Il a simplement réussi à réintroduire un criminel de guerre dans la communauté internationale et à insulter un héros de la résistance démocratique au totalitarisme, Volodymyr Zelensky.
Et malgré ses menaces, il n’a même pas réussi à modérer les agissements barbares du maître du Kremlin.
Dernier en date, un bombardement près d’une aire de jeux de la ville de Kryvyï Rih qui a tué neuf enfants.
Pas des soldats, pas des personnalités politiques, ni même des femmes et des hommes, ce qui serait déjà une infâmie puisqu’il a déclenché ce carnage, mais des enfants qui au fil de cette guerre ont payé un lourd tribut.
Voilà qui assurerait à ce despote, sans doute le peloton d’exécution en Ukraine et certainement la prison à vie s’il était jugé par la Cour pénale internationale qui a lancé un mandat d’arrêt pour le neutraliser, cour dont Donald Trump a décidé de poursuivre les juges…
Dans ce monde des autocrates et dictateurs où la vie d’un enfant ne vaut plus rien, il est important de consigner tous ces assassinats abjects et de s’en rappeler pour qu’un jour, le responsables soient châtiés et la mémoire des victimes honorées.
Cet espoir est sans doute difficile à imaginer mais c’était aussi le cas de celui qui animait tous les dépotés des camps de concentration, espoir qui se réalisa, certes imparfaitement mais qui permis de célébrer tous les martyrs qui, aujourd’hui, comptent plus que leurs bourreaux.
Malheureusement le «plus jamais ça» s’est perdu en route…
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