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samedi 5 avril 2025

Propos centristes. Monde – Guerre commerciale de Trump: réactions, représailles et appel à l’union / Canada: élections législatives / Suisse: maîtriser les investissements étrangers / Royaume Uni: les difficultés continuent pour la population…


Voici une sélection, ce 6 avril 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.

● Brésil
♦ União Brasil
> Prendre soin, protéger et accueillir. C'est dans cette focalisation que nos députés et tout União Brasil travaille pour faire de cette date un moment de réflexion. Notre parti souligne que l'abandon des animaux est un crime. En 2020, la peine pour abus a été portée à deux à cinq ans d'emprisonnement, d'amende et d'interdiction.
Nous sommes ensemble pour la cause animale, nous sommes donc venus présenter certaines de nos propositions pour changer la réalité de plus de 30 millions de chiens et chats abandonnés au Brésil, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

> Le maire de Salvador, Bruno Reis, et le maire de Lauro de Freitas, Débora Regis, tous deux d’União Brasil, ont participé au Smart Gov Anciti, un événement national des villes intelligentes.
Bruno Reis a parlé des investissements dans des solutions intelligentes mises en œuvre dans la capitale bahienne, parmi lesquelles une nouvelle ressource qui va surveiller le réseau de drainage pluvial de la ville afin de prévenir les inondations majeures. Le maire a également mis en lumière les avancées de l'enseignement numérique et la construction d'un centre de contrôle des opérations qui réunira les systèmes de santé, la garde municipale et la circulation.
Dans le but d'identifier les principales exigences de la population et de faire avancer l'utilisation des médias numériques, le maire de Lauro de Freitas a signé un contrat avec le Secrétariat Municipal de l'Administration (SECAD) et le Secrétariat Technologique du Salvador. Deborah a déclaré qu'elle voulait faire de la technologie un allié dans l'efficacité et la durabilité de sa gestion.

 

Movimento Democrático Brasileiro
> [Guerre commerciale de Trump] > Le MDB a soutenu le projet de loi de la Réciprocité. Défendre l’économie brésilienne, c’est défendre le peuple brésilien.

 

● Canada 
♦ Gouvernement 
Mark Carney (Premier ministre) 
> [Elections législatives] Nous ne pouvons pas contrôler le président Trump, mais nous pouvons faciliter la vie des Canadiens et des Canadiennes en remettant plus d’argent dans leurs poches. Notre plan libéral pour rendre la vie plus abordable baissera vos impôts et aidera les Canadiens et Canadiennes à acheter une maison, avoir accès à des soins dentaires et des services de garde d’enfants fiables. Notre plan permettra aux Canadiens et Canadiennes d’économiser des milliers de dollars chaque année et de bâtir l’économie à la croissance la plus rapide du G7. 

> L’économie mondiale d’aujourd’hui est fondamentalement différente de celle d’hier. Nous devons répondre avec détermination et force et prendre toutes les mesures nécessaires afin de protéger les travailleurs et les entreprises du Canada contre les droits de douane injustes imposés par les États-Unis, notamment dans le secteur de l’automobile. Nous ne cesserons jamais de défendre les intérêts des Canadiens et Canadiennes, de protéger nos travailleurs et nos entreprises, et de poursuivre nos efforts visant à bâtir l’économie la plus solide du G7.

> Se battre contre les tarifs des États-Unis. Protéger les travailleurs. Bâtir une économie plus forte.

> En réponse aux tarifs imposés par le président Trump sur notre secteur automobile, le Canada imposera un tarif de 25 % sur toutes les importations américaines de véhicules qui ne sont pas conformes à notre accord de libre-échange.
Tous les revenus de ces tarifs seront utilisés pour soutenir nos travailleurs canadiens de l’automobile et leur industrie.
Pour les véhicules américains qui sont conformes à l’ACEUM, le Canada imposera également un tarif de 25 % sur le contenu qui ne provient ni du Canada ni du Mexique. Les recettes de ces droits serviront également à soutenir directement les travailleurs canadiens du secteur automobile et leur industrie.
Nos tarifs, contrairement à ceux du président Trump, n’affecteront pas les pièces automobiles, car nous connaissons les avantages de notre chaîne d’approvisionnement.
Le Canada élaborera également un cadre de soutien pour les producteurs d’automobiles qui stimulera la production et l’investissement au Canada.
Pendant cette crise, nous agirons avec détermination et force. Nous combattrons, nous protégerons et nous construirons

> La gestion de l'offre fait partie de notre souveraineté économique. Dans les négociations avec le président Trump, elle n'est pas sur la table.

> Dans cette crise tarifaire, je reste concentré sur vous. Nous ne pouvons pas contrôler le président Trump, mais nous pouvons rendre la vie plus abordable ici, chez nous. Nous pouvons bâtir une économie plus forte qui travaille pour vous.

> Pour tenir tête au président Trump et protéger vos emplois ainsi que vos entreprises, nous devons bâtir une économie au service de tous. Nous devons construire un Canada plus abordable.

> Les agriculteurs, les éleveurs et les travailleurs de l'agroalimentaire nourrissent les familles canadiennes.   Face aux tarifs injustifiés du président Trump, nous défendrons leurs emplois et bâtirons leurs secteurs en protégeant la gestion de l'offre, en doublant les protections de revenus et en augmentant leur capacité de transformation.

> Les travailleurs de l’automobile chez Martinrea Auto Parts sont les premiers touchés par cette crise commerciale, et nous sommes à leurs côtés à chaque étape.   Chaque dollar perçu sur nos contre-tarifs servira à soutenir les travailleurs de l’industrie automobile canadienne.

> Nous avons beaucoup à bâtir dans ce pays, et nous avons besoin de bien plus de bâtisseurs. Nous rendrons plus abordable votre formation et faciliterons votre mobilité à travers le Canada. Ce sera un excellent moment pour faire carrière dans les métiers spécialisés.

> J’ai supprimé la taxe carbone pour les consommateurs dès le premier jour de mon mandat — et aujourd’hui, le prix de l’essence baisse.

> Nous allons créer une nouvelle entité, Maisons Canada, une organisation agile et axée sur sa mission qui :  
- Agira en tant que promoteur de nouveaux projets résidentiels abordables 
- Catalysera une nouvelle industrie résidentielle
- Fournira un financement aux constructeurs de logements abordables  
Le Canada a déjà été confronté à une crise du logement et nous avons réussi à nous en sortir.   Nous le ferons à nouveau. Mettons-nous au travail.

> Lors de ma conversation avec le chancelier Scholz, nous avons convenu de renforcer les relations commerciales canado-allemandes.   Durant cette crise provoquée par les tarifs du président Trump, des partenaires commerciaux fiables sont plus importants que jamais.

> J'ai parlé avec la présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum.   Dans une économie mondiale en évolution, des partenaires forts et fiables sont cruciaux. Le Canada et le Mexique approfondissent leurs relations commerciales et bâtissent des économies plus fortes ensemble.

