lundi 7 octobre 2024

Propos centristes. France – Spécial anniversaire du massacre des terroristes du Hamas en Israël


Voici une sélection, ce 7 octobre 2024, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. 

► Emmanuel Macron (Président de la République)
> 7 octobre. La douleur demeure, aussi vive qu’il y a un an. Celle du peuple israélien. La nôtre. Celle de l’humanité blessée. Nous n’oublions ni les victimes, ni les otages, ni les familles aux cœurs brisés par l’absence ou l’attente. Je leur adresse nos pensées fraternelles.

 

► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, désormais dirigé par Michel Barnier, nous ne reprenons que les propos des membres centristes de celui-ci, c’est-à-dire de 13 d’entre eux; Le parti Renaissance compte 12 de ses membres dans cette équipe gouvernementale mais trois d’entre eux sont des personnalités qui se revendiquent de droite dont nous ne reportons donc pas les propos puisque la ligne politique de ce gouvernement n’est plus centriste mais essentiellement droitiste]

Jean-Noël Barrot (ministre de l’Europe et des affaires étrangères)
> Un an après le massacre du 7 octobre, je suis en Israël, sur le site du festival Nova, frappé au cœur par le terrorisme.

 

Agnès Pannier-Runacher (ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques)
> Il n’y a pas de mots pour décrire l’horreur du 7 octobre 2023. Il n’y a qu’un silence, lourd, assourdissant. Celui de 1200 âmes sauvagement assassinées. Celui des otages encore en captivité. La douleur du peuple israélien est aussi la nôtre.

 

Geneviève Darrieussecq (ministre de la santé et de l’accès aux soins)
> Il y a un an, le 7 octobre 2023, 48 de nos compatriotes perdaient tragiquement la vie lors des attaques terroristes contre Israël, aux côtés de près de 1200 autres victimes. En ce jour si particulier, nous pensons à eux et à leurs familles. Nous n’oublions ni leur mémoire, ni celle des 251 otages, dont nos deux concitoyens, Ohad Yahalomi et Ofer Kalderon, toujours captifs.

 

Laurent Saint-Martin (ministre auprès du premier ministre, chargé du budget et des comptes publics)
> Un an après l’attaque terroriste du 7 octobre, la douleur est toujours là. Nos pensées vont aux victimes, aux otages et à leurs familles. La France est aux côtés du peuple israélien et partage sa douleur.

 

Marc Ferracci (ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé de l’industrie)
> Le 7 octobre 2023, l’horreur de l'attaque terroriste du Hamas ôtait la vie à plus de 1200 innocents, dont 48 de nos compatriotes. Un an plus tard, la peine et la douleur restent immenses. Nos pensées vont aux victimes et à leurs familles. Les 96 otages doivent être rendus à leurs proches.

 

Marina Ferrari (ministre déléguée auprès du ministre de l’économie chargée de l’économie du tourisme)
> En ce jour de deuil et de recueillement, mes pensées vont aux victimes de ces attaques terroristes barbares. Je m'incline devant la douleur de leurs familles et leurs proches. En solidarité et en fraternité avec le peuple israélien dont nous partageons la peine et la tristesse.

 

Olga Givernet (ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques, chargée de l’énergie)
> Il y a un an, le 7 octobre 2023, Israël plongeait dans le deuil. Aujourd'hui, 97 otages, dont 2 Français, Ohad Yahalomi et Ofer Kalderon, sont encore détenus. Ne les oublions pas !

 

► Assemblée nationale 
Yaël Braun-Pivet (présidente) 
> Le 7 octobre 2023, l’horreur terroriste du Hamas ôtait la vie à plus de 1200 innocents, dont 42 de nos concitoyens, plongeant des familles dans l’angoisse, la détresse et le deuil. Un an s'est écoulé, et deux de nos compatriotes demeurent captifs de leurs ravisseurs. Aucun nom, aucun visage, aucun destin ne doit être oublié.

 

► Partis politiques 
● Renaissance 
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent à droite ou à gauche ne sont plus retranscrits]
Gabriel Attal (député, président du groupe Ensemble pour la république à l’Assemblée nationale)
> Le 7 octobre 2023, une attaque terroriste menée par le Hamas est venue meurtrir dans sa chair le peuple israélien et bouleverser le monde entier. 1 200 morts, dont 48 de nos compatriotes. Un an plus tard, le chagrin et la douleur restent immenses. Mes pensées vont aux victimes et à leurs familles. Les 96 otages doivent être rendus à leurs proches.

