► Emmanuel Macron (Président de la République)
> [Discours lors de la
cérémonie des 80 ans de la libération et le débarquement de Provence]
Aux premières heures de la nuit du 15 août 1944, la côte méditerranéenne encore
sous occupation allemande était plongée dans les ténèbres. Soudain, au Canadel,
le chef de gare fut tiré de son sommeil par une voix pressante. « Qui est là »,
demanda-t-il, craignant d’être arrêté sur le champ par la Gestapo. A travers
les volets, la voix, celle du capitaine Albert Thorel, lui répondit : « Ouvrez
! C’est l’Armée d’Afrique ». L’Armée d’Afrique. Le chef de gare ouvrit,
incrédule, bouleversé.
Certes, deux mois après le Débarquement de Normandie, alors que les armées du
Reich refluaient en catastrophe, beaucoup s’attendaient à une attaque des
Alliés en Provence, pour s’emparer des ports de Méditerranée en eaux profondes
et prendre les armées du Reich à revers.
Certes, même retardée, l’opération Dragoon se préparait depuis des semaines sur
des maquettes bâties grâce aux renseignements de la Résistance française. Elle
avait été engagée, à partir du 9 août, lors de l’embarquement des centaines de
milliers de soldats français, anglais, américains, à Tarente, Oran ou Brindisi.
Et plus personne ne pouvait en douter depuis que la plus grande flotte jamais
vue en Méditerranée, deux mille navires américains et britanniques, croiseurs,
destroyers, contre-torpilleurs, avisos, transporteurs de troupes, s’était
rassemblée au large de la Corse.
Certes, aussi, les jours précédents, les raids aériens des Alliés avaient été
si nombreux que les églises de la côte, à Saint-Maximin ou au Lavandou, avait
renoncé par avance à célébrer la messe du 15 août. Pourtant, cette nuit-là,
l’émotion étreignait le chef de gare et le capitaine Thorel. L’attaque avait
commencé.
Une opération aux proportions épiques : quatre-vingt-dix mille soldats bientôt
jetés à l’assaut du rivage de France, sur ce chapelet de minces plages, de
calanques, de falaises défendues par plusieurs dizaines de milliers d’hommes de
la Wehrmacht.
Pour permettre son succès, il fallait profiter de la nuit impénétrable, cette
poignée d’heures entre minuit et l’aube. Pour les éclaireurs et les commandos
chargés de détruire les premières défenses ennemies, la nuit la plus courte.
Sur l’île du Levant,
et à Port-Cros, verrous de la rade de Hyères, que les commandos américains et
canadiens investirent à l’heure zéro. Au pied du Cap Nègre, où les
commandos d’Afrique furent projetés et où ils durent grimper la falaise à mains
nues, afin de neutraliser les batteries allemandes.
Sur une autre plage, enfin, celle de l’Esquillon, entre le Trayas et Théoules,
où les hommes du Groupe Naval de la marine préférèrent continuer à avancer dans
un champ de mines plutôt que de rebrousser chemin.
Grâce à ces avant-gardes, à l’aube, sur les plages Alpha à l’ouest, à
Ramatuelle et Cavalaire, sur les plages du secteur Delta, à Sainte-Maxime, les
premières divisions américaines foulèrent le sable jonché de mines et de
torpilles.
Bientôt sous les bombes allemandes et les tirs des bunkers érigés par Rommel, «
l’extraordinaire carrousel » des barges de débarquement se mit en mouvement.
File ininterrompue d’hommes et de tanks, de machines et de bataillons. Parfois
repoussée, comme sur le secteur Camel, sur la plage de Fréjus -Saint-Raphaël
que les hommes du général Patch délaissèrent pour poser finalement le pied au
Dramont et à Agay.
Alors à midi, sur le sémaphore de Sainte-Maxime flottait un drapeau américain.
Place des Lices, à Saint-Tropez, les soldats allemands arrêtés défilaient les
mains en l’air.
Le lendemain, la jonction s’opérait à travers les collines des Maures, avec les
plus de neuf mille Américains et Canadiens du général Frederick parachutés dans
la plaine de l’Argens, sur une zone dégagée par la Résistance.
