► Emmanuel Macron (Président de la République)
> 7 octobre. La douleur
demeure, aussi vive qu’il y a un an. Celle du peuple israélien. La nôtre. Celle
de l’humanité blessée. Nous n’oublions ni les victimes, ni les otages, ni les
familles aux cœurs brisés par l’absence ou l’attente. Je leur adresse nos pensées
fraternelles.
► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, désormais
dirigé par Michel Barnier, nous ne reprenons que les propos des membres
centristes de celui-ci, c’est-à-dire de 13 d’entre eux; Le parti Renaissance
compte 12 de ses membres dans cette équipe gouvernementale mais trois d’entre
eux sont des personnalités qui se revendiquent de droite dont nous ne reportons
donc pas les propos puisque la ligne politique de ce gouvernement n’est plus
centriste mais essentiellement droitiste]
Jean-Noël Barrot (ministre de l’Europe et des affaires
étrangères)
> Un an après le massacre du 7 octobre, je suis en Israël, sur le site
du festival Nova, frappé au cœur par le terrorisme.
Agnès Pannier-Runacher (ministre de la transition
écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques)
> Il n’y a pas de mots pour décrire l’horreur du 7 octobre 2023. Il n’y
a qu’un silence, lourd, assourdissant. Celui de 1200 âmes sauvagement
assassinées. Celui des otages encore en captivité. La douleur du peuple
israélien est aussi la nôtre.
Geneviève Darrieussecq (ministre de la santé et de
l’accès aux soins)
> Il y a un an, le 7 octobre 2023, 48 de nos compatriotes perdaient
tragiquement la vie lors des attaques terroristes contre Israël, aux côtés de
près de 1200 autres victimes. En ce jour si particulier, nous pensons à eux et
à leurs familles. Nous n’oublions ni leur mémoire, ni celle des 251 otages,
dont nos deux concitoyens, Ohad Yahalomi et Ofer Kalderon, toujours captifs.
Laurent Saint-Martin (ministre auprès du premier
ministre, chargé du budget et des comptes publics)
> Un an après l’attaque terroriste du 7 octobre, la douleur est toujours
là. Nos pensées vont aux victimes, aux otages et à leurs familles. La France
est aux côtés du peuple israélien et partage sa douleur.
Marc Ferracci (ministre délégué auprès du ministre de
l’économie, des finances et de l’industrie, chargé de l’industrie)
> Le 7 octobre 2023, l’horreur de l'attaque terroriste du Hamas ôtait la
vie à plus de 1200 innocents, dont 48 de nos compatriotes. Un an plus tard, la
peine et la douleur restent immenses. Nos pensées vont aux victimes et à leurs
familles. Les 96 otages doivent être rendus à leurs proches.
Marina Ferrari (ministre déléguée auprès du ministre de
l’économie chargée de l’économie du tourisme)
> En ce jour de deuil et de recueillement, mes pensées vont aux victimes
de ces attaques terroristes barbares. Je m'incline devant la douleur de leurs
familles et leurs proches. En solidarité et en fraternité avec le peuple
israélien dont nous partageons la peine et la tristesse.
Olga Givernet (ministre déléguée auprès de la ministre de
la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des
risques, chargée de l’énergie)
> Il y a un an, le 7 octobre 2023,
Israël plongeait dans le deuil. Aujourd'hui, 97 otages, dont 2 Français, Ohad
Yahalomi et Ofer Kalderon, sont encore détenus. Ne les oublions pas !
► Assemblée
nationale
Yaël Braun-Pivet (présidente)
> Le 7 octobre 2023, l’horreur terroriste du Hamas ôtait la vie à plus
de 1200 innocents, dont 42 de nos concitoyens, plongeant des familles dans
l’angoisse, la détresse et le deuil. Un an s'est écoulé, et deux de nos
compatriotes demeurent captifs de leurs ravisseurs. Aucun nom, aucun visage,
aucun destin ne doit être oublié.
► Partis
politiques
● Renaissance
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes
et se considèrent à droite ou à gauche ne sont plus retranscrits]
Gabriel Attal (député, président du
groupe Ensemble pour la république à l’Assemblée nationale)
> Le 7 octobre 2023, une attaque terroriste menée par le Hamas est venue
meurtrir dans sa chair le peuple israélien et bouleverser le monde entier. 1
200 morts, dont 48 de nos compatriotes. Un an plus tard, le chagrin et la
douleur restent immenses. Mes pensées vont aux victimes et à leurs familles.
