Il faut dire, qu’au-delà des motivations politiques ou des problèmes psychiques des auteurs de ces attaques, la facilité avec laquelle on peut se procurer une arme aide à passer à l’acte et à faire des carnages.
Dans tous les pays de telles violences ont également lieu mais elles sont en augmentation constante comme c’est le cas en France où, à défaut de pouvoir s’armer avec un fusil-mitrailleur, les agresseurs utilisent, comme au Royaume-Uni, des couteaux.
L’assassinat d’une jeune adolescente hier dans un lycée de Nantes par un autre élève dont on ne connait pas encore exactement les motivations et l’état mental pose à nouveau la question de sécurité en milieu scolaire.
Il n’est ainsi pas acceptable que des enfants et des adolescents qui se rendent dans un établissement pour apprendre prennent un risque pour leurs vies.
L’école doit être un sanctuaire et tout doit être fait pour qu’il en soit ainsi.
Que ce soit par l’installation de portiques, par des fouilles plus ou moins aléatoires, par la présence de personnels de sécurité, par une meilleure prise en charge des problèmes psychologiques d’individus fragiles qui ont été repérés, tout doit être fait pour assurer que les élèves ne seront pas des cibles potentielles d’extrémistes ou de malades mentaux.
Les Etats-Unis sont incapables d’y parvenir parce qu’ils refusent d’interdire les armes à feu.
En France, il est temps d’intervenir sans délai pour éviter que la situation soit hors de contrôle, un peu comme est devenu la sécurité dans certains quartiers avec l’ultraviolence des narco-trafiquants.
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