPM est plus important que jamais, et c'est pourquoi nous le rendons encore plus fort.
Dans cette nouvelle stratégie, nous renforçons également Resceu - notre filet de sécurité européen. Ces réserves stratégiques aident l'UE à réagir à tous les types d'urgence - avec des plans de lutte contre les incendies, des stocks d'équipements de médecine, d'énergie et de transport vitaux, et des actifs spécialisés contre les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires. Nous proposerons également une stratégie de stockage à l'échelle de l'UE pour assurer l'accès aux ressources critiques à travers l'UE. Notre resceu renforce nos capacités et fournit des équipes d'experts en urgences.
L'UE travaillera également avec les États membres pour s'assurer que les gens ont des fournitures essentielles pendant au moins 72 heures en crise. Nous impliquons également plus de jeunes. Des programmes comme Erasmus + et le European Solidarity Corps aideront à construire une nouvelle génération - conscient, formé et prêt à agir en cas d'urgence. Les jeunes ont également le savoir-faire pour repérer la désinformation. Tout cela rendra nos sociétés plus fortes et renforcera la confiance dans nos démocraties.
Il s'agit d'un moment unique pour la sécurité de l'Europe. Le renforcement de notre préparation sera une partie essentielle de cela. Lorsque nous nous préparons ensemble, nous sommes plus sûrs ensemble. Il est maintenant temps de se rendre au travail et de le mettre en action.

> Avec l’UNICEF, nous soutenons les personnes les plus vulnérables, touchées par le conflit à l'Est de la République démocratique du Congo. 44 tonnes d'aide de l'UE sont arrivées à Goma. 1600 familles bénéficieront d’abris, de kits d'hygiène et de couvertures.

> Consternée par la nouvelle d’une frappe aérienne sur le marché de Tora, au nord du Darfour, au Soudan, qui a fait des centaines de victimes civiles – dans un attentat qui pourrait s’avérer être le plus sanglant de cette guerre de deux ans. Je demande à nouveau le respect de la vie des civils.

> Le personnel de santé, les ambulances et les hôpitaux à Gaza ont été attaqués par Israël - encore une fois. Ces actes détruisent les efforts visant à sauver des vies. L’aide humanitaire doit se poursuivre. Les civils et les travailleurs humanitaires doivent être protégés. Le droit international humanitaire doit être respecté.

> Alors que le monde se concentre sur Gaza, la Cisjordanie occupée fait face à une violence sans précédent, au déplacement et aux besoins humanitaires croissants.
La destruction dans le camp de Jenin force un plus grand nombre de familles à quitter leurs maisons. Ces démolitions doivent cesser. La destruction systématique viole le Droit international humanitaire et ne peut être normalisée.

> En cette Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, nous sommes aux côtés de tous ceux qui sont confrontés au racisme. La lutte pour plus d’équité se poursuit.

> Alors que nous célébrons la Journée mondiale de l’eau, des dizaines de milliers de personnes sont coupées de l’eau dans le camp de Zamzam et El Fasher au Soudan, en raison d’un siège. Cette violation du Droit international humanitaire exige une action urgente! J’exhorte à la cessation des hostilités et à l’accès immédiat de l’aide humanitaire.

 

Marta Kos (commissaire à l'élargissement)
> En cette journée de la liberté en Biélorussie, je veux rendre hommage à l’esprit durable de ceux qui continuent de défendre la démocratie, les droits de l’homme et la dignité. Mes vœux les plus chaleureux à tous les Biélorusses qui aspirent à un avenir libre et meilleur. Votre bravoure ne passe pas inaperçue.

> Félicitations à la Macédoine du Nord et à l’Albanie pour avoir établi le rythme dans les Balkans occidentaux en recevant des préfinancements dans le cadre du plan de croissance de l’UE ! Cela devrait alimenter la mise en œuvre de réformes clés pour stimuler la croissance, améliorer la vie des citoyens et rapprocher les pays de l’UE.

> L’eau est un droit, pas un privilège. Saviez-vous que la Slovénie a été le premier pays de l’Union européenne à inclure le droit à l’eau dans sa constitution? À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, assurons-nous que l’eau favorise la prospérité et la paix, pas les crises.