« Il y avait eu le 6 juin en Normandie, mais ce jour-là, ce n’était pas la même
chose », confia l’un des hommes du général de Lattre. Ce n’était pas la même
chose car ici, en Provence débarquèrent deux cent trente mille soldats
français, solidement armés et préparés par nos alliés américains. Un grand
nombre d’entre eux, spahis, goumiers, tirailleurs africains, Antillais,
marsouins du Pacifique n’avaient jamais foulé le sol de la métropole et
découvraient un littoral de rochers rouges.
D’autres s’étaient au contraire évadés de France, comme ce marin de la France
Libre, débarqué plage des Sardinaux, sans nouvelles de sa famille depuis quatre
ans, qui se dirigea vers sa maison de Sainte-Maxime et tomba dans les bras de
son père. Beaucoup, comme Yorgui Koli, né au Tchad ou Mohamed Bel Hadj, venu
d’Algérie, tous deux faits Compagnons de la Libération après-guerre, s’étaient
déjà illustrés pour leur bravoure dans les batailles de Tunisie et d’Italie.
Certains, sur le croiseur américain Parker pavoisé du drapeau tricolore,
entonnèrent avant l’assaut une inoubliable « Marseillaise ».
Leurs éclaireurs, comme le lieutenant-colonel Bouvet, l’un des héros de
l’ascension du Cap Nègre, prirent une minute dans la nuit pour porter à leurs
lèvres un peu de sable des plages varoises, le sable de la France retrouvée.
Parmi eux, Hubert Germain lui-même débarquant sur ces côtés racontait avoir
pris une poignée de cette terre, terre et sable mêlée, tant attendue et
désirée, pour la porter à son visage.
Des centaines connurent ce sol de France pour quelques heures seulement –tel
Albert Thorel, l’homme de la gare du Canadel, tombé le lendemain à l’assaut de
la pointe de la Fossette, en même temps que son ordonnance, Mohammed Ben Bakr.
Ces hommes de l’armée française s’appelaient François, Boudjemah, Ari, Pierre,
Niakara. Ils venaient de Corse et du Poitou. Du Pacifique et d’Algérie. Du
Sénégal et des Ardennes. Officiers de l’Empire ou enfants du Sahara, natifs de
la Casamance ou de Madagascar. Anciens poilus de Verdun ou jeunes hommes
précipités dans l’étrange défaite.
Ils n’étaient pas de la même génération, ils n’étaient pas de la même
confession, ils n’étaient pas de la même condition. Ils étaient pourtant
l’armée de la Nation. Armée la plus bigarrée et la plus fervente. Ils
étaient pour leur chef le général de Lattre de Tassigny à la fois les «
Grognards » passés par Monte-Cassino ou la Libye, et des cœurs encore jeunes
pleins de « l’enthousiasme des Volontaires de 1792 ».
Soldats comme ceux de l’An II. Soldats de l’acte II de la Libération du pays.
Soldats convaincus que lorsqu’il s’agit de défendre l’intérêt vital de la
Nation, tous ceux qui se reconnaissent comme Français ont vocation à être
ensemble.
Et dès le 16 août, parce que nos alliés Américains voulurent leur laisser
l’honneur de reconquérir leur patrie, les hommes de la première armée française
foncèrent vers Toulon, vers Marseille qu’Hitler avait ordonné de défendre
jusqu’à la dernière cartouche.
« Ouvrez ! C’est l’armée d’Afrique » avait dit le capitaine Thorel. Et les
portes de la liberté s’ouvrirent en effet sur leurs pas. Portes des batteries
de Mauvanne, conquises par les commandos d’Afrique, et celles du Golf Hôtel sur
la route d’Hyères enlevées par la première division des Français Libres. Celles
des villages du Gapeau, enfoncées par les assauts des tirailleurs sénégalais et
des blindés des chasseurs d’Afrique, lors d’une bataille au corps au corps,
couteau contre poignard, dans les rues provençales.
