dimanche 19 mai 2024

Propos centristes. Monde – Nécessité d’une Europe forte et unie / Allemagne: faiblesse de la croissance, tournant économique et… compliment de Choose France / Royaume-Uni: scandale de la pollution de l’eau / Etats-Unis: lutte contre le dumping chinois / Belgique: réformer la santé / Suisse: coût de la santé…


Voici une sélection, ce 19 mai 2024, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.

► Union Européenne
♦ Renew Europe (groupe centriste et libéral au Parlement européen) 
[Nota: les propos tenus par les députés européens français sont à lire dans Propos centristes France]  
Guy Verhofstadt 
> Les milliers de jeunes Russes et Ukrainiens qui sont morts à cause de l’impérialisme de Poutine pourraient ne pas être d’accord avec les mensonges de Xi et Poutine. Les gens veulent des pays pacifiques et libres, pas leur répression. Pour tenir tête aux autocrates, il faut une Union européenne unie.

> Pour les partisans de Wilders à l’extérieur des Pays-Bas, applaudissez… il poussera bientôt les demandeurs d’asile dans votre pays, puis bloquera toute tentative de trouver des solutions à l’échelle de l’UE. Le nationalisme ne fonctionne pas… sauf pour créer plus de frustration pour un nationalisme plus radical !

> L’histoire et le bon sens vous le diront: l’extrême droite ne deviendra pas moins extrême au gouvernement… ils n’auront que plus de pouvoir pour empoisonner davantage la politique.

> Alors que les Géorgiens appellent à l’aide, cette UE ne peut même pas émettre une déclaration pour les soutenir. Qu’est-ce qui nous a menés à cela ? Leadership faible, populisme et institutions stagnantes. Une réforme menée par les citoyens est plus que jamais nécessaire pour renforcer l’Union européenne.

> Ne l’oubliez jamais: Europe = droits de l’homme ! C’est pourquoi la droite radicale et la gauche la détestent tant… et c’est pourquoi nous l’aimons !

> Orbán choisit toujours la Chine et la Russie au-dessus de l’intérêt européen… Pourquoi cet homme a-t-il encore une place à la table du Conseil de l’UE ? À quel point l’UE peut-elle être naïve / stupide!

 

● Allemagne 
♦ Gouvernement 
Christian Lindner (ministre des Finances) 
> Un tournant économique passe aussi par un tournant bureaucratique. Nous changeons donc résolument de cap en Allemagne : un milliard d'euros en moins pour les charges administratives ! Une étape importante, même si ce n'est qu'une première étape intermédiaire.

> Il y a beaucoup de travail à faire, mais à mes yeux, les priorités du budget sont claires : nous devons en faire plus pour notre sécurité, la paix et la liberté en Europe, remettre notre économie sur les rails et investir dans l'éducation et la technologie.

> Il y a trois mois qu’Alexej Navalny est mort. Son engagement encourageant pour une Russie libre et moderne, honoré dimanche à titre posthume par le Prix de la paix de Dresde, n'aura pas été vain. Son œuvre se poursuivra.

> Selon les dernières estimations fiscales, l'ensemble de l'Etat s'attend à des recettes de 995 milliards d'euros en 2025. C'est vraiment l'occasion de dire merci aux personnes qui doivent gagner tout cela !

> Les contribuables nous obligent à fixer des priorités claires. Nous ne pouvons pas continuer à augmenter les dépenses sociales, par exemple. Avant d'introduire de nouvelles prestations légales, nous devons nous assurer que les prestations existantes sont financées de manière durable.

> L'évolution du taux d'endettement est un succès. Il est tombé à 64 %. Avant la pandémie, il était de 59 %. C'est pourquoi ce qui est prescrit par la Constitution reste économiquement correct : continuer à réduire le taux d'endettement de l'Allemagne.

> Nous devons faire un bon usage de ce que les contribuables mettent à notre disposition. Et les gens doivent pouvoir compter sur le fait que nous gérons avec soin les ressources qu'ils ont générées.

> Sans une reprise du développement économique, il n'y aura pas de nouvelles marges de manœuvre financières à l'avenir. Pour que le développement soit durable, nos dépenses doivent désormais être priorisées de manière à renforcer la croissance.

> L'estimation fiscale révèle de manière particulière les conditions d'implantation en Allemagne, négligées pendant plus de dix ans. La faiblesse de la croissance économique a pour conséquence que les recettes de l'État ne croissent plus de manière aussi dynamique que nous le pensions auparavant.