 

● Equateur
♦ Gouvernement 
Daniel Noboa Azin (président de la république)
> Je suis déterminé à écrire une nouvelle histoire pour notre pays. Je suis décidé à faire avancer l’Équateur.

> Les faits nous accompagnent : nous restons fermes à vos côtés, prêts à faire avancer cet Équateur. Le dialogue pour l'unité des peuples et des nationalités d'aujourd'hui nous mène vers un avenir de respect, de travail et de progrès pour tous.

> Un Équateur uni est un pays qui ne peut être vaincu. Nous travaillons épaule à épaule avec chacun d'entre vous, sans entraves, sans mensonges.

> Lorsque l'agro fait face à une crise, nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Nous allons créer le Fonds d'urgence agricole pour soutenir nos producteurs dans les moments les plus difficiles. Ils ne seront jamais seuls.

> Les producteurs agricoles ont notre soutien. Nous annulerons et refinancerons les crédits pour que l'agro reste debout. Parce qu'un pays sans campagne est un pays sans avenir.

> Nous choisissons de travailler avec de vrais résultats, car le pays ne se lève pas avec des mots, il se lève avec des actes.

 

● Etats-Unis  
♦ Parti démocrate 
Hakeem Jeffries (leader du Parti démocrate à la Chambre des représentants) 
> Depuis le début de ce congrès, les démocrates à la Chambre des représentants ont continué à dire clairement que nous nous battions avec acharnement pour construire une économie abordable qui réduise le coût élevé de la vie pour les Américains ordinaires parce que le coût de la vie en Amérique est trop élevé. Les coûts du logement sont trop élevés, ceux de l’épicerie sont trop élevés, ceux des services de garde d’enfants sont trop élevés, les coûts des services publics sont trop élevés et les frais d’assurance sont trop élevés. L’Amérique est trop chère. Donald Trump et les républicains de la Chambre ne font rien pour remédier à la crise du prix abordable aux États-Unis.
On nous a dit que les coûts des épiceries allaient baisser le premier jour de la présidence Trump. Les coûts ne baissent pas en Amérique, ils augmentent. Et les tarifs de Trump vont rendre les choses plus coûteuses aux États-Unis. Les républicains de la Chambre des communes, les républicains du Sénat et Donald Trump n’ont rien fait pour réduire le coût de la vie dans ce pays. Pas un seul projet de loi. Pas un seul décret. Pas une seule mesure administrative n’a été prise par Donald Trump, les républicains de la Chambre ou les républicains du Sénat pour réduire le coût élevé de la vie aux États-Unis. En fait, les républicains font tomber l’économie américaine en temps réel et nous mènent à la récession. Ce n’est pas le jour de la libération. C’est le jour de la récession aux États-Unis. C’est ce que les tarifs de Trump vont faire — faire chuter l’économie, ce qui se produit depuis le 20 janvier de cette année. Et le peuple américain en prend note dans une communauté après l’autre.
Mais ça empire. Non seulement les républicains n’ont rien fait pour réduire le coût de la vie aux États-Unis, mais ils essaient aussi d’enlever les soins de santé au peuple américain et de mettre fin à la sécurité sociale telle que nous la connaissons. Notre réponse à cet effort républicain : pas sous notre surveillance. Nous travaillons dur pour sauver Medicaid et renforcer et protéger la sécurité sociale de Donald Trump, Elon Musk et les républicains MAGA extrêmes qui sont en fuite. Ils sont en fuite sur le plan économique. Ils sont en fuite sur le plan législatif. Hier, ils ont quitté la ville avant le coucher du soleil parce qu’ils n’avaient aucun programme pour améliorer la vie des Américains. Et ils sont en fuite sur le plan politique, ce que les démocrates disent depuis janvier et maintenant apparemment d’autres personnes commencent à rattraper leur retard.

> Les tarifs de Trump vont augmenter les coûts pour les Américains au quotidien, dans un environnement où le coût de la vie est déjà élevé. Trump a promis de réduire les coûts dès le premier jour. Mais ce que nous avons vu sous son leadership téméraire, c’est que les coûts ne baissent pas en Amérique, ils augmentent. L’inflation augmente. Le marché boursier est en baisse. La confiance des consommateurs est en baisse. Et la sécurité de la retraite du peuple américain est en baisse. Ce n’est pas le Jour de la libération en Amérique, c’est le Jour de la récession parce que les politiques imprudentes de Donald Trump nous mènent vers une récession douloureuse. (…)
Nous devons certainement ramener des emplois dans le secteur manufacturier aux États-Unis d’Amérique. C’est une chose à laquelle nous, les démocrates de la Chambre, sommes déterminés à faire, en nous appuyant sur le travail effectué par l’administration précédente. Mais ces tarifs maladroits appliqués de façon excessive ne sont pas stratégiques. Rien de ce que Donald Trump, Elon Musk et l’administration ont fait au cours des 70 derniers jours n’est stratégique. C’est le chaos. C’est la crise. C’est de la confusion. Il y a beaucoup de corruption et cela cause beaucoup de tort. Ils font tomber l’économie en temps réel ici aux États-Unis.

> Les droits de douane de Trump représentent la plus forte augmentation fiscale pour le peuple américain depuis au moins 1968. Ce que nous voyons, c'est qu'il fait s’écraser l'économie en temps réel. Les coûts augmentent. Les tarifs pratiqués par Trump devraient entraîner des milliers de dollars de coûts supplémentaires pour le peuple américain en termes d'épicerie et de gaz et de marchandises. Et en même temps, nous voyons l'épargne-retraite des Américains chuter également. Ce type nous pousse vers une récession. Et ce n'est pas ce que le peuple américain a voté ou attendu.

> C'est la plus grande réduction de Medicaid de l'histoire américaine. Maintenant, ils essaient de démanteler la sécurité sociale, sapant les prestations des vétérans, essayant littéralement de retirer de la nourriture de la bouche des bébés en réduisant l'aide nutritionnelle. Et pour quoi tout cela est-il fait ? Pour mettre en place un allégement fiscal massif pour les donateurs milliardaires comme Elon Musk.

> Il est temps pour eux de se débarrasser de ce marionnettiste milliardaire, non élu, impopulaire, dérangé et non américain. Elon Musk vient d’être rejeté par les électeurs du Wisconsin. Il a essayé de dépenser ses ressources illimitées pour acheter un siège à la Cour suprême du Wisconsin, et cela a échoué spectaculairement. Les électeurs ont rejeté Donald Trump. Ils ont rejeté Elon Musk, et ils ont rejeté la marque républicaine qui se dégrade rapidement. Nous devons continuer, en tant que démocrates, de faire comprendre aux Américains ordinaires que nous nous battons pour bâtir une économie abordable et réduire le coût élevé de la vie, tout en repoussant l’extrémisme républicain et ses efforts pour réduire la sécurité sociale, Réduire l’assurance-maladie, réduire le financement de Medicaid et saper notre démocratie et le mode de vie américain. Il est clair que le peuple américain nous soutient dans ce qu’il voit à Washington, D.C., et nous l’avons vu lors d’élections spéciales en janvier, en février, en mars, tout récemment en Pennsylvanie et maintenant, bien sûr, de façon décisive en avril au Wisconsin.