 

● Parlement européen
♦ Renew Europe (groupe centriste et libéral au Parlement européen) 
[Nota: les propos tenus par les députés européens français sont à lire dans Propos centristes France]  
Anna-Maja Henriksson (députée)
> [Guide européen à la préparation et à la gestion aux crises, à envoyer à tous les ménages européens] Donner aux citoyens les moyens de s’instruire est l’un des moyens les plus efficaces de renforcer notre sécurité collective. Un guide paneuropéen de préparation fournirait des informations essentielles sur la sécurisation des approvisionnements de base, le maintien de la sécurité pendant les crises et la réponse aux cybermenaces. Le modèle finlandais de sécurité globale et de préparation nationale doit être déployé dans toute l’Europe, et la Commission européenne peut jouer un rôle en partageant les meilleures pratiques. En tant qu’Européens, nous sommes aussi résilients que notre maillon le plus faible.

 

Marie-Agnes Strack-Zimmermann (députée)

> [Défense européenne] L’Europe doit agir rapidement, de manière décisive et dans l’unité. Le Livre blanc identifie non seulement les menaces qui pèsent sur notre sécurité et notre liberté, mais il fournit également un ensemble concret d’outils que les États membres peuvent adopter immédiatement pour réagir à ces menaces. La voie est tracée et le moment d’agir est maintenant. »

 

► Pays membres de l’Union européenne
● Allemagne 
♦ FDP 
> Merz rejette clairement l'idée d'un allègement des charges pesant sur les travailleurs moyens. Promesse non tenue.

> Aujourd'hui, le 21e Bundestag allemand se constitue sans nous, les Libres Démocrates. Mais ce n'est pas un point final. C'est une virgule.

L'Allemagne a besoin d'une voix forte pour la liberté, le progrès & la raison.

Nous travaillons. Nous nous battons. Nous reviendrons.

> Frein à l'endettement rectifié, nouveau paquet de dettes adopté, pas d'accord sur les allègements fiscaux.... Friedrich Merz est encore à un succès de négociation de l'introduction d'un impôt sur la fortune.

> Pourquoi un seul ? La construction et les transports fusionnent.

- La santé, la famille et les affaires sociales fusionnent.

- Fusionner le ministère des Affaires étrangères et le développement.

- Fusionner l'économie et le travail.

Voilà comment fonctionne un Etat allégé et fonctionnel.

> Après des mois, le SPD renonce à son blocage inutile. Mais la défense de l'Ukraine ne doit pas non plus échouer à cause des livraisons d'armes. Le SPD doit maintenant lever son prochain blocage : L'Allemagne doit enfin livrer le missile de croisière Taurus.

 

● Belgique 
♦ Gouvernement
Maxime Prévot (vice-premier ministre et ministre des affaires étrangères, des affaires européennes et de la coopération au développement de la Belgique) 
> La détention récente du maire d’Istanbul İmamoğlu et les accusations portées contre divers élus, activistes politiques, représentants de la société civile et des entreprises, Depuis le début de l’année, les journalistes et d’autres émettent de sérieuses inquiétudes quant à l’adhésion de la Turquie aux principes démocratiques.
La Turquie est un partenaire essentiel pour la Belgique. Il est essentiel de maintenir des relations solides et la Belgique s’attend à ce que les autorités turques assurent une transparence totale et respectent l’application régulière de la loi dans toutes les procédures judiciaires.
En tant que pays candidat à l’UE et membre de longue date du Conseil de l’Europe, la Turquie doit respecter les normes et pratiques démocratiques les plus élevées pour favoriser la coopération avec ses partenaires européens, y compris la Belgique.

> La Belgique condamne les attaques contre les locaux du CICR et de l’ONU. Nous comprenons la décision difficile prise par Antonio Guterres de réduire le personnel des Nations Unies à Gaza.
Nous réitérons notre appel à Israël pour qu’il respecte le droit international humanitaire et permette l’accès humanitaire.
Les civils et les travailleurs humanitaires ne sont pas une cible.

> Avec le Premier ministre Bart De Wever, j’ai rencontré Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, pour discuter de l’avenir de la coopération multilatérale.
Dans un monde où la coopération internationale est de plus en plus mise sous pression, la Belgique continue de s’engager en faveur d’une ONU plus forte, plus efficace et plus efficiente. En investissant dans la diplomatie multilatérale, nous pouvons mobiliser des partenaires, défendre nos valeurs et trouver des solutions concrètes aux défis mondiaux, tels que la prévention des conflits, l’aide humanitaire et le développement durable. Des réformes sont nécessaires pour renforcer l’impact des Nations Unies, mais une chose est claire : les problèmes mondiaux ne se résolvent pas seuls. La Belgique reste un partenaire actif et fiable pour consolider l’ordre international.

