Et si le Nouveau front populaire l’emporte, ce sera monsieur Mélenchon qui vient faire acte de candidature et qui saura évidemment imposer son nom face à ses idiots utiles du PS, du PC et d’EELV.
Il faut bien le dire, la décence et la fierté en prend un coup quand on pense à ces deux personnages qui pourraient s’installer à Matignon.
D’autant qu’au lieu d’être des repoussoirs pour les électeurs, ils sont plutôt des icônes dans leurs camps, ce qui en dit long sur confusion qui règne dans le pays et dans le paysage politique.
Le premier, incompétent notoire, serait évidemment la voix de sa maîtresse avec le risque de voir le pays s’effondrer.
Le deuxième, haineux, hargneux, égocentrique et narcissique, apporterait le chaos et la violence.
Tous deux feraient régresser l’Etat de droit qui garantit la liberté et l’égalité.
Tous deux lieraient des relations avec les pires régimes de la planète comme ceux d’Orban et de Poutine pour Bardella, de Maduro et des terroristes du Hamas pour Mélenchon.
Tous deux, en appliquant leur programme économique, plomberait le pays pour des années.
Il faut bien en être conscient avant de mettre son bulletin de vote dans l’urne et être inconscient si celui porte le nom d’un de leurs partis respectifs.
Nous serions alors transportés dans un trumpisme à la française avec un mélange d’extrémisme et de populisme où le mensonge, l’insulte et le complotisme seraient les principales lignes directrices du gouvernement que l’un ou l’autre dirigerait.
Je sais bien que je prêche dans le désert quand on voit que sans programme et sans aucune capacité, Bardella a pu obtenir plus de 31% des voix aux européennes et que les propos nauséabonds et scélérats de Mélenchon n’ont pas empêché la création d’une nouvelle Nupes, sobrement baptisée «Nouveau front populaire»!
Certains disent que rien n’est encore écrit.
Sans doute que l’espoir fait vivre mais que la confrontation avec la réalité n’est pas inutile pour se préparer au pire et le combattre de toutes ses forces.
Car, oui, s’il reste une once de dignité au peuple français, le prochain premier ministre ne doit s’appeler ni Bardella, ni Mélenchon.
Centristement votre.
Le Centriste
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