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jeudi 4 juillet 2024

Propos centristes. France – Législatives: «Bâtir une grande coalition de personnes qui partagent les mêmes valeurs, qui ont la même vision de la République»; «Désistement ne veut pas dire alliance»; «le RN est un danger pour la République»; «Les orientations du RN sont pour le pays gravissimes»; «Voter RN, c’est voter Poutine»…


Voici une sélection, ce 4 juillet 2024, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. 

► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous retranscrivons cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie selon nos critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste] 

 

Gabriel Attal Premier ministre, chargé de la Planification écologique et énergétique
> Je souhaite deux choses :
- que le Rassemblement national ne dispose pas d'une majorité absolue ;
- que les députés Ensemble pour la République soient aussi nombreux que possible.
J'ai besoin d'eux pour protéger le pouvoir d'achat des Français, pour agir pour la transition écologique, pour investir dans notre sécurité, dans notre éducation et pour notre santé. J'ai besoin qu'ils soient aussi nombreux que possible sur les bancs de cette nouvelle Assemblée nationale.

> Je veux être très clair : désistement ne veut pas dire alliance. Il n’y aura jamais d’alliance avec la France insoumise.

> Il y a des formations politiques qui carburent à la haine et aux passions tristes. Le climat installé dans cette campagne, notamment par le Rassemblement national, divise les Français et libère des violences.

> Moi, je me bats pour protéger les Français contre les hausses d'impôts, défendre leur pouvoir d'achat et renforcer leur sécurité avec de nouvelles mesures.

> Nous avons pris un engagement : ne pas augmenter les impôts. Alors que La France insoumise ou le Rassemblement national proposent un programme qui passera nécessairement par une augmentation des impôts.

> Nous avons réussi à sortir du chômage de masse. Nous devons maintenant prendre toutes les mesures possibles pour permettre les augmentations de salaire.

> Nombreux sont ceux qui nous expliquent que pour faire la transition écologique, il faut taxer les Français, augmenter les impôts, etc. Moi, je pense qu'on peut y arriver en accompagnant les Français ; cette mesure du leasing en est un exemple.

> Une majorité absolue à l'extrême droite enverrait l'économie de la France dans le mur.

> L'extrême droite ne changerait pas votre vie, elle l'appauvrirait. Elle porte un projet de division qui est aux antipodes des valeurs de la République. Elle porte surtout un projet catastrophique pour les emplois et le pouvoir d'achat des Français.

> Aujourd'hui, il n’y a qu’un seul bloc capable d'obtenir une majorité absolue : c'est l'extrême droite. Le premier enjeu pour moi, c'est de battre l'extrême droite pour qu'elle n'obtienne pas les pleins pouvoirs à l’Assemblée.

> Le RN est en situation d’obtenir les pleins pouvoirs à l’Assemblée. Cela ne fait pas plaisir à beaucoup de Français de faire barrage avec un bulletin de vote qu’ils n’auraient pas voulu. Mais je considère que c’est notre responsabilité de le faire.

> J’ai dans ma famille des déportés, des résistants et une grand-mère qui a porté l’étoile jaune. J’ai été élevé dans l’idée que l’on ne devait pas permettre à l’extrême droite de gouverner. Je me dresse de toutes mes forces pour éviter que cela arrive.

> Je suis un de ceux qui ont le plus combattu La France insoumise ces dernières années. Je rappelle que la France Insoumise m'a attaqué pour avoir fait respecter la loi de 2004 sur la laïcité à l'école en interdisant le port de l'abaya.

> Dans les émissions qui nous réunissent, on ne parle jamais du handicap. Je propose :
- Le remboursement intégral des fauteuils roulants
- Renforcer l'école inclusive
- Simplifier les démarches dans les MDPH.

> Il y a des candidats qui ont fait le choix de se désister parce qu'ils considèrent que protéger leur pays face à la perspective d'avoir l'extrême droite majoritaire à l'Assemblée nationale était plus important que leur parti ou leur personne.