> Le leadership républicain n'a pas montré de volonté de résister à Donald Trump et à son administration. Mais cela ne signifie pas que nous ne pouvons pas trouver les républicains de base pour le faire, nous rejoindre avec une opposition démocratique unifiée, en particulier à mesure que la pression continue de s'intensifier sur eux.

> Le général Timothy Haugh est un directeur de l’Agence nationale de sécurité, patriote, princier et très bien préparé. La décision de Donald Trump de licencier le général Haugh est scandaleuse et rend le peuple américain moins sûr dans un monde de plus en plus dangereux.
Il y a des changements qui doivent être apportés à l’administration Trump. Tout d’abord, le secrétaire à la Défense le moins qualifié de l’histoire américaine devrait être renvoyé. En même temps, les autres responsables de la sécurité nationale impliqués dans SignalGate doivent être tenus responsables.
Donald Trump et les républicains de la Chambre des représentants suivent les ordres des théoriciens du complot d’extrême droite comme Laura Loomer. Assez. Ce n’est pas l’Amérique.

> Les démocrates se concentrent sur la baisse du coût de la vie. Les républicains font tomber l’économie en temps réel et nous conduisent vers une récession. Les démocrates de la Chambre et du Sénat sont unis pour défendre la sécurité sociale, l’assurance maladie, le programme Medicaid, les prestations aux anciens combattants et l’aide nutritionnelle pour nos enfants et nos familles, tandis que les républicains essaient d’enlever ces choses, Voler l’argent des contribuables pour qu’ils puissent imposer un énorme allégement fiscal à Elon Musk et ses donateurs milliardaires. Nous sommes unis dans l’opposition à la fraude fiscale du GOP et dans la défense du peuple américain.

 

Chuck Schumer (leader de la majorité démocrate au Sénat) 
> Les chances d’une récession sont en hausse à cause des tarifs de Trump. Et avec le projet de loi que vient d’adopter le GOP du Sénat, c’est un geste brutal des républicains contre les familles américaines : les tarifs de Trump augmentent les coûts d’un côté, et le Sénat GOP coupe Medicaid et pousse des allégements fiscaux milliardaires de l’autre.

> Donald Trump a trahi le peuple américain. Et en votant pour ce projet de loi budgétaire, les républicains du Sénat se sont rangés aux côtés des milliardaires, contre la classe moyenne, dans un respect total à Donald Trump.

> Je viens de déposer un amendement pour mettre fin aux tarifs de Trump qui écrasent les familles sur le plan financier—mettre fin à ses tarifs qui augmentent les coûts des produits d’épicerie, des médicaments, des biens de tous les jours.
Il laisserait en place des tarifs sur des adversaires comme la Chine, la Russie, l’Iran, la Corée du Nord.
Qu’a fait le GOP ?
Ils l’ont rejeté, soutenant Trump contre les familles.

 

Barack Obama (ancien président des Etats-Unis) 
> (..) Tout le monde sait, c’est-à-dire que j’ai de profondes divergences d’opinion avec mon successeur le plus proche — qui est maintenant président une fois de plus. Il y a une foule de politiques que nous pourrions discuter où j’ai des opinions fortes, mais au moins pour la majeure partie de ma vie, je dirais l’ère post-Seconde guerre mondial, il existait un large consensus entre les démocrates, les républicains, les conservateurs, libéraux autour d’un certain ensemble de règles où nous réglions nos différences.
Il y avait des liens qui transcendent le parti, la région ou l’idéologie. Il y avait une croyance à laquelle nous nous sommes tous ralliés. Cette notion de base de la démocratie américaine, telle qu’elle est inscrite dans notre Constitution et notre Déclaration des droits, qui dit que nous comptons tous, que nous avons tous une dignité, que nous valons tous la peine d’établir un système où il y a primauté du droit et séparation des pouvoirs ainsi qu’un pouvoir judiciaire indépendant.
Il y a ces libertés, la liberté de culte et la liberté de presse, et l’assurance que si nous allons devant la loi, il y aura un processus impartial pour rendre justice. Nous avons tous adhéré à ce principe, plus ou moins. Cela ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de politiciens corrompus. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas eu d’abus de pouvoir. Dans la société elle-même, il y avait évidemment de grandes différences en termes d’accès et d’influence et d’avoir un mégaphone. Mais nous avons dit que, même si cet idéal n’était pas toujours respecté, c’était l’idéal à avoir.
Je crois que notre engagement à l’égard de ces principes s’est érodé, et je pense qu’il s’est érodé en partie parce que le gouvernement lui-même est devenu très important. Cela signifie que parfois, on le sent distant et insensible, et les règles sont pénibles. Certaines règles ne sont pas intelligentes, et les gens sont frustrés. Je pense qu’une partie de ce qui s’est passé aussi, c’est que d’accepter de ne pas être d’accord et que d’avoir de la tolérance envers les gens avec qui vous n’êtes pas d’accord disparait. (…)
Maintenant, il est un peu plus difficile d’accepter de ne pas être d’accord sans être désagréable si cette personne n’est pas comme moi. Il ne me ressemble pas, peut-être qu’il ne pense pas exactement comme je le pense. J’ai plus tendance à me sentir attaqué ou menacé. Je pense que cela nous a rendus un peu plus tribaux dans notre politique.
L’économie n’a plus fonctionné pour tout le monde. En partie, cela est dû au fait que le gouvernement n’a plus été aussi réactif qu’il aurait dû l’être et que les inégalités ont augmenté. Enfin, les médias. Je pense que l’un des aspects les plus importants de notre pratique démocratique est d’avoir une population bien informée qui dépend d’une presse libre, objective et efficace, et cela a commencé à être attaqué.