> Respect pour ce que nos amis français font avec Choose France. Pour nous, cela devrait être un encouragement ! Nous avons déjà mis en place les éléments constitutifs d'une transition économique, mais après dix ans sans impulsion, nous devons être plus ambitieux.

> Nous avons une croissance faible qui a des raisons structurelles. C'est pourquoi nous travaillons à un retournement économique. La réduction de la bureaucratie, la charge fiscale, l'approvisionnement énergétique et la politique du marché du travail doivent maintenant être orientés vers l'objectif de la croissance.

> Nous avons une faiblesse de croissance qui a des raisons structurelles. C'est pourquoi nous travaillons à un tournant économique. La réduction de la bureaucratie, la charge fiscale, l'approvisionnement en énergie et la politique du marché du travail doivent maintenant être orientés vers l'objectif de la croissance.

> Le nouveau réalisme en matière de politique des réfugiés est scellé. L'ordre et le contrôle deviennent la maxime de la politique européenne. Des procédures conformes à l'État de droit aux frontières extérieures de l'UE sont attendues depuis longtemps afin de limiter efficacement la migration irrégulière.

> Notre stratégie budgétaire prudente a fait ses preuves pour soutenir la BCE dans sa lutte contre la dévaluation de la monnaie. Le frein à l'endettement porte également ses fruits dans ce domaine. Nous ne devrions pas compromettre ce succès par de nouveaux programmes de dépenses expansifs.

 

● Belgique 
♦ Les Engagés 
Maxime Prévot (président) 
> Investir dans la sécurité est un choix.

> la santé est une priorité pour nous.

 

♦ DéFI 
François de Smet (président) 
> DéFI, le parti qui écoute et agit ! Votez pour une Belgique plus juste où démocratie, laïcité, justice sociale et bonne gouvernance guident chaque décision!

> Nous consommons toujours 80% d'énergie fossile. Si rien ne change, nous serons aussi privés de nucléaire en 2035. Le 100% renouvelable en 2050 est impossible. Ce slogan est un mensonge. Et un mensonge dangereux.

> Je me réjouis de l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme qui confirme qu'interdire des signes convictionnels à l'école n'est pas contraire à la liberté de culte, et n'est donc pas une discrimination. Une victoire pour la neutralité de l'État.

> [Propositions concernant la sécurité urbaine]
- Refinancer correctement les zones de police, la norme actuelle défavorisant clairement les grandes villes comme Bruxelles
- Un parquet national financier indépendant qui permette de combattre efficacement la criminalité financière, le narcotrafic et la cybercriminalité; en France, ce dispositif rapporte des milliards, en allant chercher l'argent là où il se trouve
- Un secrétariat d'Etat à la lutte contre la criminalité financière
- Le retour d'une véritable police de proximité

> La question des zones de police, ce n'est pas un problème d'organisation, comme essaient de le faire croire certains partis flamands, mais de moyens: les grandes villes sont structurellement moins bien financées. Nous devons soutenir nos services de police en y réinvestissant des moyens, en recréant une véritable police de proximité, et en faisant le choix de la spécialisation face aux narcotrafiquants et à la criminalité financiers.

> Refédéraliser la santé, et réunir soins et prévention Les défauts de construction du fédéralisme ne résident pas tant dans le nombre d’institutions que dans l’éclatement de compétences similaires entre différents niveaux de pouvoir. Cela nuit à la lisibilité et à l’efficacité d’ensemble.
La pandémie de la covid19 a démontré les failles de la répartition des compétences en matière de soins de santé. Il s’agit là d’une réalité que DéFI souligne depuis longtemps: la scission entre acteurs de soins et de prévention, par exemple, n’a aucun sens. La gestion de la pandémie a été sans aucun doute fragilisée par cette dispersion. Pour DéFI, il faut cesser cette fuite en avant de démantèlement des compétences.
La Septième réforme de l’État doit être celle de la remise en ordre de la maison Belgique et de l’homogénéisation des compétences. L’efficacité des politiques menées pour le bien-être des habitants doit à l’avenir constituer le seul critère. Il faut essentiellement refédéraliser la santé, la sécurité sociale – dont les allocations familiales et les politiques en faveur des personnes en situation de handicap.
Par ailleurs, il est essentiel que toutes les matières qui concernent la lutte contre la pauvreté soient désormais du ressort de l’autorité fédérale et qu’à cet égard, 100% (contre 50 % actuellement) du RIS (revenu d’intégration sociale) soit intégralement à charge du Fédéral. Engagements:
- Consacrer dans la Constitution la compétence exclusive de l’État fédéral en matière de sécurité sociale, socle de la protection de la sécurité d’existence
- Refédéraliser toutes les matières relatives à la lutte contre la pauvreté (avec refédéralisation du RIS) et celles organisant la solidarité interpersonnelle, ce qui implique la santé publique, les allocations familiales, et la politique à l’égard des personnes en situation de handicap.