 

Stéphane Séjourné (secrétaire général de Renaissance)
> Le 7/10/2023, plus de 1 200 personnes ont été assassinées et 250 ont été enlevées par les terroristes du Hamas. Nous n'oublions pas les otages encore aux mains des terroristes et nous nous battrons pour leur libération. Ensemble, poursuivons le combat contre l’antisémitisme.

 

Elisabeth Borne (députée, ancienne Première ministre)
> Mes pensées accompagnent les victimes, les otages et leurs proches dans ces moments de souffrance. N’oublions jamais.

 

Aurore Bergé (députée)
> C'était il y a un an. Aujourd'hui, nous sommes aux côtés du peuple israélien meurtri dans sa chair par les attaques terroristes du 7 octobre, les assassinats, les viols, les enlèvements. Jamais nous n'oublierons.

 

Roland Lescure (député)
> Mes pensées vont aux victimes de l’attaque terroriste du 7 octobre 2023, aux otages et à leurs proches. Je pense tout particulièrement aux 48 victimes françaises et aux 2 otages français Ohad Yahalomi et Ofer Kalderon.

 

Thomas Cazenave (député)
> Un an après les attaques du 7 octobre, rassemblés à Bordeaux comme partout en France pour réaffirmer notre engagement contre l’antisémitisme.

 

Sylvain Maillard (député) 
> 7 octobre 2023 Plus de 3000 terroristes s’infiltrent en Israël, pour massacrer, brûler, violer mutiler, 1205 personnes. 240 hommes, femmes et enfants sont pris en otage par le Hamas et emmenés à Gaza. Nous, députés de la République française, souvenons-nous.

 

Jean-René Cazeneuve (député)
> Il y a 1 an, l'horreur absolue, la sauvagerie à l'état pur. Hamas, Hezbollah, Iran ont attaqué Israël qui a le droit de se défendre et lutte pr sa survie Mes pensées vont aux otages et aux victimes. Il est temps maintenant de chercher une issue politique/ diplomatique.

 

Pierre Cazeneuve (député)
> Souvenons-nous.

 

Prisca Thevenot (députée)
> Ils voulaient juste danser. Le 7 octobre 2023, ils ont été tués parce que juifs. Le 7 octobre 2023, le Hamas a mené l’attaque terroriste la plus sanglante de l’histoire d’Israël. En ce jour difficile, mes pensées vont aux familles endeuillées et à tous ceux encore retenus.

 

Pieyre-Alexandre Anglade (député) 
> 7 octobre un an après ! Aujourd’hui, nous rendons hommage aux victimes et exprimons notre solidarité avec le peuple israélien. Nous n’oublions rien ! Ni les victimes, ni les otages, ni nos 48 compatriotes qui ont perdu la vie lors de ces attaques terroristes barbares.

 

● MoDem 
Maud Gatel (Secrétaire générale)
> Il y a un an, l'ignominie faisait basculer notre monde. Ces images nous hanteront à jamais. Depuis 365 jours, nous pensons aux otages, aux victimes et à leur famille et sommes aux côtés de nos concitoyens juifs victimes des semeurs de haine.

 

Bruno Millienne (porte-parole)
> Nous n'oublierons jamais. Nous n'oublierons jamais non plus que depuis cette date Mélenchon et sa secte LFI-islamo-gauchistes-antisémites font tout pour importer ce conflit en France. En appelant demain à mettre au fronton de toutes les universités le drapeau palestinien, ils perpétuent l'horreur de cette date à jamais gravée dans nos mémoires. Honte à eux.