Celles de Toulon que l’armée allemande avait l’ordre de tenir et qui cédèrent
le 28 août au prix d’un siège d’une semaine mené par les tirailleurs algériens
et sénégalais, épaulés par les hommes du Choc, rejoignant dans les décombres
les Résistants toulonnais.
Portes de Marseille gardées sur les collines par des massifs de calcaire, par
le verrou d’Aubagne, où les goumiers et les tabors mirent en fuite les
Allemands le 22 août. Ces portes que les armées françaises franchirent enfin,
sur une inspiration pleine d’audace du général de Monsabert, Marseille fidèle à
son esprit de Résistance, Marseille entrée en insurrection contre l’occupant,
Marseille révoltée de l’Estaque aux Réformés, Marseille libérée quand les
derniers allemands baissèrent les armes au Frioul ou sur les contreforts de
Notre-Dame-de-la-Garde.
Avec une avance de plus d’un mois sur les prévisions, ce furent aux portes de
Nod, près d’Autun, en Bourgogne, le 12 septembre, qu’un officier de la deuxième
division blindée du général Leclerc serra la main d’un officier de la première
division des Français libres du général Brosset. Le premier venait du Nord et
avait débarqué en Normandie, le second venait du sud et avait accosté en
Provence.
Les deux armées se donnaient la main. Geste de reconnaissance et de fraternité.
Serment de poursuivre le combat jusqu’à la victoire, dans les Ardennes et
pendant l’hiver suivant, des batailles terribles, jusqu’à la libération de
Strasbourg et au-delà, jusqu’à la capitulation de l’Allemagne nazie que signa
pour la France le général de Lattre de Tassigny le 8 mai 1945.
Et c’est le même geste de reconnaissance, de fraternité, d’espérance pour
l’avenir que la Nation accomplit aujourd’hui.
Ici, dans cette nécropole de Boulouris, cimetière marin qui garde les tombes de
quatre-cent soixante-six héros parmi les milliers passés là. Français
pieds-noirs d’Algérie, du Maroc, de Tunisie. Français des outremers, des
Antilles au Pacifique, secondés par les Français de la Résistance intérieure.
Américains, Britanniques, Canadiens, qui loin de leur pays natal, ont trouvé la
mort sur un chemin de Provence, sur une plage de Méditerranée.
Africains. Ces soldats français et d’Afrique dont certains des vétérans se
tiennent devant nous. La part d’Afrique en France c’est aussi ce legs qui nous
oblige et je salue aujourd’hui la présence des Présidents du Cameroun, de
Centrafrique, des Comores, du Gabon, du Togo, à vos côtés mon seigneur,
honorant cette mémoire monégasque, aux côtés de Monsieur le Premier ministre du
Maroc et la présence des représentants de Côte d’Ivoire, de Madagascar et du
Sénégal, et de jeunes lycéens de Thiaroye. Comme la France n’oublie rien des
sacrifices des Congolais, des Béninois, ni celle des peuples du Burkina Faso,
du Mali et du Niger et de tant d’autres. Non, rien de la plus belle mémoire de
ces hommes n’est oublié. Leurs noms doivent continuer d’être donnés à nos rues,
à nos places pour inscrire leur trace impérissable dans notre Histoire.
Huit décennies après, revenir en Provence au matin, à l’heure bleue où eut lieu
le Débarquement, c’est conjuguer au présent cette reconnaissance, cette
fraternité, cette espérance. C’est ne rien oublier de leur courage et leur
combat. C’est rappeler comme vous venez de le faire Monsieur le Président.
L’importance en effet de ne rien céder de ces valeurs et de ces batailles.
Celles pour le droit international, le refus de quelque double standard que ce
soit, la volonté de défendre partout l’attitude et le droit des peuples à
disposer d’eux-mêmes, leur souveraineté, leur intégrité territoriale, la
volonté farouche de continuer d’avoir un monde et des institutions plus justes,
plus équilibrées. De nous habituer à rien. Ce message d’espérance que vous
venez de porter à l’instant, c’est l’espérance, en ce 15 août, comme tous les
matins du monde, dans la victoire universelle du droit et de la paix.
Fraternité pour les peuples du monde aujourd’hui en lutte pour leur liberté et
le droit à disposer par eux-mêmes de leur destin.