 

♦ Les Engagés 
Yvan Verougstraete (président, député européen)
> Pour comprendre les évolutions géopolitiques et les vrais risques qui pèsent sur l’Europe, il me semble impératif de relire le livre «Unrestricted Warfare – Une nouvelle vision stratégique de la guerre », écrit en 1999 par deux colonels de l’armée chinoise, ce livre affirme une idée simple et dérangeante : la guerre n’a plus de limites.
Aujourd’hui, tout peut devenir une arme :
- cybersécurité
- finance
- médias
- droit international
- biotechnologies
- Energie
Les superpuissances ne sont plus invincibles. Les petits États, les groupes ou même les individus peuvent frapper... autrement.
Guerre économique, manipulations d’opinion, attaques invisibles en temps de « paix » : nous sommes déjà en terrain hostile et toute dépendance devient une faiblesse.
À lire non comme un manuel militaire, mais comme une grille de lecture du 21e siècle.

> Un permis de conduire numérique d'ici 2030.
Tous les pays de l'Union européenne devront introduire un permis de conduire numérique d'ici la fin de l'année 2030 : telle est la décision prise cette nuit par le Parlement européen et les États membres. C’est assurément une bonne nouvelle pour le citoyen, pour les forces de l’ordre, pour la justice et pour la sécurité routière.
Concrètement, les pays de l'UE devront introduire, d’ici 2030, un permis de conduire numérique accessible via un smartphone. Celui-ci sera reconnu par tous les États membres. Les citoyens qui ne souhaitent pas de permis numérique pourront toujours obtenir une version papier
Une bonne nouvelle pour les citoyens : votre permis toujours à portée de main ; un permis expiré pourra être réactivé numériquement. Cela représente donc moins de bureaucratie.
Une bonne nouvelle pour les forces de l’ordre qui, lors d’un contrôle, n’auront qu’à scanner le permis numérique, là où aujourd’hui, cartes et papiers anciens coexistent.
Une bonne nouvelle pour la justice. Un permis expiré pourra être désactivé numériquement immédiatement.
Actuellement, la personne concernée doit se présenter elle-même au greffe du tribunal lorsque son permis expire. Règles pour les jeunes conducteurs De nouvelles exigences seront également introduites pour les personnes souhaitant obtenir un permis de conduire dans l'UE. Tous les nouveaux conducteurs devront apprendre les dangers liés à l'utilisation du téléphone en conduisant, aux angles morts, à l'ouverture sécurisée des portes, aux systèmes d'assistance au conducteur (comme le régulateur de vitesse) ou encore la conduite sur des surfaces glissantes. De plus, une période d'essai d'au moins 2 ans sera imposée aux nouveaux conducteurs, pendant laquelle ils seront punis plus sévèrement pour des infractions telles que la conduite sous influence ou sans ceinture de sécurité Durée de validité et exigences médicales Les permis de conduire auront une durée de validité de 15 ans contre 10 actuellement dans de nombreux pays de l’Union. Les exigences médicales pour les conducteurs seront également harmonisées. Alcool au volant La proposition européenne encourage les États membres à la tolérance zéro mais en laissant totale latitude à chaque État de décider. La proposition pousse les États à adopter également des règles et/ou des sanctions plus strictes pour la conduite sous l'influence de l'alcool. Un bémol pour les touristes et les transfrontaliers Quand dans votre pays, l’accès à un permis B vous permettait de conduire un deux roues jusque 125cc, cette possibilité n’était valable que dans votre propre pays. Vous ne pouviez donc pas louer un deux roues dans un autre État membre. Cette absence d’équivalence n’a pas été corrigée ce que je regrette.
Conclusion L'accord sera formellement ratifié sous peu. Les pays de l'UE disposeront alors de quatre ans pour transposer les nouvelles dispositions dans leur législation nationale et se préparer à l'application des règles. Davantage de flexibilité et de confort, moins de bureaucratie et plus de sécurité sur nos routes. La décision prise est, sans conteste, une bonne nouvelle pour les citoyens européens.