> Un candidat sur quatre du Rassemblement national a tenu des propos racistes, antisémites ou homophobes. Le risque, c’est qu’ils arrivent à partir de dimanche à l'Assemblée nationale et peut-être même au gouvernement.

> Jordan Bardella est confronté aux contradictions de son programme et à l'incapacité de dire comment le mettre en œuvre. Chaque jour, des propos compromettants sont découverts sur ses candidats.

 

Bruno Le Maire, ministre de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique
> Arrêtons de tourner autour du pot : le RN est un danger pour la République. Sa remise en cause de la loyauté des binationaux est révoltante. Revenir sur le droit du sol pour le droit du sang est une insulte à notre esprit universel : faites donc le compte de tous ceux dont nous aurions ainsi perdu la contribution à la grandeur de la France. Pas une voix ne doit aller au Rassemblement national.

> Zéro voix aux extrêmes, zéro compromis avec la violence politique, zéro tolérance pour la haine verbale. Notre paix civile est en jeu. Soutien total à Prisca Thevenot et à ses équipes agressées pour avoir exercé leur droit démocratique. France, réveille-toi !

 

Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer
> Gabriel Attal a raison de dire qu'il faut faire barrage au RN. C'est une nécessité mais pas au prix de voter pour un candidat LFI. (…) J’aime trop la police pour voter en faveur d'un candidat LFI.

> Aux électeurs qui n’ont pas voté pour nous au premier tour, nous disons que nous respectons votre vote et vos convictions. Nous vous appelons à vous réunir massivement derrière notre candidature de rassemblement, nous qui sommes des élus locaux présents, attentifs aux autres et respectueux de chacun.
Le RN a fait un score élevé dans notre territoire. Nous comprenons la colère de ses électeurs que nous partageons : l’exigence d’une justice ferme, du respect de la France et d’un pouvoir d’achat à améliorer. Mais, nous disons simplement à tous ceux qui sont tentés par l’extrême droite que cette dernière ne veut pas résoudre vos problèmes, ils ne feront que les empirer ! Vous le savez, ils ne proposent rien de réaliste, ils s’opposent à tout et vont ruiner la France et son économie.
Nous appelons donc toutes les citoyennes et tous les citoyens à se mobiliser ce dimanche 7 juillet, afin que l’emportent, au final, les valeurs du Nord qui sont les nôtres et le respect de la République.

 

Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités
> Aucune alliance avec LFI. Aucune alliance avec le RN. On ne peut pas être plus clair.

> Lors du conseil des ministres, le président a parlé de l'importance de rassembler les démocrates et républicains de notre pays ! Ni LFI, ni RN ! C'est ma position ! Mais, je ne crois pas aux consignes de vote.

> Ne soyons pas dupe de la manipulation du RN qui invente une coalition imaginaire avec LFI, alors que nous les avons toujours combattus. Parlons du fond et de leur programme qui mènerait notre pays au chaos.

> On parle systématiquement de RN et LFI mais on ne parle pas des autres circonscriptions où il y a des candidats de l’ex-majorité présidentielle, des socialistes ou encore des LR.

> Je condamne toute forme de violence ! Chacun des chefs de parti doit appeler au calme... On ne peut pas accepter cette violence ! C'est une menace pour la démocratie.

> On vieillit plus longtemps, on a le système social le plus généreux du monde ! Il faut bien le payer ! À partir du moment où l'on vit plus longtemps, ce n'est pas complètement ridicule que l'on travaille plus longtemps.

 

Nicole Belloubet, ministre de l'Education nationale et de la Jeunesse
> Cet arc central peut aller des LR jusqu’au PS, en aucun cas au-delà.

> Nous avons une règle : aucune voix ne doit aller au Rassemblement national.

> Le directeur de la police arrive à l’âge de la retraite, il faut bien le changer. C’est un fantasme de madame Le Pen.