> Les nationalistes sont en ordre de marche et en face les francophones ne sont pas prêts. Ceux-ci doivent:
- se préparer à gérer des revendications visant à imposer le confédéralisme
- assainir d'urgence leurs entités fédérées pour ne plus être demandeurs.

 

Sophie Rohonyi (députée) 
> J’en ai marre d’entendre la co-présidente d’Ecolo parler de « liberté à disposer de son corps » en mettant sur le même pied IVG et de port du voile C’est nier l’histoire du féminisme et la réalité des femmes Le droit à l’IVG a été acquis en libérant les femmes des prescrits religieux!

> DeFi veut:
- Refédéraliser sécurité sociale
- Refinancer santé, justice, police
- Gratuité contraception pour toutes
- EVRAS dans toutes les
écoles
D
éFI est aussi le seul parti à se battre pour le maintien des crèches en périphérie!

> 4 ans de Vivaldi. Toujours la même autocongratulation sur son bilan économique Toujours le même déni sur son bilan social, sur cette classe moyenne qui bascule dans la pauvreté, faute d’avoir concrétisé les réformes tant promises du marché du travail, des pensions et de la fiscalité!

 

● Espagne 
♦ Ciudadanos 
Jordi Canas (député européen) 
> Je veux des espaces de consensus pour avancer, et cela n'est pas possible avec les extrêmes. Au cours de la prochaine législature, nous devrons remettre les citoyens au centre.

> Au Parlement européen, nous avons demandé que les agressions homophobes soient considérées comme un eurocrime, nous avons défendu la reconnaissance de la paternité dans les couples LGTBI et, avec Renew Europe nous avons été le groupe le plus batailleurs contre les zones sans LGTBI en Pologne.

> L'UE est l'endroit où l'on décide de l'avenir et de la manière dont il affectera chacun d'entre nous.

> Le PSOE est le cheval de Troie de Poutine en Europe. Ils doivent être vaincus dans les urnes. Ils veulent une Europe sans défense qui se rende à la Russie. L'Europe doit se réarmer pour mettre fin aux menaces qui pèsent sur notre identité, notre liberté et notre démocratie !

 

● Italie 
♦ Azione 
Carlo Calenda (secrétaire général) 
> Meloni participera à un événement organisé par Vox, le parti néo-franquiste espagnol. Ce sera un pas de plus vers l'isolement de l'Italie. Nous devons travailler avec l'Espagne, la France et l'Allemagne. Ce gouvernement se caractérise par le fait qu'il fait toujours passer les intérêts partisans avant ceux du pays.

> Les numéros du loto. Je suis en Calabre depuis deux jours. Parler du pont sans reconstruire les routes est ridicule. C'est le symptôme d'un pays qui déplace toujours son attention sur des projets admirables, pour éviter de l'attirer sur ce qui devrait être fait et ne l'est pas.

> Nous ne vous demandons pas de vous mobiliser contre quelqu'un mais pour quelque chose, pour un projet. Nous ne vous demandons pas de vous mobiliser contre quelqu'un mais pour quelque chose ; pour un projet. Une étape clé de ce projet est l’Européen. Mais l'objectif est toujours le même : mettre fin à ce conflit, à ce bipolarisme qui fait décliner le pays depuis 30 ans. Et si vous ne le faites pas, si les citoyens ne le font pas, personne ne le fera.

> Chaque jour, nous perdons un morceau de l'industrie automobile, mais pour Landini et Schlein, la priorité est le référendum sur la loi sur l'emploi, qui a déjà fait l'objet d'un examen approfondi par les tribunaux. La vérité est que la gauche a appris à procéder par slogans et idéologie, détournant l'attention des vrais problèmes qu'elle ne veut pas aborder. Le silence de Conte-Schlein et de Landini sur la plus grande désindustrialisation de l'Italie est un grand scandale national.