Vous combinez tous ces facteurs ensemble, et nous les avons vus au cours des décennies. Mais de toute évidence, c’est devenu bien pire maintenant. Quand je regarde ce qui se passe actuellement, je ne pense pas que ce que nous venons d’observer en matière de politique économique et de tarifs sera bon pour l’Amérique, mais c’est une politique spécifique. Je suis plus profondément préoccupé par un gouvernement fédéral qui menace les universités si elles ne renoncent pas aux étudiants qui exercent leur droit à la liberté d’expression. (…)
L’idée qu’une Maison-Blanche puisse dire aux cabinets d’avocats: « Si vous représentez des partis que nous n’aimons pas, nous allons mettre fin à nos activités ou vous empêcher de représenter efficacement les gens». Ce genre de comportement est contraire au pacte de base que nous avons en tant qu’Américains.
Imaginez si j’avais fait quelque chose comme ça. Je veux juste être clair à ce sujet. Imaginez si j’avais retiré les accréditations de Fox News du corps de presse de la Maison Blanche. Imaginez si j’avais dit aux cabinets d’avocats qui représentaient des parties contrariées par les politiques que mon administration avait mises en place, que vous ne seriez pas autorisés à entrer dans les édifices gouvernementaux.
Nous allons vous punir économiquement pour avoir contesté la Loi sur les soins abordables ou l’accord avec l’Iran. Nous allons harceler les étudiants qui protestent contre mes politiques. Il est inimaginable que les mêmes partis qui sont silencieux maintenant auraient pu tolérer un tel comportement de ma part, ou de toute une série de mes prédécesseurs.
Je ne dis pas cela pour des raisons partisanes, mais parce que c’est lié à quelque chose de plus précieux, à savoir qui sommes-nous en tant que pays et quelles valeurs défendons-nous? Ce n’est pas seulement une abstraction. Je pense que c’est l’un des défis auxquels nous sommes confrontés, et j’ai pu le constater avant même les dernières élections. Je pense que les gens ont tendance à penser, oh, la démocratie, l’état de droit, un pouvoir judiciaire indépendant, la liberté de la presse, tout cela est abstrait parce que ça n’affecte pas le prix des œufs. Eh bien, vous savez quoi? C’est sur le point d’affecter le prix des œufs.
L’une des choses qui nous ont distingués dans le passé a été cette idée de base que nous sommes une société fondée sur des règles. Ça veut dire que vous savez quoi? Je peux soutenir un candidat plutôt qu’un autre, et je n’ai pas à m’inquiéter que la police vienne me harceler ou mes clients. C’est ce qui se passe ailleurs. C’est ce qui se passe en Russie.
Nous tenons pour acquise l’idée que nous n’avons pas à payer des pots-de-vin ou embaucher le cousin de quelqu’un afin d’obtenir un permis d’affaires. C’est ainsi que nous avons bâti l’économie. C’est pour cela que cette institution a fonctionné. Elle a des répercussions très concrètes sur toutes nos vies. (…)
Permettez-moi de conclure en disant que c’est à nous tous qu’il revient de régler cela. (…) La fonction la plus importante dans cette démocratie est le citoyen, la personne ordinaire qui dit non, ce n’est pas juste. Je pense que l’une des raisons pour lesquelles notre attachement aux idéaux démocratiques s’est érodé, c’est que nous sommes devenus trop à l’aise et complaisants.
Il a été facile pendant la plupart de nos vies de dire que vous êtes un progressiste ou que vous êtes pour la justice sociale ou que vous êtes pour la liberté d’expression et que vous n’aurez pas à payer le prix pour cela. Maintenant nous sommes à un de ces moments où il ne suffit pas de dire que vous êtes pour quelque chose; vous devrez peut-être faire quelque chose et éventuellement sacrifier quelque chose.
Si vous êtes un cabinet d’avocats qui est menacé, vous devrez peut-être dire, OK, nous perdrons des affaires parce que nous allons défendre un principe. Si vous êtes une université, vous devrez peut-être déterminer si nous faisons les choses correctement. Avons-nous en fait violé nos propres valeurs, notre propre code, enfreint la loi d’une façon ou d’une autre? Si ce n’est pas le cas et que vous êtes simplement intimidé, eh bien, vous devriez pouvoir dire, c’est pourquoi nous avons obtenu cette grosse dotation.
Nous défendrons ce en quoi nous croyons, et nous paierons nos chercheurs pendant un certain temps grâce à cette dotation, et nous renoncerons à l’aile supplémentaire ou au gymnase de luxe — que nous pouvons retarder pour quelques années parce que la liberté académique pourrait être un peu plus importante.
Dans la majeure partie de l’histoire humaine, et encore aujourd’hui, dans la plupart des endroits du monde, il y a un coût à contester les pouvoirs qui existent, particulièrement s’ils abusent de ce pouvoir. Il y a cette idée, et j’ai remarqué cela chez des gens plus riches qui, après George Floyd, étaient là et un groupe d’entreprises parlaient de la façon dont ils se souciaient de la diversité, et ils voulaient faire ceci, et ils étaient tous pour cela. Ils sont muets en ce moment.
Mais ça me dit que c’était bien quand c’était cool et à la mode et quand ce n’est pas, pas tellement. Voilà, je crois, ce que chacun de nous doit examiner dans son propre cœur. Nous disons que nous sommes pour l’égalité mais sommes-nous prêts à lutter pour elle? Allons-nous risquer quelque chose pour cela? Nous disons que nous sommes en faveur de la primauté du droit mais allons-nous nous en tenir à cela quand c’est difficile et non pas quand c’est facile? Nous croyons en la liberté d’expression mais défendons-nous la liberté d’expression lorsque l’autre personne qui parle dit des choses qui nous rendent furieux et qui sont mauvaises et blessantes? Croyons-nous toujours en cela? (…)
Je crois, à nos principes fondateurs. Je pense qu’il est maintenant important pour nous de recentrer notre attention sur qui nous sommes et ce en quoi nous croyons. (…)
J’ai mentionné qu’après la Seconde Guerre mondiale, il y avait un consensus dans ce pays autour des fondements de la démocratie. Même si nous avions des désaccords sur la politique fiscale ou l’avortement, il y avait un accord sur la façon dont nos sociétés et notre politique devaient fonctionner.

L’une des choses remarquables de l’Amérique, c’est que nous avons fait la même chose dans une grande mesure pour le monde. Je veux dire que vous avez tous grandi dans un ordre international qui a été en grande partie créé par les États-Unis et leurs alliés après la Seconde Guerre mondiale.