 

Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire
> Depuis 2017, le Gouvernement a été à l’œuvre pour soutenir nos agriculteurs dans la protection contre les effets de ce dérèglement climatique et pour résister aux crises :
- Les plans « gel » et « grêle » avec plus d’un milliard d’euros pour la viticulture et l’arboriculture ;
- La réforme de l’assurance récolte, de près de 700 millions d’euros ;
- Les différents fonds d’urgence mobilisés ;
- Les fonds de planification écologique pour accompagner les transitions ;
- Les plans de reconquête de notre souveraineté.

Plus que jamais l’agriculture a besoin de soutien et de planification pour faire face aux défis de demain.

 

Éric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice
> [La Russie soutien la RN avant le second tour des législatives] Voter RN, c’est voter Poutine. Si certains doutent encore, le parti de l’étranger, de l’autoritarisme, de la trahison des intérêts de la France, des mercenaires de Wagner, de l’abandon de l’Ukraine, c’est le Rassemblement national. Il a son candidat: Vladimir Bardella.

> À partir de combien de brebis galeuses peut-on parler de troupeau? Jordan Bardella jure que « 99,9% de ses candidats ne posent pas problème ». Il ment. Sur 577 candidats, on est à près de 50 déclarations antisémites, homophobes ou racistes. Sans parler des preneurs d’otages!

 

Stéphane Séjourné, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, secrétaire général de Renaissance
> [La Russie soutien la RN avant le second tour des législatives]  Un moment de clarification : la Russie exprime sa préférence pour l’élection française. Mais ici, ce n’est pas le Kremlin qui décide, c’est le peuple français.

> Profondément choqué par l'agression subie par Prisca Thevenot et sa suppléante à Meudon. La violence n'a pas sa place dans notre démocratie. Tout mon soutien à elles et aux militants présents.

 

Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques
> Plein soutien à Prisca Thevenot et ses militants après les actes de violences inadmissibles dont ils ont été victimes. Le débat démocratique doit se tenir dans le respect élémentaire de nos règles et de nos lois.

 

Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
> C'est bien le RN qui aujourd'hui hélas est en capacité d'avoir une majorité absolue. Nous pouvons encore agir : dimanche, votons contre le Rassemblement national.

 

Prisca Thevenot, ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement
> Combattre le RN aujourd'hui, ce n'est pas s'allier à LFI demain.

> Ça me fait peur, en tant que mère de deux enfants métisses (…) Ce sont les responsables politiques qui participent à libérer cette parole (…) Une des personnes investies par le RN m’a dit de "rentrer sur mon île".

 

Aurore Bergé, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les Discriminations.
> Personne ne devrait jamais ni accepter, ni s'habituer à la violence à l'encontre des élus de la République. Que chacun appelle au calme. Tout mon soutien à Prisca Thevenot.

 

Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie et de l’Energie
> Quelle honte ! Une campagne est un lieu de débats, pas de combats. Les agresseurs doivent être retrouvés et sévèrement condamnés. Toute ma solidarité avec Prisca Thevenot et son équipe.

 

Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation
> [La Russie soutien le RN avant le second tour des législatives] S’il fallait une preuve de plus que le Rassemblement National est à la botte de Vladimir Poutine. Dimanche, faites barrage aux représentants de la Douma en France et refusez la soumission à la Russie. Dimanche, votez pour une France forte, libre et indépendante.

> Notre priorité, c’est de nous désister à chaque fois là où le RN peut l’emporter. Nous n’avions pas investi de candidats face à une soixantaine de candidats dès le premier tour. Je salue le choix courageux de 81 de nos candidats de se retirer pour faire barrage.

 

Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l’Agriculture
> L’extrême droite, on a déjà essayé : ça s’appelle le régime de Vichy et ça s’est très mal passé. Face à cela nous devons faire front.

 

Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de l’Europe
> J’apporte tout mon soutien à Prisca Thevenot, lâchement agressée ce soir à Meudon-la-Forêt alors qu’elle faisait campagne aux côtés de militants. Ces actes de violence sont inacceptables en démocratie.