C’est la reconnaissance indéfectible pour les héros du 15 août dont certains se
tiennent devant nous. Tous ont accompli ce jour-là et les suivants une œuvre
dont ils connaissaient et dont ils connaissaient alors les immenses périls. Et
pourtant, ils l’ont fait, avec cette audace bravache et avec cette force
irrécusable. Leur rendre hommage aujourd’hui c’est saluer ces hommes qui sont
nos héros parce qu’ils se sont hissés au-delà des falaises du Cap Nègre,
au-delà de la peur et de l’impossible, au-delà de la souffrance et des risques.
Ils l’ont fait, conscients de se battre pour une cause bien plus grande que les
falaises, les périls, et même leurs vies. Prêts à s’effacer pour que la France
vive libre dans ce songe d’une nuit d’été et chaque jour ensuite.
Sur leurs visages et les visages de nos vétérans, sur les tombes des héros,
dans ce tremblement des pins, passe aujourd’hui un souffle venu de Provence. Ce
souffle, c’est celui du sacrifice, de la volonté, de l’unité. Il rend
l’impossible possible, il donne son sens à l’effort, il dessine toujours pour
la Nation la voie d’un « invincible été ». Ce souffle du 15 août, qui nous
anime et fait encore de nous un peuple irréductiblement libre. Celui qui ce
jour là fut libéré aussi par cette armée d’Afrique.
Nous n’oublions rien.
Vive la République.
Vive la France.
► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement,
désormais démissionnaire et chargé d’expédier les affaires courantes, certains de
ses membres ne sont pas centristes; jusqu’à présent, nous retranscrivions leurs
propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie selon nos
critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste; désormais,
ce gouvernement ne suivant plus une politique partisane mais étant «technique»,
nous ne rapportons plus les propos de ses membres qui ne vont pas d’un centre-droit
libéral à un centre-gauche libéral]
Gabriel Attal Premier
ministre, chargé de la Planification écologique et énergétique, député &
président du groupe Ensemble pour la république à l’Assemblée nationale
> Depuis le déclenchement de l’épidémie de mpox [variole du singe] en
2022, nous avons rigoureusement appliqué le triptyque : surveillance,
diagnostic rapide, vaccination. Nous n’avons jamais baissé la garde. Ainsi, ce
sont 152 500 vaccinations qui ont été réalisées. La circulation du virus a été
contenue : 4 975 cas recensés en 2022, 52 en 2023 et 107 depuis le 1er janvier
2024. Ces derniers jours, face à l’apparition d’un nouveau variant et à une
accélération de la circulation du virus en Afrique, l’OMS et l’ECDC ont
rehaussé le niveau d’alerte.
J’ai tenu aujourd’hui un point de situation. À la suite de cette réunion, nous
plaçons notre système de santé en état de vigilance maximale. D’abord, nous
instaurons des mesures d’information et de recommandations nouvelles pour les
voyageurs qui partent et reviennent des zones à risques.
Ensuite, nous donnons consigne aux Agences régionales de santé de relayer les
informations les plus récentes et les recommandations sanitaires aux structures
et professionnels de santé et aux associations en lien avec les publics à
risques.
Enfin, nous saisissons sans délai les autorités sanitaires pour qu’elles
statuent sur la conduite à tenir en matière d’actualisation des recommandations
sur les populations cibles en vaccination.
Par ailleurs, conformément à nos valeurs de solidarité internationale et à la
priorité sanitaire de contenir le foyer épidémique en Afrique, nous avons
décidé, à la demande du président de la République, de réaliser un don de
vaccins aux pays les plus touchés. Notre système de santé est sur ses gardes.
Nous nous tenons prêts à tous les scénarios pour faire évoluer les consignes à
la population en fonction de l’évolution du virus et maintenir ainsi le haut
niveau de vigilance adopté depuis 2022. Je ferai un nouveau point avec les
ministres ce lundi.