> Sous l’impulsion de Gabriel Attal et Valerie Hayer, une centaine de leaders de 27 États de l’Union se sont réunis à Paris pour le Sommet pour la Démocratie et les Libertés. Lors de cette rencontre, notre objectif est de bâtir les fondements de ce que nous voulons être une Alliance solide pour la Démocratie, a fortiori au moment où l’Europe aborde un virage crucial pour son avenir. Avec tous ceux qui croient en la liberté, le progrès, et la démocratie, avec tous les élus nationaux, européens, nous devons nous rassembler pour défendre nos valeurs et nos principes.

> Il est toujours dangereux de prédire l’avenir… Mais le danger monétaire ne doit pas être sous-évalué. Comme je le dis déjà un petit temps déjà, la guerre monétaire pourrait être le prochain choc. Il est temps de se préparer!

> Aujourd'hui 21 mars, c'est la journée mondiale de la Trisomie 21. L'objectif de cet évènement international est de porter la voix des personnes atteintes du syndrome de Down afin de faire entendre leurs droits et faire valoir leur place dans notre société. Cette date est hautement symbolique en faisant une référence directe aux 3 chromosomes 21 à l'origine du syndrome et de la déficience intellectuelle des patients trisomiques 21. Oui à la différence, oui à une société inclusive, oui pour changer le regard sur la déficience mentale.

 

♦ DéFI 
François de Smet (député)

> L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal est emprisonné de manière arbitraire depuis son arrestation à sa sortie d'avion à Alger, le 16 novembre dernier. Boualem Sansal n'est pas n’importe quel écrivain: lauréat de plusieurs prix littéraires, notamment le grand prix de l’Académie française en 2015, c’est une figure intellectuelle importante. Il a été reçu plusieurs fois à Bruxelles. C'est quelqu'un qui compte dans le monde des idées, et qui compte dans le monde francophone. En Belgique aussi, nous devons nous saisir de ce dossier car il reflète une question de principe : emprisonner un écrivain c'est tenter de faire taire une voix libre et c’est attaquer la liberté d'expression. Cette détention est tout simplement insupportable. Après avoir posé des questions en commission aux ministres des affaires étrangères, j'ai rédigé une proposition de résolution afin que le Parlement belge prenne position. Je remercie Daniel Bacquelaine, du MR, d'avoir co-signé avec moi ce texte, en vue d'avoir une co-signature de la majorité et de l'opposition, et de dépasser tout positionnement partisan. Je demanderai ce jeudi en plénière la prise en considération de ce texte en urgence, en espérant être suivi par un nombre maximum de partis.

> Dans sa guerre contre la culture et les artistes, le MR passe des paroles aux actes. Nous combattons cette fin annoncée du statut d'artiste. Il est nécessaire à la vie culturelle et démocratique de ce pays.

> Le saviez-vous ? Le gouvernement Arizona [coalition gouvernementale] a prévu une taxe sur l'accès à la nationalité belge de 1.000 euros. Qu'on conditionne l'accès à la nationalité à un parcours d'intégration, à la maîtrise d'une des langues nationales, oui, bien sûr, ç'aurait même dû être fait depuis longtemps. Mais inventer la nationalité censitaire est stupidement dissuasif et vise à introduire un critère financier dans une question où elle ne devrait pas se trouver. Encore une concession de valeurs faite aux nationalistes.

> J'ai demandé au Premier ministre, supposé préparer une réforme de l'Etat, si la réflexion était vraiment sans tabou et s'il était donc prêt à envisager des refédéralisations de compétences. J'ai fourni un exemple précis: la santé. Secteur où la prévention n'est pas exercée par le même pouvoir (Communautés & Régions) que celui qui soigne (Fédéral). Il ne serait par exemple presque pas possible de faire un plan fédéral anti-tabac ou anti-alcool. Sans doute cela nous coûte-t-il de l'argent... et des vies. Cette refédéralisation était d'ailleurs au programme de nombreux partis, dont le MR et les Engagés; combien de fois ne les a-t-on pas entendus déplorer les fameux "neuf ministres de la santé" ? Eh bien, le Premier ministre a le mérite d'une réponse claire et franche: non, il n'y aura aucune refédéralisation parce que le premier parti de 'Arizona c'est la N-VA, et la N-VA ne veut pas. Le MR et les Engagés ont donc accepté le principe d'une réforme de l'Etat n'allant que dans un sens - le démantèlement de l'Etat fédéral. Au mépris de leurs promesses, et du mantra irréaliste qu'on peut gouverner avec les nationalistes sans en payer le prix.