 

► Assemblée nationale 
Yaël Braun-Pivet (présidente) 
> Une grande coalition ne doit pas juste barrer la route au RN, elle doit agir. Je suis convaincue qu’il y a des sujets que nous ne pouvons régler qu’ensemble : millefeuille territorial, simplification, services publics... Montrons-nous plus adultes démocratiquement.

> J'espère que nous réussirons à bâtir une grande coalition de personnes qui partagent les mêmes valeurs, qui ont la même vision de la République, du débat démocratique, ... Que ce soit avec la gauche mais aussi les Républicains.

> La coalition viendra des Français eux-mêmes, des représentants qu’ils ont choisis. Cela nous oblige à travailler ensemble sur leurs préoccupations : pouvoir d’achat, sécurité, éducation… J’ai toujours plaidé pour une Assemblée plus forte : le moment est venu.

> Nous devons mener le combat jusqu’au bout pour empêcher le Rassemblement national de prendre les rênes. Parce que ses valeurs et son programme économique mèneraient la France à une ruine totale.

> Les propos et les propositions de Marine Le Pen violent l’esprit et la lettre de la Constitution. Or je rappelle à nos concitoyens que la Constitution et les institutions les protègent.

> Chacun doit pouvoir faire campagne sereinement et librement. La démocratie l’exige. J’apporte tout mon soutien à Prisca Thevenot et ses militants agressés alors qu’ils collaient des affiches électorales.

 

► Haut-commissariat au Plan 
François Bayrou (Commissaire, président du Mouvement démocrate) 
> Quelque chose est en train de se passer dans le pays, un éveil, une prise de conscience. Tout indique que les orientations du RN sont pour le pays gravissimes.

> On ne peut arriver en tête et dire «Non, je m'en lave les mains». C'est la condition psychologique et morale de la suite. Mais si le responsable du parti arrivé en tête estime qu'il n'a pas assez de sièges, la seule solution sera une union des grandes sensibilités politiques.

> Il n’y a que deux hypothèses devant nous. La première, une majorité RN, et serait un malheur pour le pays. La deuxième : pas de majorité du tout. Les femmes et les hommes qui se sentent chargés de l'intérêt du pays ne pourront pas regarder leurs enfants s'ils laissent le pays tomber.

> Gouverner avec LFI n’est pas imaginable à cause du parti pris de Jean-Luc Mélenchon de tout conflictualiser, faire de tout sujet une guerre. Je ne veux pas que la France soit perpétuellement en guerre. Non, ce n’est pas à l’ordre du jour et ce n’est pas imaginable.

> Je pense que la dissolution est un choc pour le président qui l'a suscitée, comme pour l’ensemble des citoyens français. Il est décidé à favoriser l'entrée de notre vie démocratique dans une nouvelle époque, une époque de respect et de compréhension réciproque.

> En cas de cohabitation, le rôle du président sera central parce que les décisions essentielles ne peuvent se prendre que dans un dialogue et un compromis. La Ve République, c’est non pas le régime des partis mais le pluralisme régulé par le président de la République.

> Le mot de front implique l’agressivité systématique. Des responsables politiques de traditions différentes peuvent se parler et travaille ensemble pour la première fois depuis 50 ans. Cette époque du contre est en train de prendre fin.

> Ce mouvement de centaines de personnes qui se désistent, qui ne s’apprécient pas traditionnellement, qui sont différentes dans la vie politique française, disent : «Là, le risque est trop grand».

 

► Partis politiques 
● Renaissance 
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent de droite ou de gauche ne sont pas retranscrits] 
Sylvain Maillard (président du groupe à l’Assemblée nationale) 
> Aucune voix pour le RN, Aucune alliance avec LFI, Aucune alliance avec le RN. On ne peut pas être plus clair !