 

Marc Fesneau (député, président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale)
> ’obscur anniversaire du 7 octobre réveille en nos esprits l’indicible.   L’indicible face au plus grand massacre antisémite commis depuis la seconde guerre mondiale, celui de plus de 1200 civils tués parce que Juifs.  
 L’indicible face à la captivité de 63 otages, parmi lesquels deux de nos compatriotes, encore détenus par les défenseurs de la haine fanatique.  
L’indicible face à la violence antisémite décomplexée et libérée qui gagne depuis lors notre pays, au gré des rues, au sein d’établissements scolaires, devant des synagogues, sur Internet.  
L’indicible face à certaines voix de notre classe politique qui, en voyant dans le Hamas un « mouvement de résistance », en souhaitant « voir le drapeau palestinien flotter partout en France » ou en soupçonnant un membre du gouvernement d’être « acquis à la cause de Benyamin Netanyahou » pour la seule raison d’être juif, attisent de la manière la plus vile qui soit le communautarisme et colportent sous un nouveau visage un antisémitisme qui ne dit pas son nom.  
L’indicible face à l’indignation, chaque jour plus insoutenable, devant ces milliers de civils palestiniens tués dans la bande de Gaza par une guerre désormais régionale, conduite sans que l’on puisse y entrevoir à cette heure la moindre perspective de résolution politique. Sans ne serait-ce qu’entrevoir la paix.  
En cet obscur anniversaire du 7 octobre, face à l’indicible, nous pensons à toutes les victimes des terroristes de ce jour tragique et aux familles d’otages. Remémorons-nous combien l’unité de la France et ses fondements sont notre bien commun. Combien chacune et chacun de nous en est le dépositaire. Combien le combat pour nos valeurs exige le sursaut moral de tous. Et continuons l’inlassable engagement en faveur d’une solution à deux États, seule à même de garantir la sécurité d’Israël et de répondre aux aspirations légitimes des Palestiniens.

 

● Parti radical 
> Ce 7 octobre, moment d’hommage aux victimes des crimes terroristes ignobles commis contre des civils israéliens par le Hamas, doit mener la France et l’ensemble des puissances occidentales à une double interrogation.
D’abord, et avant tout, comment contribuer utilement à l’apaisement de l’embrasement géopolitique dramatique que cette attaque a suscité autour d’Israël, attisé récemment par l’attaque iranienne sans précédent sur le sol israélien. Notre pays doit renouveler avec clarté son soutien à l’existence de l’Etat d’Israël, menacé constamment, notamment par le programme nucléaire iranien. Mais ce soutien ne saurait légitimer les actions militaires contre des civils dans la bande de Gaza ou au Sud Liban. Une diplomatie plus forte et plus claire doit être mise en œuvre au plan européen, alors même que les Etats-Unis sont empêtrés dans leur campagne électorale.
Ensuite, la situation doit conduire la France à s’interroger sur sa relation ambiguë à l’antisémitisme, qui est, aujourd’hui, ouvertement assumé par une partie de nos concitoyens et la plupart de leurs représentants politiques : le soutien à la cause palestinienne ne saurait servir de prétexte à la haine des juifs dans un pays, la France, qui a connu des heures sombres à cet égard. Il faut condamner et poursuivre avec fermeté toute controverse à ce sujet.
En ce jour de commémoration, le Parti radical, fondement historique de la République et de la laïcité, ne saurait accepter que la France ne se commette dans des atermoiements politiques à ce sujet. Sa présidente Nathalie Delattre assure le peuple israélien de son soutien sans faille et exhorte les parties prenantes régionales à retrouver la voie d’une cohabitation pacifique: « La France doit continuer à jouer son rôle diplomatique dans la désescalade et la recherche de solutions politiques, dont la solution à deux Etats, pour amorcer une paix durable ».

 

► Autres 
● Organisations centristes 
♦ Renew Europe
(Députés français du groupe centriste au Parlement européen) 
Valérie Hayer (députée ,présidente)
> Il y a un an, le peuple israélien était la cible d’attentats terroristes d’une barbarie sans nom menés par le Hamas. Notre cœur se serre en ce 7 octobre. Ces attaques ont mené à la mort de tant de victimes, à tant d’otages qui doivent être libérés sans condition, à un cycle de violence qui a également touché les civils palestiniens. Tous les efforts pour un cessez-le-feu doivent être conduits afin que se taisent enfin les armes. Aussi tôt que possible, une solution politique à deux États devra garantir la sécurité d’Israël et la paix dans la région.

 

Marie-Pierre Vedrenne (députée)
> Le 7 octobre, Israël fut victime d’une attaque terroriste qui a coûté la vie à plus de 1200 personnes Pensées pour les disparus, leurs familles et les otages encore détenus par le Hamas.

 

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