> Echange avec Bart De Wever sur les projets institutionnels de l'Arizona [coalition gouvernementale]. Où le Premier ministre du Royaume de Belgique ne parvient pas à dire qu'il considère que la Belgique a une plus-value. Où il rappelle qu'il n'a en rien changé d'opinion et qu'il reste membre de la N-VA, parti qui souhaite détruire le pays. Et où, derrière un vernis d'humour très british, «what you see is what you get»: un Premier ministre nationaliste qui fera tout pour atteindre son but: démanteler le pays. Certes doucement, certes démocratiquement, certes avec le concours complice des Francophones MR et Engagés qui lui ont donné le pouvoir. Mais avec une détermination qu'il faut correctement mesurer. Et combattre.

> Dans le monde binaire de l’Arizona, évidemment, les choses sont simples: on coupe le robinet et ces personnes sans emploi vont par magie se transformer en enseignants en infirmières, en chauffeurs de bus, en aides boulangers, en guides touristiques, en assembleurs, électriciens, mécaniciens et soudeurs - je vous cite quelques-uns des exemples de la liste des métiers en pénurie. Mais dans le vrai monde ce n’est pas comme ça que ça se passe. Sur ces 100.000 personnes, il y a bien sûr quelques fraudeurs ou profiteurs. Mais il y a aussi des personnes qui cherchent du travail et n’en trouvent pas, ou n’ont pas les bonnes qualifications. Et c’est là que bât blesse dans votre projet. L’angle mort de votre politique de l’emploi porte un nom: la formation.

> Echange sur l'alimentation du Fonds Défense. Il faut faire la différence entre les types de participation publique qui sont les nôtres. Revendre la participation de l'Etat belge dans certaines banques: pourquoi pas. Nous n'avons pas vocation à gérer des banques. Nous ne le faisons que parce qu'il a fallu les sauver en 2008. En revanche, hors de question que cette occasion soit utilisée pour se débarrasser de participations historiques comme BPost ou Proximus, qui ont une valeur de service public. Même si cela permettrait aux nationalistes d'affaiblir un peu plus l'Etat fédéral.

 

Estonie
Gouvernement
Kristen Michal (premier ministre)
> Il y avait un large consensus sur la simplification au Conseil de l’UE hier. Des mesures doivent être prises. Par exemple, les rapports sur le développement durable pourraient être rendus volontaires pour les entreprises. L’énergie verte est la clé pour réduire les prix de l’énergie. Nous devons également améliorer la connectivité transfrontalière.

> C’est un plaisir de vous avoir en Estonie, cher Gintautas Paluckas [Premier ministre de la Lituanie]. Nous avons discuté de l’accélération du projet Rail Baltic et de notre état de préparation en matière de défense. L’an prochain, nous investirons tous les deux plus de 5 %. La Lituanie et l’Estonie se sont engagées à soutenir l’Ukraine. Les initiatives de paix ne devraient pas suspendre l’aide militaire.

 

Grèce
♦ Kínima Dimokratías
Stéfanos Kasselákis (président)
> Je suis à Paris, au Sommet démocratique, avec les principaux responsables européens, le Premier ministre français François Bayrou et le commissaire européen et vice-président exécutif de la Commission pour la prospérité et la stratégie industrielle Stéphane Séjourné, ainsi que d'autres responsables et personnalités européennes de premier plan.
Dans un premier temps, à mon initiative, après avoir développé et mis en évidence les développements récents et la situation juridique et factuelle du crime de Tempi [catastrophe ferroviaire qui a tué 59 personnes en Grèce], la présidence de Renew Europe s'est engagée à porter la question devant la plénière du Parlement européen pour en débattre et contribuer de manière décisive à la justice. De cette manière, le Mouvement pour la Démocratie montre la voie à suivre pour faire éclater la vérité et rehausser le profil de la question au niveau européen.
J'ai ensuite parlé de l'avenir de l'Europe et soulevé huit points clés dont nous devons discuter sérieusement :
1. L'Europe ne peut pas compter sur un pays qui maintient un casus belli contre l'un de ses États membres.
2. Protection des réserves - Les pensions et la sécurité sociale ne sont pas négociables.
3. Défense européenne - Nous avons besoin d'un mécanisme de défense collective similaire à l'article 5 de l'OTAN.
4. des dépenses de défense réalistes - Il faut d'abord déterminer les besoins, puis les coûts.
5. Transparence et développement local - Les investissements dans le domaine de la défense doivent renforcer les communautés locales.
6. Un nouveau corridor stratégique - Alexandroupoli, Bulgarie, Roumanie.
7. Contrôle dans la mer Égée et la mer Noire - La Grèce doit renforcer son rôle dans les passages maritimes.
8. Équilibre des dépenses - Poids égal pour la défense et l'adaptation au climat.
L'Europe a besoin d'audace et de décisions stratégiques claires.
Il est temps d'aller de l'avant.