Des décombres et du carnage qui avait détruit l’Europe et détruit une grande partie de l’Asie, et c’était tellement choquant que je pense que les gens ont reculé. Et ils ont dit, d’accord, oui, les États-Unis sont le pays le plus puissant à ce stade. Beaucoup de nos concurrents sont détruits. Nous étions relativement protégés en raison de la géographie.
Ainsi, nous mettrons en place un système international fondé sur des règles qui permet la liberté de navigation et les règles régissant le commerce. Et nous allons avoir une alliance avec l’Europe, y compris nos anciens ennemis, et en Asie, y compris nos anciens ennemis, parce que même si nous sommes le pays le plus puissant, nous savons que, ayant vu ce qui s’est passé dans la Seconde Guerre mondiale, Il vaut mieux que nous trouvions un moyen d’amener tout le monde à coopérer.
Et c’est un moment important, car au cours des deux derniers mois, nous avons vu un gouvernement américain essayer activement de détruire cet ordre et le discréditer. Et la pensée, je crois, c’est que d’une certaine façon, puisque nous sommes les plus forts, nous allons être mieux si nous pouvons juste intimider les gens à faire ce que nous voulons, et dicter les termes de l’échange tout le temps, et si nous voyons un morceau de terre qui a l’air bien, comme le Groenland, qui va nous arrêter?
Et ce qui ne semble pas être le cas — ce qui ne semble pas se répercuter en ce moment sur certains de nos décideurs, c’est le fait que cela a été un énorme multiplicateur de force pour nous. Même les gens qui ne nous aimaient pas et n’étaient pas d’accord avec nous ont souvent suivi notre exemple parce qu’ils disaient, vous savez quoi? Le système mis en place nous a effectivement aidés à croître. Il a aidé la Chine à sortir un milliard de personnes de la pauvreté. Cela signifiait que s’il y avait une pandémie ou une maladie comme Ebola, il y avait un système international pour essayer de régler le problème.
Et donc, à la fondation, nous avons obtenu des leaders, pas seulement aux États-Unis mais sur tous les continents, de mettre en pratique cette notion que si nous sommes tous d’accord sur certaines valeurs fondamentales, que tout le monde a de la dignité, tout le monde a de la valeur, la règle de droit est une bonne chose. Parfois, il est dans votre intérêt d’aider les gens qui ont moins que vous, parce qu’ils sont moins susceptibles de vous attaquer ou de tomber malades et de propager des maladies qui touchent vos enfants. Et cette coopération, ou au moins la concurrence, qui est basée sur un accord quelconque pour ne pas s’entre-exploser ou s’envahir mutuellement, que cela va finalement être mieux pour nous tous. (…)
Je pense à cette autre idée qui fait droit au puissant intimidateur du faible, qui lui permet d’attraper ce qu’il peut si personne ne peut l’arrêter, c’est en quelque sorte la règle par défaut pour la plupart de l’histoire humaine. Je veux dire que la démocratie est assez récente. Un ordre international où on coopère au lieu de se battre, c’est nouveau. Et donc, c’est un peu fragile.
Il n’est donc pas surprenant que lorsque les choses sont perturbatrices et que les gens ont peur, et de la même manière que parfois ceux qui dirigent les institutions démocratiques aux États-Unis ne font pas toujours bien les choses, il en va de même pour la façon dont nous gérons les affaires internationales. Parfois, des pays comme la Chine ont triché sur les échanges commerciaux et il fallait s’en occuper. Il a fallu faire marche arrière. Il y a eu des moments où nous avons fait des choses stupides et intimidé les gens malgré nos idéaux, ou essayé de réorganiser des pays entiers d’une manière qui était destinée à échouer.
Mais dans l’ensemble, ce système que nous avons mis en place a créé l’ère la plus riche, la plus saine et la plus pacifique de l’histoire humaine. (…)
Ces valeurs de coopération et de primauté du droit, ainsi que l’adhésion aux faits et l’espoir, l’optimisme quant à la capacité des humains à travailler ensemble et à résoudre leurs problèmes, et la croyance que nous sommes tous les enfants de Dieu, ce que je sais aujourd’hui, l’idée de l’inclusion est d’une certaine façon considérée dorénavant comme illégale, mais vous savez quoi? J’y crois vraiment.
Je crois que les gens, peu importe leur couleur de peau ou leur sexe ou leur orientation sexuelle ou leurs nationalités, ou la façon dont ils adorent Dieu, qu’ils ont tous de la valeur et que je peux communiquer avec eux et coopérer avec eux. Ces valeurs pour lesquelles il vaut la peine de se battre, et qui mèneront en fin de compte à de meilleurs résultats.

> Félicitations à la juge Susan Crawford pour sa victoire, et au peuple du Wisconsin pour avoir élu un juge qui croit en l’état de droit et protège nos libertés.

 

Hillary Clinton (ancienne secrétaire d’Etat) 
> Alors que Trump fait couler l’économie, il sait que lui et ses copains milliardaires iront bien quoi qu’il arrive. Si vous et votre famille avez plus à perdre, assurez-vous que votre membre du Congrès entend parler de vous.

> Pourquoi un leader ferait-il le réservoir de l’économie de son propre pays ? C’est un élément clé du jeu de l’autocrate en devenir. Les tarifs et le chaos signifient plus de pouvoir et de contrôle pour Trump. Mais l’Amérique n’a pas de roi. Le Congrès dirigé par les républicains peut mettre un terme à cela en tout temps. Laissez vos représentants vous entendre.

> Les nombreux ont triomphé de l’argent lors des élections à la Cour suprême du Wisconsin hier.  Félicitations à la juge Susan Crawford, au peuple du Wisconsin et à tous ceux qui se battent pour une Amérique juste et libre. Continuons.

> Elle peut être cassée, mais la voix de Cory Booker n’a jamais été plus puissante. Merci, mon ami, d’avoir défendu la liberté, la justice et le pays que nous aimons. Merci d’avoir utilisé votre voix pour alerter les gens sur la bouée de sauvetage de Trump et Musk à la sécurité sociale et aux autres services vitaux sur lesquels comptent les Américains.

 

Cory Booker (sénateur du New Jersey) 
> L’USDA de Trump a mis des milliers d’agriculteurs dans une incertitude intenable, en n’honorant pas les contrats qu’ils ont signés. Les agriculteurs ont besoin de l’argent qu’ils avaient prévu et qui leur est dû. Hier soir, les sénateurs républicains ont bloqué mon amendement pour protéger les agriculteurs. Il n’est pas acceptable d’abandonner les agriculteurs de cette façon.

> Alors que Trump joue avec les droits de douane et les guerres commerciales, des millions d’Américains qui travaillent dur s’inquiètent de leurs économies de retraite, de leur sécurité d’emploi et du prix de l’épicerie et des vêtements ce mois-ci. Ces actions sont imprudentes et causent du stress et des dommages réels.

> Nous avons besoin de politiques commerciales qui aident les familles qui travaillent, en créant des emplois bien rémunérés et en réduisant le prix des biens.
Au lieu de cela, Trump a passé les 75 derniers jours à trouver différentes façons de couler les marchés et d’arrêter la croissance.
Les Américains méritent davantage de possibilités d’emplois, de petites entreprises intelligentes et d’investissements – mais ils ne sont que chaos et incertitude.

> Merci Chris Murphy pour votre soutien non seulement pendant 25 heures au Sénat, mais aussi pour votre soutien indéfectible au peuple américain. Continuons à faire du bien, mon ami.

> «La liberté est dans le cœur des hommes et des femmes; quand elle meurt là, aucune constitution, aucune loi, aucun tribunal ne peut la sauver; aucune constitution, aucune loi, aucun tribunal ne peut même faire beaucoup pour l’aider.» (Juge L Hand)
Puissions-nous nous élever cet esprit et faire ce qui est nécessaire pour protéger notre nation.