Les 96 otages doivent être rendus à leurs proches.
Stéphane Séjourné (secrétaire
général de Renaissance)
> Le 7/10/2023, plus de 1 200 personnes ont été assassinées et 250 ont
été enlevées par les terroristes du Hamas. Nous n'oublions pas les otages
encore aux mains des terroristes et nous nous battrons pour leur libération.
Ensemble, poursuivons le combat contre l’antisémitisme.
Elisabeth Borne (députée, ancienne Première ministre)
> Mes pensées accompagnent les victimes, les otages et leurs proches
dans ces moments de souffrance. N’oublions jamais.
Aurore Bergé
(députée)
> C'était il y a un an.
Aujourd'hui, nous sommes aux côtés du peuple israélien meurtri dans sa chair
par les attaques terroristes du 7 octobre, les assassinats, les viols, les
enlèvements. Jamais nous n'oublierons.
Roland Lescure
(député)
> Mes pensées vont aux victimes de l’attaque terroriste du 7 octobre
2023, aux otages et à leurs proches. Je pense tout particulièrement aux 48
victimes françaises et aux 2 otages français Ohad Yahalomi et Ofer Kalderon.
Thomas Cazenave
(député)
> Un an après les attaques du 7 octobre, rassemblés à Bordeaux comme
partout en France pour réaffirmer notre engagement contre l’antisémitisme.
Sylvain Maillard (député)
> 7 octobre 2023 Plus de 3000 terroristes s’infiltrent en Israël, pour
massacrer, brûler, violer mutiler, 1205 personnes. 240 hommes, femmes et
enfants sont pris en otage par le Hamas et emmenés à Gaza. Nous, députés de la
République française, souvenons-nous.
Jean-René Cazeneuve
(député)
> Il y a 1 an, l'horreur absolue, la sauvagerie à l'état pur. Hamas,
Hezbollah, Iran ont attaqué Israël qui a le droit de se défendre et lutte pr sa
survie Mes pensées vont aux otages et aux victimes. Il est temps maintenant de
chercher une issue politique/ diplomatique.
Pierre Cazeneuve
(député)
> Souvenons-nous.
Prisca Thevenot
(députée)
> Ils voulaient juste danser. Le 7 octobre 2023, ils ont été tués parce
que juifs. Le 7 octobre 2023, le Hamas a mené l’attaque terroriste la plus
sanglante de l’histoire d’Israël. En ce jour difficile, mes pensées vont aux
familles endeuillées et à tous ceux encore retenus.
Pieyre-Alexandre
Anglade (député)
> 7 octobre un an après ! Aujourd’hui, nous rendons hommage aux victimes
et exprimons notre solidarité avec le peuple israélien. Nous n’oublions rien !
Ni les victimes, ni les otages, ni nos 48 compatriotes qui ont perdu la vie
lors de ces attaques terroristes barbares.
● MoDem
Maud Gatel (Secrétaire générale)
> Il y a un an, l'ignominie faisait basculer notre monde. Ces images
nous hanteront à jamais. Depuis 365 jours, nous pensons aux otages, aux
victimes et à leur famille et sommes aux côtés de nos concitoyens juifs
victimes des semeurs de haine.
Bruno Millienne (porte-parole)
> Nous n'oublierons jamais. Nous n'oublierons jamais non plus que depuis
cette date Mélenchon et sa secte LFI-islamo-gauchistes-antisémites font tout
pour importer ce conflit en France. En appelant demain à mettre au fronton de
toutes les universités le drapeau palestinien, ils perpétuent l'horreur de
cette date à jamais gravée dans nos mémoires. Honte à eux.
Marc Fesneau (député,
président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale)
> ’obscur anniversaire du 7 octobre réveille en nos esprits l’indicible.
L’indicible face au plus grand massacre antisémite commis depuis la
seconde guerre mondiale, celui de plus de 1200 civils tués parce que Juifs.
L’indicible face à la captivité de 63
otages, parmi lesquels deux de nos compatriotes, encore détenus par les
défenseurs de la haine fanatique.
L’indicible face à la violence antisémite décomplexée et libérée qui gagne
depuis lors notre pays, au gré des rues, au sein d’établissements scolaires,
devant des synagogues, sur Internet.