 

● Italie 
♦ Azione 
Carlo Calenda (secrétaire général) 
> Samedi prochain, lors du congrès d’Azione nous parlerons de défense, d'Europe et d'économie. Nous le ferons avec des représentants du gouvernement, à commencer par la Première ministre Meloni, que je remercie d'avoir accepté l'invitation, et avec des représentants influents du Parti démocrate, du monde libéral et des forces sociales. Nous espérons mettre de côté pour un jour les polémiques politiques, pourtant légitimes, et parler des énormes défis qu'un monde dangereux et instable nous pose.

> La défense européenne est la ligne de démarcation sur laquelle se dessinent les alignements politiques. La motion que nous avons déposée au Sénat aujourd'hui est claire : continuer à soutenir l'Ukraine, travailler avec les pays volontaires pour commencer à construire un système de défense européen, et atteindre 2 % du PIB en dépenses de défense d'ici 2025. Sur ces points, nous exigeons une position claire de la part des partis de la majorité et de l'opposition.

> Une armée européenne plus forte signifie moins de risques de conflit direct avec la Russie. Si nous étions conscients de l'histoire des quatre-vingts dernières années, nous le comprendrions.

> Des amateurs dans l'ombre. Ils insèrent un journaliste dans le chat et discutent de plans militaires détaillés pendant des jours. Le gouvernement américain d'aujourd'hui est cette chose-là. Et il nous déteste. Continuons avec l'Europe. Ce n'est pas une option, c'est une voie obligée.

> [Israël arrête Hamdan Ballal, le réalisateur de « No Other Land », lauréat de l'Oscar 2025] Cette affaire est honteuse et confirme qu'Israël s'est engagé sur une voie dangereuse et antidémocratique.

 

♦ Italia Viva 
Matteo Renzi (président) 
> Je viens de sortir du centre pour migrants de Gjader, en Albanie. Je suis choqué. Nous avons remercié la police, les carabiniers, les douaniers, les agents pénitentiaires et les opérateurs du centre pour leur professionnalisme : ils n'y sont pour rien.
µLes responsables de ce saccage sont au Palais Chigi : cela me fait mal au cœur de voir le gaspillage de centaines de millions d'euros littéralement jetés à la poubelle par le gouvernement italien. Ces centres sont des structures inutiles, filles de la propagande de Giorgia Meloni. Et ce sont les Italiens qui paient, quelle amertume....

> Nous ne sommes pas en guerre avec la Russie. Et ceux qui croient en la politique savent que la priorité est aujourd'hui de trouver un moyen de faire la paix entre l'Ukraine et la Russie. Ou au moins une trêve. C'est l'effort du Premier ministre saoudien Bin Salman qui accueille des pourparlers entre Américains, Russes et Ukrainiens à Ryad. Je regrette que l'Europe n'ait pas fait de proposition diplomatique et qu'elle ne soit pas à la table des négociations. Les ambassadeurs expérimentés ont un dicton : quand vous n'êtes pas à la table, vous êtes au menu. L'Italie de Meloni et l'Europe de von der Leyen me semblent plus dans le menu qu'à la table. Et je pense que c'est un énorme problème dont on parle trop peu.

> Si nous voulons gagner en tant que centre-gauche, nous devons faire la même chose en trouvant trois questions sur lesquelles construire une coalition : les salaires, les soins de santé, l'éducation. Pour moi, ce sont les trois piliers de la majorité de demain.