> Les enfants de notre nation sont notre ressource la plus précieuse. Quand nos enfants prospèrent, l’Amérique prospère. Le démantèlement du ministère de l’Éducation submergera les systèmes scolaires locaux, épuisera davantage nos enseignants et nuira aux enfants de toutes origines.

> La sécurité sociale n’est pas l’argent du gouvernement à dépenser. C’est l’épargne durement gagnée des travailleurs américains qui appartient aux Américains. Trump et Musk doivent garder leurs mains loin de l’argent qui n’est pas le leur à prendre.

> L’administration Trump et les républicains au Congrès placent les profits au-dessus des gens. Ils essaient de vider de leur substance les programmes Medicaid et Medicare, dont dépend près d’un tiers de notre pays – tous pour payer des réductions d’impôt aux milliardaires et aux sociétés.

> L’administration Trump-Vance continue à nous plonger dans le chaos. La guerre commerciale de Trump contre nos alliés ne fera qu’augmenter les coûts et les craintes des familles américaines.

 

● Japon 
♦ Parti démocrate constitutionnel
> Le Parti démocratique constitutionnel a tenu la 18ème conférence du cabinet Noda [Président du parti]
Yoshihiko Noda, dans une allocution de bienvenue, a déclaré tôt aujourd’hui que le président Trump avait annoncé que le Japon serait assujetti à un tarif de 24 % comme tarif mutuel, en disant : « Quelle était la déclaration conjointe au sommet Japon-États-Unis du 7 février ». Il a critiqué le gouvernement pour avoir découvert qu’aucune discussion sur les tarifs n’avait eu lieu. Après cela, il a déclaré qu’il avait créé le siège des affaires commerciales entre le Japon et les États-Unis au sein du Parti et qu’il avait tenu la réunion du groupe de travail hier, et qu’il aimerait jouer un rôle dans la discussion de l’orientation du Japon, la formulation de propositions, et la réalisation des résolutions de la Diète.

> Le Parti démocratique constitutionnel a tenu sa réunion parlementaire à l’Assemblée nationale le 1 avril. Invité par le professeur Kohei Komamura de la faculté d’économie de l’université Keio, « Nécessité et importance du projet de loi sur la réforme des pensions Emploi Importance d’une faible pension pour la génération de l’âge glaciaire n’est pas permise » (1) Importance de la suspension simultanée de la glisse macro-économique (2) Statut de la génération junior du baby boom et de la génération employée de l’âge de glace (3) A long terme, logique, logique Nous avons parlé de la nécessité etc d’un "dispositif" qui puisse réformer transversalement.
Au début de son discours, le représentant par intérim Akira Nagatsuma a déclaré : « Les pensions sont l’épine dorsale du pays et sont importantes pour la stabilité du pays. Il a souligné que les manifestations de démolition du ministère des Finances, qui ont lieu actuellement, peuvent être liées à diverses craintes futures. Cette fois, j’aimerais faire avancer la réforme des retraites, a-t-il déclaré.
Le député de la Chambre des représentants Kazunori Yamai, ministre de la Santé, du Travail et du Bien-être social Next, a souligné que la réforme des retraites est politiquement facile à éviter parce qu’elle implique des problèmes tels que l’augmentation du fardeau, mais il ne faut pas l’éviter pour l’avenir. Il est facile de le quitter parce qu’il sera désavantageux pour l’élection, mais la chose la plus difficile est les personnes de bas âge de la génération active, y compris la génération de l’ère glaciaire. Ils sont forcés à vivre une situation difficile de vieillesse 10 ans plus tard, 20 ans plus tard, 30 ans plus tard avec l’aide sociale et une pension faible. On peut être critiqué, mais nous aimerions travailler ensemble dans les partis au pouvoir et dans l’opposition pour trouver des solutions pour les générations futures.
Le professeur Komamura, en particulier à propos de la réforme des retraites en 2004, a déclaré que la baisse macroéconomique n’avait pas suffisamment fonctionné et n’avait pas mené à la stabilisation des finances des pensions, et si la baisse macroéconomique ne s’était pas arrêtée pendant la demande (2029), Baby Boomers Junior prendra sa retraite en 2040 (65 ans) Il n’est pas possible de supprimer la baisse des pensions des générations d’âge glaciaire. En ce qui concerne le faible problème de pension de la génération d’emploi de l’ère glaciaire, en plus du grand nombre d’employés non réguliers en raison de l’impact de la recherche d’un emploi et du risque élevé de ne pas recevoir une pension suffisante, la grande population et la forte proportion de personnes seules ont également parlé de l’ampleur de son impact social. Il a également souligné que, pour des raisons politiques, le report des réformes est le plus grand risque de la pension d’imposition. Les partis minoritaires au pouvoir et la régularisation électorale fréquente nécessitent des discussions à long terme, logiques plutôt que des discussions émotionnelles à court terme, et les législateurs de gouvernement et d’opposition, les universitaires, les chefs de ministères et d’organismes responsables, le travail et la gestion, etc. sont basés sur le long terme, logique et logique Nous avons besoin d’un dispositif qui peut discuter de la réforme d’une manière interinstitutionnelle, a-t-il dit.
Au cours de la séance de questions et réponses, des échanges de vues ont eu lieu sur l’abolition de la pension de vieillesse en fonction, l’élargissement de l’application de la pension d’aide sociale et son impact sur les petites et moyennes entreprises et les micro-entreprises, et la réponse à la charge du Trésor national due à la fin anticipée de l’ajustement des prestations de retraite de base.

 

● Royaume Uni 
♦ Liberal democrats 
> Les gens s’inquiètent de la guerre commerciale de Trump et veulent savoir comment ils peuvent aider. Il est temps de soutenir les entreprises locales et britanniques, de soutenir nos grandes rues pour montrer que nous ne prendrons pas les tarifs de Trump à la légère.

> Les gens s’inquiètent de la guerre commerciale de Trump et veulent savoir ce qu’ils peuvent faire pour aider. Le gouvernement devrait lancer une campagne pour encourager les gens à acheter des produits britanniques et à soutenir nos grandes rues, dans le cadre d’un effort national visant à soutenir les entreprises britanniques.

> Le comportement de Donald Trump à la Maison Blanche n’est pas celui d’une personne loyale. Il a frappé ses amis et ses ennemis avec des tarifs d’une manière hautement imprévisible et arbitraire.

> Farage avalera tout ce que Donald Trump sert - même du poulet chloré. Il appuie un accord commercial avec Trump qui pourrait forcer le Royaume-Uni à accepter des produits agricoles américains qui ne répondent pas à nos normes.

> Le Jour de la visibilité trans nous célébrons les personnes trans et nous soutenons la communauté trans contre la haine et la discrimination. À tous nos membres trans, non-binaires et non conformistes de genre, supporters, amis et adeptes : Nous vous respectons, nous vous apprécions - aujourd’hui et chaque jour.

