Mais c’est aussi une insulte à l’Europe et à tous les Européens.
Non seulement Trump traite le président d’une démocratie européenne qui résiste tant bien que mal depuis trois ans à l’invasion voulue par un dictateur sanguinaire mais il prend le parti de ce dernier en se moquant de ses alliés européens pour lesquels il n’a pas de mots assez durs alors qu’il couvre de compliments celui qui les menace…
Cette insulte n’est que le début d’un affrontement voulu par le président américain où se mêlent, entre autres, des droits de douane sur les productions européennes, la revendication du Groenland, le soutien aux partis extrémistes européens et la remise en question d’une défense commune contre les menaces extérieures.
Une insulte que les dirigeants et les peuples européens ne peuvent laisser passer.
Et ce n’est pas seulement dans les propos que l’Europe doit réagir comme elle l’a fait après le chaos provoqué par Trump à la Maison blanche, hier.
C’est surtout dans les actes et tout de suite.
[Retrouvez quotidiennement ce billet rédigé par l’équipe du CREC concernant l'actualité du jour]
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