 

Luxembourg
Gouvernement
Xavier Bettel (vice-premier
ministre & ministre des Affaires étrangères)
> Échange franc avec Joao Cravinho, représentant spécial UE pour le Sahel. Face à l’instabilité politique et sécuritaire au Sahel, l’UE doit rester engagée. Le Luxembourg contribuera sa part à travers un soutien à la société civile et de l’aide humanitaire et multilatérale.

 

Pologne
Gouvernement
Paulina Hennig-Kloska (ministre du Climat et de l'Environnement)
> Le prix que nous avons payé pour la dépendance au gaz russe était trop élevé. L’Europe ne devrait jamais répéter cette histoire.

> Une Pologne forte est une Pologne qui est également indépendante en termes d'énergie.
À Bruxelles, lors du Sommet de l'énergie solaire et de la conférence sur la résilience du réseau européen, nous présentons le point de vue polonais sur la voie vers une énergie moins chère, propre et stable.
Les investissements européens dans l'industrie de l'énergie électrique ne sont pas seulement une question de sécurité, mais aussi une question de compétitivité du Vieux Continent - sans une énergie bon marché et stable, nous ne gagnerons pas la course économique mondiale !

> Nous devons nous rappeler que la résilience des réseaux n’est pas seulement une question technique, mais un impératif stratégique et social. En investissant dans des infrastructures modernes, nous renforçons la sécurité énergétique de l’Europe...

> Le stockage de l'énergie joue un rôle de plus en plus important dans la stabilisation et la sécurisation du système électrique.

C'est pourquoi nous investissons dans des installations modernes de stockage d'énergie ! PGE Polska Grupa Energetyczna prévoit de construire des installations de stockage qui contiendront plus de 10 000 MWh d'énergie d'ici à 2035.

Qu'est-ce que cela signifie ? Un système stable, un réseau sûr et la garantie que l'électricité ne manquera pas au moment où l'on en a le plus besoin. Nous investissons dans l'avenir - pour les Polonais, pour l'économie polonaise, pour votre maison !

 

Adam Szłapka (Ministre des Affaires européennes et président de .Moderne)
> La vérité est que le PiS a voté contre le renforcement de l'OTAN, contre le renforcement des capacités de défense de l'Europe et contre le bouclier oriental. Une trahison évidente des intérêts de la Pologne.

> La visite du secrétaire général de l'OTAN, aujourd'hui, confirme la justesse de notre politique. Nous renforçons également l'OTAN en renforçant les capacités de défense de l'Europe. Nous défendons l'Europe grâce à des projets tels que le Bouclier de l'Est. Seul le PiS ne comprend pas cela...

 

Pologne 2050
Szymon Franciszek Hołownia (Président et député)
> la Pologne a besoin d'un changement de président.

> Le nouveau président doit garder à l'esprit la doctrine 50-10-50. 50 % des dépenses d'armement restent en Pologne. Grâce à cela, la Pologne entre dans le top 10 des plus grands exportateurs d'armes au monde. Et Polska Grupa Zbrojeniowa se hisse parmi les 50 premières entreprises d'armement au monde. 50-10-50 Une Pologne sûre, une économie forte.

> Plus besoin d'expliquer aux parents, devant un comité de sélection, que leur enfant ne s'est pas amélioré. Plus de mères torturées devant expliquer tous les deux ans que leur enfant ne s'améliorera jamais.
Pologne 2050 et moi-même avons personnellement promis d'y mettre un terme. Aujourd'hui, notre ministre a changé le système. Les personnes atteintes du syndrome de Down et les personnes atteintes de maladies génétiques rares qui ne promettent pas d'amélioration se verront accorder un certificat d'invalidité permanente.
Fini l'État qui humilie ses citoyens.

 

Slovénie
Gouvernement
Robert Golob (premier
ministre)
> La défense n’est certainement pas seulement une question d’armes ; c’est beaucoup plus – cela signifie aussi sécurité et résilience de la société

> J’ai le plaisir d’annoncer la plus grande vague d’investissements dans la construction de logements de l’histoire du pays. Nous croyons qu’une vie digne n’est possible que si les gens ont accès à un logement convenable. C’est pourquoi, lors de notre récent sommet, la Coalition a réaffirmé son engagement envers le logement comme un domaine dans lequel nous continuerons d’agir avec unité et intensité.