 

Ed Davey (leader) 
> Je crois au libre-échange et je pense que travailler avec d’autres est la meilleure façon de défendre le libre-échange. J’ai dit au premier ministre, à l’heure des questions aujourd’hui, que j’admire la façon dont il a formé une coalition militaire de ceux qui sont prêts à traiter avec Poutine, mais maintenant nous avons besoin d’une coalition économique de ceux qui le sont. Il s’agirait évidemment de nos partenaires européens, mais aussi de nos partenaires du Commonwealth comme le Canada et d’autres partout dans le monde. Si nous ne défendons pas le libre-échange maintenant, il y a un risque de perdre le libre-échange pour une génération.

> J’ai parfois peur de défendre le libre-échange, il faut se battre pour le libre-échange. Et voici une autre chose que les démocrates libéraux défendent. Disons à la Maison-Blanche que nous avons des solutions de rechange. Faisons une union douanière entre le Royaume-Uni et l’UE pour stimuler nos échanges commerciaux avec nos partenaires européens. Concluons un accord commercial avec le Canada. Nous devons montrer que nous avons des solutions de rechange. Cela ferait partie de la stratégie qu’une coalition économique des volontaires déploierait. Il ne s’agit donc pas seulement de droits de rétorsion, je le comprends et cela pourrait en faire partie.

> Nous souffrons déjà des tarifs de Donald Trump. On laisse entendre que les nouveaux droits de douane qu’il imposera à la Grande-Bretagne ne seront peut-être pas aussi élevés qu’ailleurs. Ce n’est guère une grande victoire. Il est maintenant temps d’essayer de se débarrasser de ces droits de douane et de cette menace pour l’économie britannique, pour l’économie européenne et pour l’économie mondiale en s’alignant sur nos alliés ailleurs dans le monde.

> Le problème quand vous traitez avec quelqu’un comme Donald Trump est qu’il est un allié peu fiable, il signe un accord et puis renie.

> Les démocrates libéraux sont ceux qui appellent à une coalition économique des volontaires dans le monde entier. C’est grand. Nous aurions une économie beaucoup plus grande que celle des États-Unis si nous avions tous des gens autour de la même table, comme les libéraux démocrates le préconisent. Et nous ne parlerions pas seulement des droits de douane sur les États-Unis, nous parlerions d’accroître le libre-échange entre nous. Une option très simple serait une union douanière entre le Royaume-Uni et l’UE. Nous parlons donc d’un jeu de somme positive. Pour défendre le libre-échange, oui, mais aussi pour aller plus loin sur le libre-échange. Les conservateurs ont gravement nui à notre économie avec leur paperasserie coûteuse sur l’union douanière, le retrait du marché unique et ainsi de suite. Et il y a une chance pour nous de reconstruire cette relation commerciale, de reconstruire cette croissance, cette force économique.

> Malgré le soutien aux États-Unis dans tous les conflits majeurs de ce siècle — et l’offre d’alléger notre impôt sur les milliardaires américains de la technologie —, nous avons été récompensés par les mêmes tarifs que l’Iran. C’est comme si nous étions censés être reconnaissants Trump a donné à nos amis un œil au beurre noir et nous a laissé avec juste un slip.

> «Dans de nombreux cas, l’ami est pire que l’ennemi» dit Trump. Si mes amis étaient Elon Musk, JD Vance, Vladimir Poutine et Nigel Farage, je ressentirais probablement la même chose.

 

Tim Farron (député) 
> [Guerre commerciale de Trump] Est-ce que l’apogée de notre patriotisme est le cri flatteur que le tyran n’a volé que «la moitié» de notre déjeuner ? J’espère que non.

 

Daisy Cooper (députée) 
> Trump a lancé une guerre commerciale destructrice qui menace les emplois et le niveau de vie des gens à travers le Royaume-Uni et au-delà. Nous ne devons pas abaisser nos normes élevées sur l’agriculture, la sécurité en ligne et notre NHS, dans l’espoir qu’il abolira les tarifs. Nous devons travailler avec des alliés pour le contrer.

> Réduire les impôts des géants américains des médias sociaux serait une insulte pour les personnes handicapées et les aidants qui voient leur soutien réduit.
La façon de répondre à la guerre commerciale destructrice de Trump est de travailler avec nos alliés pour lui tenir tête.
Récompenser un tyran signifie qu’il ne reviendra que pour avoir plus.

> La guerre commerciale destructrice de Trump menace les emplois et le niveau de vie au Royaume-Uni et dans le monde entier. Nous devons rester fermes avec nos alliés du Commonwealth et d’Europe dans une coalition économique de ceux qui le souhaitent.

 

Anna Sabine (députée)
> Les gens sont profondément inquiets, beaucoup d’entre eux étant obligés de choisir entre le chauffage et la nourriture. Le fait que le gouvernement continue de dire que les choses vont s’améliorer alors qu’ils ne l’ont clairement pas fait pour tant d’autres est vraiment inutile.

 

● Suisse 
♦ Le Centre 
> La Suisse est fortement touchée par les droits de douane imposés par les États-Unis. Le Centre attend du Conseil fédéral qu’il trouve des solutions pragmatiques pour les branches concernées.
Le Centre attend du Conseil fédéral qu’il mène les discussions nécessaires, notamment avec l’UE, notre principal partenaire commercial, pour éviter les effets collatéraux de potentielles mesures de rétorsion.
Le Centre défend un ordre économique fondé sur des règles claires et s’engage pour une coopération constructive avec des partenaires commerciaux fiables et dignes de confiance.

> Le contexte géopolitique actuel est marqué par l’instabilité et l’incertitude. Le gouvernement américain a annoncé de nouveaux droits de douane, ce qui renforce encore les tensions dans la politique commerciale. S’y ajoutent les ingérences croissantes des grandes puissances, remettant en cause les règles actuelles du commerce mondial. Un ordre économique fondé sur la confiance et l’État de droit ne va plus de soi. La Suisse doit s’y adapter et s’y préparer. 
Même si les conséquences précises pour notre pays des droits de douane restent encore à clarifier à l’heure actuelle, Le Centre souligne d’ores et déjà que l’économie suisse pourrait être impactée, notamment dans des secteurs stratégiques. Le Centre prend acte des discussions en cours au sein du Conseil fédéral. Il est nécessaire qu’il examine la situation de près. Il attend de sa part une analyse approfondie et rigoureuse des conséquences pour notre économie. « Il s’agit avant tout de renforcer davantage les relations avec nos partenaires commerciaux de confiance et fiables », poursuit Gerhard Pfister 
La protection de notre économie est préférable à un libéralisme naïf 
La Suisse bénéficie fortement d’une économie interconnectée à l’international. Dans ce contexte, des relations stables et constructives avec nos partenaires économiques et commerciaux fiables et de confiance sont essentielles. Les dernières années ont montré que les investissements étrangers dans l’économie suisse n’étaient pas uniquement motivés par des raisons commerciales, mais parfois par des intérêts politiques de la part d’États étrangers. C’est pourquoi Le Centre alerte depuis longtemps contre un libéralisme naïf. Nous devons mieux protéger nos entreprises contre les cyberattaques, les rachats stratégiques et les dépendances dangereuses de nos infrastructures critiques. La loi sur le contrôle des investissements, initiée par Le Centre grâce à la motion Rieder, vise précisément à protéger notre tissu économique de la prise de contrôle d’entreprises stratégiques par des puissances étrangères.