Stéphane Séjourné,
ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, & député, secrétaire
général de Renaissance
> [Crise au Moyen-Orient] Il faut un accord. Pour libérer les otages,
pour arrêter la souffrance des civils de Gaza, parce que la stabilité de la
région en dépend. La France et le Royaume-Uni sont unis dans cet effort
diplomatique.
> [Crise au Moyen-Orient] Nous poursuivons nos efforts pour la désescalade et la solution à deux États. Avec le Royaume-Uni, la France soutient l'Autorité palestinienne.
> [Crise au Moyen-Orient] La France et le Royaume-Uni restent engagés sur le plan humanitaire. L’aide doit pouvoir parvenir sans entraves aux civils de Gaza.
Sylvie Retailleau,
ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
> [Classement de Shanghai] On peut être fiers de nos universités. L’université
de Paris-Saclay est dans le top 20 depuis 2020 et la France a 4 universités dans
le top 100. Ces résultats sont dus à nos chercheurs, nos enseignants-chercheurs
et toutes les équipes qui les entourent, surtout au travail à long terme. Parce
que la recherche c’est un travail de long terme.
Le bond en avant est le résultat d’une stratégie que l’on mène depuis plusieurs
années qui porte ses fruits. Les restructurations ont également joué un rôle
dans ce succès, tout comme le financement, à la fois de France 2030. Et puis,
la loi programmation recherche. (…)
Il faut continuer à renforcer l’attractivité de la recherche. Dire que la
recherche s’oppose à l’enseignement et ne montre pas la qualité de
l’enseignement supérieur, c’est peut-être méconnaître ce que veut dire
l’enseignement supérieur dans le monde entier.
Quand on a une recherche de qualité, derrière, c’est la garantie d’un
enseignement de très haut niveau.
> [Coût de la vie étudiante en hausse selon l’UNEF] Pour
un étudiant qui s’inscrit en licence, en 2017 il payait 401 euros, cette année,
en 2024, il paiera 278 euros. (…)
> J’ai fait la réforme des bourses avec une augmentation historique parce
que les étudiants en ont besoin.
> [Revenu minimum étudiant] Je pense que c’est intéressant, et bien, que les communes participent. Parce que quand on a une université, un établissement d’enseignement supérieur, implanté sur le territoire, il faut une implication de la commune, des collectivités territoriales.
Dominique Faure, ministre
déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité
> On est confrontés à devoir trouver des compromis à défaut de trouver
des consensus.
Frédéric Valletoux, ministre
délégué chargé de la Santé et de la Prévention & député
> Petite manipulation de la vérité [des médias de gauche] : les
gouvernements ont toujours ajusté le nombre de postes d'internes aux nombre
d'étudiants qui passent et réussissent leurs examens (- de 2% d'échec). 1.500
d'entre eux ont fait le choix de ne pas présenter l'examen. La faute du gvt
forcément?
> Réforme d’entrée à l’internat de médecine : non le gouvernement n'a pas supprimé de postes. Cette année, 7817 étudiants ont été reçus aux épreuves nationales. Soit 1500 de moins qu'en 2023. Comme chaque année, le gvt ajuste les postes en fonction du nombre de lauréats.
> [Variole du singe / Mmpox] Nous suivons la situation de très près. La France a mis en place un schéma de réponse qui a montré son efficacité depuis 2022. Nous l'intensifions et restons vigilants.
● MoDem
Philippe Vigier (député)
> [Emmanuel Macron invite les présidents de groupes parlementaires et ceux
des partis le 23 août pour s'entretenir à propos d'un nouveau gouvernement Moi
je suis plutôt heureux qu'il réunisse les chefs de partis et parlementaires. Cette
situation politique ne peut pas durer éternellement.
On n’est pas à trois jours près, ça fait six semaines qu'on attend. (…)
Il faut maintenant que chacun, en responsabilité, dise les efforts qu'il est
prêt à faire pour faire avancer le pays. On ne peut pas, en France, vouloir
absolument battre le record de la Belgique où pendant plus de 400 jours, il n'y
a pas eu de gouvernement.
> Personne n'a gagné les législatives. Ce qui est important, maintenant,
c'est que chacun fasse un effort, car si chacun campe sur ses positions, rien
ne se fera.
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