> Une défense européenne commune est nécessaire face aux menaces extérieures. Mais comment faire une armée européenne ? Lors du Conseil d'Helsinki en 1999, il a été décidé de commencer par mettre en commun huit divisions des armées existantes. Il ne faut donc pas imaginer des gens portant le même uniforme, mais des gens qui, cependant, répondent à la même chaîne hiérarchique européenne. Il faut partir de là.

> On peut partager ou non le programme d'Azione sur la transition écologique, mais vous n'en trouverez pas d'autre aussi clair et sans ambiguïté avec « mais aussi ». Lisez ce que nous pensons des objectifs de réduction des émissions de CO2 et de la part obligatoire des énergies renouvelables en 2030, qui sont totalement irréalisables dans les 6 prochaines années, car ils nécessiteraient respectivement des efforts multipliés par six et par dix ; ce que nous pensons être le mix technologique le plus durable pour réduire les émissions à zéro : les énergies renouvelables et le nucléaire avec la meilleure technologie disponible ; quelles sont les propositions alternatives pour améliorer la performance énergétique des bâtiments, puisque les « maisons vertes » ne sont pas viables techniquement et économiquement (et nous le prouvons) ; quelle est la meilleure stratégie pour accompagner la réduction des émissions dans les transports, sans faire exploser l'ensemble de l'industrie automobile, etc.

 

♦ Italia Viva 
Matteo Renzi (président) 
> Nous voulons les Etats-Unis d'Europe et nous sommes fiers de nous battre pour un idéal aussi noble.

> Une soirée riche en émotions. Des histoires différentes. Mais un projet commun : l'idée de travailler à la construction des Etats-Unis d'Europe. Pour beaucoup, ce n'est qu'un rêve, mais la politique sans rêve n'est que cynisme entouré d'ambitions personnelles. Aujourd'hui, Emma Bonino a expliqué pourquoi elle se bat de toutes ses forces pour l'idéal européen. Gian Domenico Caiazza nous a expliqué pourquoi la bataille pour une justice équitable est également cruciale en Europe. Et avec eux, nous nous battons tous pour que ces élections aident Bruxelles à ne pas être insignifiante dans le scénario international.
Quelqu'un dit « moins d'Europe » : Salvini le dit, bien sûr. Mais moins d'Europe, c'est aussi l'objectif de Poutine et de Xi. Nous voulons des États-Unis d'Europe. Et nous sommes très fiers de mener ce combat noble et idéal. Merci à ceux qui nous donnent un coup de main, quelle belle politique basée sur le rêve et le courage.

> Pour nous, de la liste «les États-Unis d'Europe», c'est une armée européenne, une défense commune, une politique étrangère unitaire.

 

► Autres pays 

● Canada 
♦ Gouvernement 
Justin Trudeau (Premier ministre) 
> La saison des feux de forêt est bel et bien arrivée au Canada. Le climat change, et on ne doit pas se demander si on doit agir, mais comment on doit agir. On travaille avec des pompiers tels que le chef Brolund de West Kelowna pour informer, préparer et soutenir les communautés à chaque étape.

> Si on vous dit que la lutte pour l’égalité des 2ELGBTQI+ est finie, pensez à l’intimidation visant les étudiants queers et aux attaques contre les personnes trans.   Nous avons fait du chemin, mais continuons de travailler pour faire du Canada un pays plus sûr et inclusif.

> Notre programme national de services de garde d’enfants n’est pas juste bon pour les enfants. Il l’est pour les parents, l’économie et le pays tout entier.

> Des services de garde à prix abordable évitent à plus de parents — particulièrement les mères — de choisir entre leur famille et leur carrière. On a réduit les frais de garde dans chaque province et territoire et on crée maintenant plus de places abordables.

> Le premier sommet sur la paix en Ukraine se tiendra en juin — et le Canada y sera. Je suis impatient de me joindre aux autres dirigeants mondiaux pour promouvoir notre objectif d’une paix juste et durable pour l’Ukraine.

> L’économie canadienne est forte et en croissance. On est bien placés pour investir en vous — et c’est ce qu’on fait.

 

● Etats-Unis  
♦ Gouvernement 
Joe Biden (président-des Etats-Unis) 
> Je fais ce qui a toujours fonctionné dans notre pays: donner aux gens une chance équitable. Ne laisser personne derrière. Et faire croître l’économie du milieu vers le haut. Parce que quand on fait ça, on s’en sort tous bien.