> La CER-N veut suspendre l'examen de l'initiative du Centre pour des impôts équitables jusqu'à ce que le débat sur l'imposition individuelle soit terminé. Notre initiative est la solution la plus juste. Pourquoi ne pas débattre des deux en même temps ?

 

♦ Vert’libéraux 
> Pour le renforcement de notre sécurité : le Conseil fédéral doit désormais s’y atteler!
La sécurité de notre pays est un devoir collectif du Conseil fédéral. Elle doit être une priorité absolue dans tous les départements. En ce sens, les délégué-e-s du PVL ont aujourd’hui adopté une liste des tâches adressée au gouvernement. « Notre sécurité est basée sur une armée digne de ce nom et correctement équipée, et sur une collaboration étroite avec nos principaux voisins et partenaires européens », résume la conseillère nationale et vice-présidente du PVL Céline Weber.
« De simples achats de drones ou de munitions ne suffiront pas, à eux seuls, à rendre notre pays plus sûr. Il faut une action concrète et ciblée de la part de tous les départements », explique le Président du Parti Jürg Grossen. Aux yeux du PVL, il s’agit de reconnaître les nouvelles réalités. Notre réponse aux changements géopolitiques en cours ne doit être ni un pacifisme naïf, ni un isolationnisme irresponsable. Elle doit être réaliste et s’articuler autour de principes de bon sens. « Un pays situé au cœur de l’Europe ne peut organiser sa défense en marge de l’architecture sécuritaire européenne. », souligne la présidente du groupe parlementaire Corina Gredig. La sécurité de la Suisse ne peut être garantie qu’à travers une coopération avec les états partenaires européens.
Les points principaux suivants ressortent du papier de revendications des Vert’libéraux :
- Le PVL demande un rééquipement ciblé de l’armée à organiser selon une politique de sécurité actualisée du Conseil fédéral.
- Les achats d’équipements militaires doivent, lorsque cela est possible, se faire en collaboration avec d’autres pays européens.
- Le département fédéral des finances doit étudier toutes les options en ce qui concerne le financement des priorités de la politique de sécurité, telles que des investissements à crédit, de nouvelles recettes, la création d’un fonds dédié ou une solution mixte.
- Le DETEC doit réduire la dépendance énergétique vis-à-vis de l’étranger, notamment en ce qui concerne les énergies fossiles et l’uranium. Le développement des énergies renouvelables et indigènes, comme l’hydraulique, l’énergie solaire, l’éolien et la biomasse, doit être accéléré.
- La réexportation par des États tiers de matériel de guerre fabriqué en Suisse doit être autorisée lorsque des États démocratiques sont attaqués.

> Le PVL soutient pleinement la stratégie énergétique 2050 ! Un approvisionnement sûr et durable est possible grâce aux énergies renouvelables.

> [Guerre commerciale de Trump] 31 nouvelles raisons de soutenir les Bilatérales III
Les droits de douane de 31% imposés aux produits suisses rappellent à quel point les partenariats stables et fiables avec d’autres pays sont précieux. « Le Président des USA Donald Trump nous offre 31 nouvelles raisons pour lesquelles il faut rapidement ratifier les accords bilatéraux III avec l’UE. Un accès sans entrave au marché unique européen est plus important que jamais », souligne le Président du PVL Jürg Grossen.
Au vu des nouveaux droits de douane imposés de façon totalement arbitraire par la nouvelle administration américaine, il devient d’autant plus clair qu’il nous faut poursuivre des accords de libre-échange avec tous les États qui tiennent au libéralisme et à l’économie de marché. Pour le PVL, il n’y a aucun doute que les droits de douane sont néfastes et appauvrissent les populations concernées.
« Les Bilatérales III sont la clé de la consolidation des relations avec l’Union européenne. Le Conseil fédéral doit maintenant les transmettre rapidement au Parlement et faire avancer ce dossier », s’exprime la cheffe du groupe parlementaire Corina Gredig. Elle appelle toutes les forces constructives à se positionner clairement derrière ce nouvel accord.
En raison des droits de douane élevés imposés par Trump, le Conseil fédéral doit entreprendre des démarches auprès de Washington. Il est inacceptable d’infliger de telles sanctions à la Suisse. Notre pays a supprimé à juste titre tous les droits de douane industriels. La Suisse doit maintenant exiger la réciprocité. Notre gouvernement national doit négocier fermement avec les États-Unis. Une bonne coordination internationale est essentielle à cet égard.

> Le PVL soutient une interdiction de la croix gammée et du salut hitlérien. Des exceptions doivent être prévues pour des usages scolaires, scientifiques, artistiques ou journalistiques.

> Le PVL est d’avis que les actes de torture doivent constituer une infraction à part entière. Cela permet de combler une lacune juridique et de respecter nos engagements internationaux.

 

Céline Weber (vice-présidente)
> A peine les annonces sur les nouveaux tarifs douaniers des USA sont-ils connus, que le Conseil Fédéral s'entretient avec... l' UE. Qu'on le veuille ou non, par temps de crise comme en tant normal, l'UE est notre principal partenaire.

> Les droits de douane imposés par Trump à la Suisse montrent à quel point il nous faut des partenaires fiables. Stabilisons nos relations avec l’UE grâce aux Bilatérales III – plus cruciales que jamais.

 

● Venezuela
♦ Vente Venezuela
María Corina Machado (leader)
> C’est avec une profonde émotion et gratitude que nous recevons le prix Héros de la Démocratie décerné par l’Initiative Renouveler la Démocratie en reconnaissance de l’immense lutte du peuple vénézuélien et de son témoignage de courage, de force et de résilience.
Notre combat ne vise pas seulement la démocratie au Venezuela, mais aussi les principes de liberté et de dignité humaine qui unissent toutes les nations libres.
Cette lutte a été longue et douloureuse, mais rien ne nous arrêtera. Hasta el final signifie un Venezuela libre et un continent libre!

> À toutes les victimes des régimes de Chávez et Maduro, au Venezuela et ailleurs, et à leurs familles: nous nous engageons à rendre justice, à éradiquer l’impunité et à construire un système où la vérité et la réparation ne sont pas négociables.
Ils ne sont pas seuls : leur douleur est la douleur du Venezuela, leur lutte est notre lutte.

 

 


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