L’indicible face à certaines voix de notre classe politique qui, en voyant dans
le Hamas un « mouvement de résistance », en souhaitant « voir le
drapeau palestinien flotter partout en France » ou en soupçonnant un
membre du gouvernement d’être « acquis à la cause de Benyamin
Netanyahou » pour la seule raison d’être juif, attisent de la manière la
plus vile qui soit le communautarisme et colportent sous un nouveau visage un
antisémitisme qui ne dit pas son nom.
L’indicible face à l’indignation, chaque jour plus insoutenable, devant ces
milliers de civils palestiniens tués dans la bande de Gaza par une guerre
désormais régionale, conduite sans que l’on puisse y entrevoir à cette heure la
moindre perspective de résolution politique. Sans ne serait-ce qu’entrevoir la
paix.
En cet obscur anniversaire du 7 octobre, face à l’indicible, nous pensons à
toutes les victimes des terroristes de ce jour tragique et aux familles
d’otages. Remémorons-nous combien l’unité de la France et ses fondements sont
notre bien commun. Combien chacune et chacun de nous en est le dépositaire.
Combien le combat pour nos valeurs exige le sursaut moral de tous. Et
continuons l’inlassable engagement en faveur d’une solution à deux États, seule
à même de garantir la sécurité d’Israël et de répondre aux aspirations
légitimes des Palestiniens.
● Parti radical
> Ce 7 octobre, moment d’hommage aux victimes des crimes terroristes
ignobles commis contre des civils israéliens par le Hamas, doit mener la France
et l’ensemble des puissances occidentales à une double interrogation.
D’abord, et avant tout, comment contribuer utilement à l’apaisement de
l’embrasement géopolitique dramatique que cette attaque a suscité autour
d’Israël, attisé récemment par l’attaque iranienne sans précédent sur le sol
israélien. Notre pays doit renouveler avec clarté son soutien à l’existence de
l’Etat d’Israël, menacé constamment, notamment par le programme nucléaire
iranien. Mais ce soutien ne saurait légitimer les actions militaires contre des
civils dans la bande de Gaza ou au Sud Liban. Une diplomatie plus forte et plus
claire doit être mise en œuvre au plan européen, alors même que les Etats-Unis
sont empêtrés dans leur campagne électorale.
Ensuite, la situation doit conduire la France à s’interroger sur sa relation
ambiguë à l’antisémitisme, qui est, aujourd’hui, ouvertement assumé par une
partie de nos concitoyens et la plupart de leurs représentants
politiques : le soutien à la cause palestinienne ne saurait servir de
prétexte à la haine des juifs dans un pays, la France, qui a connu des heures
sombres à cet égard. Il faut condamner et poursuivre avec fermeté toute
controverse à ce sujet.
En ce jour de commémoration, le Parti radical, fondement historique de la
République et de la laïcité, ne saurait accepter que la France ne se commette
dans des atermoiements politiques à ce sujet. Sa présidente Nathalie Delattre
assure le peuple israélien de son soutien sans faille et exhorte les parties
prenantes régionales à retrouver la voie d’une cohabitation pacifique: « La
France doit continuer à jouer son rôle diplomatique dans la désescalade et la
recherche de solutions politiques, dont la solution à deux Etats, pour amorcer
une paix durable ».
► Autres
● Organisations centristes
♦ Renew Europe
(Députés français du groupe centriste au Parlement européen)
Valérie Hayer (députée ,présidente)
> Il y a un an, le peuple israélien était la cible d’attentats
terroristes d’une barbarie sans nom menés par le Hamas. Notre cœur se serre en
ce 7 octobre. Ces attaques ont mené à la mort de tant de victimes, à tant
d’otages qui doivent être libérés sans condition, à un cycle de violence qui a
également touché les civils palestiniens. Tous les efforts pour un
cessez-le-feu doivent être conduits afin que se taisent enfin les armes. Aussi
tôt que possible, une solution politique à deux États devra garantir la sécurité
d’Israël et la paix dans la région.
Marie-Pierre
Vedrenne (députée)
> Le 7 octobre, Israël fut victime d’une attaque terroriste qui a coûté
la vie à plus de 1200 personnes Pensées pour les disparus, leurs familles et
les otages encore détenus par le Hamas.