Un crime ignoble que rien ne justifiait sauf la peur pour ce pouvoir dictatorial dirigés par des gérontes et des apparatchiks qui tentait de se donner un air de libéralisme d’être balayé par la nouvelle génération porteuse d’espoir.
La petit histoire raconte que Deng a suivi en direct à la télévision l’assaut de l’armée et que voyant le nombre de morts, soulagé ainsi que tout son clan, ils sont allés se coucher…
Cela en dit long sur l’absence d’humanité de ces personnages qui dirigent des régimes autocratiques et totalitaires comme aujourd’hui Xi Jinping, le président chinois qui ne fait même plus semblant d’être un démocrate et est en train de perpétré un génocide dans le Xinjiang, Vladimir Poutine le président russe, criminel de guerre à l’extérieur et assassin de ses opposants à l’intérieur, Ali Khamenei le guide iranien, l’assassin des femmes qui luttent pour leur liberté et recordman des peines de mort appliquées dans le monde.
Tous ont du sang sur les mains et s’en portent très bien!
Ce 4 juin 1989 alors que tombait le mur de Berlin, que les peuples des pays de l’Est de l’Europe faisaient disparaitre le Rideau de fer et que l’avenir de la démocratie s’annonçait radieux, les martyrs de la place Tienanmen rappelaient avec effroi que la bête immonde avait été blessée mais qu’elle bougeait encore.
Depuis, elle s’est refait une santé et n’attend plus que de se venger des tous ces idéalistes qui pensaient que la liberté aller gagner.
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