> Nous n'avons jamais travaillé avec le RN ni LFI, on ne commencera pas le 8 juillet.

> Tout m'oppose au RN. Tout m'oppose à LFI. Nous n'avons jamais travaillé avec les extrêmes et nous ne travaillerons pas avec eux. Une alternative est possible, autour des vrais républicains.

> Ce dimanche 7 juillet, pas une voix ne doit manquer pour défendre nos valeurs républicaines face aux extrêmes.

> Tout mon soutien à Prisca Thevenot, Virginie Lanlo et nos militants lâchement agressés lors d'un collage à Meudon. La violence est intolérable dans notre République. Chacun se doit de la condamner fermement et sans ambiguïté.

> Son visage est l’un des symboles du 7 octobre, de cet attentat terroriste du Hamas, Naama Levy. Otage depuis le 7 octobre, nous avons rencontré sa famille aujourd’hui. Parce qu’aucune élection ne peut nous faire oublier ce combat contre le terrorisme islamiste et l’obscurantisme. Nous savons pourquoi nous ne ferons jamais d’alliance avec ceux qui considèrent le calvaire de cette maman et de cette sœur comme un acte de résistance.

 

Astrid Panosyan-Bouvet (députée)
> Pour moi, c’est ni RN, ni LFI. Je ne peux me satisfaire d’un combat qui s’essuierait les pieds sur la lutte contre l’antisémitisme, la défense de la laïcité, le respect des forces de l’ordre.

> Je n’arrive pas à me faire à l’idée qu’on puisse s’accommoder de voter pour des députés très complaisants envers l’antisémitisme.

> La politique c’est un métier, il y a une incarnation, ce n’est pas de la technicité.

> Il y a moins de tolérance envers le racisme venant de l’extrême-droite qu’envers l’antisémitisme venant de l’extrême-gauche.

 

François Patriat (sénateur)
> Dimanche soir on aura besoin d'un président fort (...) qui soit là pour faire face aux extrêmes.

 

● MoDem 
Maud Gatel (Secrétaire générale)
> Il y a des moments où le rassemblement de ceux qui aiment la France et ses valeurs est une nécessité : c’est le cas ce dimanche.

> Je ne pardonne pas ce que LFI a fait: considérer que l’antisémitisme est résiduel, je ne pardonne pas.

> On a vu pendant deux ans à l’Assemblée nationale LFI imposer sa remise en cause des institutions républicaines, sous le silence de ses partenaires.

 

Bruno Millienne (député)
> J'ai fait le désistement républicain parce que pour moi le RN c'est impossible.

> On n'est pas aux Etats-Unis, même si Jean-Luc Mélenchon ressemble beaucoup à Trump... Le danger c'est que le programme confiscatoire de LFI fait bien plus peur aux gens que le programme tellement flou du RN que personne n'y comprends rien.

> Vous [LFI] renvoyez deux images totalement opposées de gens qui se présentent en façade comme sérieux, tandis que vous n'avez fait que foutre le bordel pendant 2 ans. Donc vous êtes en partie responsables de la montée du RN.

 

► Autres 
● Organisations centristes 
♦ Renew Europe
(Députés français du groupe centriste au Parlement européen) 
Valérie Hayer (présidente)
> [La Russie soutien le RN avant le second tour des législatives] Voter Jordan Bardella, c’est voter Vladimir Poutine. Dimanche, pas une voix au RN.

> Notre travail sur les grandes priorités de ce nouveau mandat bat son plein. Notre groupe Renew Europe est plus uni que jamais pour changer l'Europe. Nous mettrons notre ambition, notre engagement et nos compétences au service des priorités absolues que sont l'état de droit, la défense et la compétitivité. Nous travaillerons à une nouvelle dynamique de puissance durable pour la croissance et les échanges commerciaux, pour la démocratie et nos libertés fondamentales, ou encore pour bâtir de futures réformes institutionnelles. Prêts à faire de l'Union un acteur fort sur la scène mondiale.

 

 

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