> Construire une démocratie du possible, une démocratie digne de nos rêves, commence par ouvrir les portes de l’école de l’opportunité pour tous.

> L’éducation est liée à la liberté. C’est pourquoi la décision Brown c. Board que nous commémorons aujourd’hui est si importante. Le travail de construction d’une démocratie du possible – une démocratie digne de nos rêves – commence par l’ouverture des portes de l’école pour tous.

> Aujourd’hui, nous faisons face à un petit nombre insidieux qui veulent un pays pour certains d’entre nous, pas tous.

> Soyons clairs: le peuple palestinien souffre. Il est urgent d’accroître l’aide aux plus vulnérables. Et notre travail avec Israël pour augmenter encore la quantité d’aide qui entre à Gaza par voie terrestre se poursuit.

> Je viens d’imposer une série de droits de douane sur les produits fabriqués en Chine : 25% sur l’acier et l’aluminium, 50% sur les semi-conducteurs, 100% sur les véhicules électriques et 50% sur les panneaux solaires.
La Chine est déterminée à dominer ces industries. Je suis déterminé à m’assurer que l’Amérique mène le monde en eux.
Pendant des années, le gouvernement chinois a triché en versant de l’argent dans des entreprises chinoises qui jettent ensuite des produits bon marché sur le marché, ce qui nuit aux concurrents qui respectent les règles.
J’annonce des tarifs qui feront en sorte que les travailleurs américains ne seront pas freinés par des pratiques commerciales déloyales.
En fin de compte, je veux une concurrence loyale avec la Chine, pas un conflit. 
Et nous sommes dans une position plus forte pour gagner la concurrence économique du 21ème siècle contre la Chine ou n’importe qui d’autre parce que nous investissons à nouveau en Amérique. Je ne permettrai pas que les villes et les travailleurs américains soient lésés par les pratiques commerciales déloyales de la Chine qui inondent nos marchés de produits bon marché. C’est le but de ces nouveaux tarifs.

> À l'occasion de la Journée internationale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, mon gouvernement soutient et solidairement les lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queer et intersexués (LGBTQI) du monde entier alors qu'ils cherchent à vivre pleinement leur vie, à l'abri de la violence et de la discrimination. C'est une question de droits de l'homme, clair et simple. Les États-Unis applaudissent les personnes et les groupes du monde entier qui œuvrent à la défense des droits des personnes LGBTQI où qu'ils soient menacés. Et nous sommes reconnaissants pour les contributions que les gens LGBTQI apportent chaque jour à travers notre pays.
Dès le premier jour de ma présidence, mon gouvernement a fait de la promotion des droits de l'homme des personnes LGBTQI. Au cours de mon premier mois de mandat, j'ai signé un mémorandum présidentiel sur la promotion des droits de l'homme des personnes LGBTQI dans le monde, qui a fait valoir que notre diplomatie et notre action en faveur de notre travail de développement dans le monde entier d'une manière qui reflète notre engagement en faveur de l'égalité des droits de l'homme de cette population. Nous nous sommes dressés contre des lois visant les personnes LGBTQI pour les poursuites pénales; nous nous sommes efforcés de protéger les réfugiés LGBTQI, qui sont particulièrement vulnérables à l'exploitation et aux abus; et nous avons lancé une stratégie de prévention et de réponse à la violence sexiste au niveau mondial, afin de veiller à ce que nos efforts pour faire face au fléau de la violence sexiste s'attaquent aux risques et aux obstacles auxquels les personnes LGBTQI sont confrontées. J’ai également signé un décret ordonnant à mon gouvernement de travailler pour empêcher l’utilisation de ce que l’on appelle la « thérapie de conversion » – une pratique abusive et discréditée qui cible souvent les enfants. Et mon gouvernement continue de dialoguer avec les gouvernements, les chefs religieux, les familles et les communautés du monde entier pour protéger et promouvoir le respect des droits de l'homme, y compris les droits LGBTQI.
Des efforts comme ceux-ci ont donné des résultats tangibles. Au cours de l'année écoulée, les États-Unis ont réagi aux abus des personnes LGBTQI à l'étranger. Nous avons développé une approche de l'aide étrangère qui garantit que les personnes LGBTQI ne sont pas négligées dans notre travail. Nous avons élargi l'accès des personnes LGBTQI grâce à nos programmes en faveur des réfugiés. Et l'envoyé spécial pour faire progresser les droits de l'homme des personnes LGBTQI, que j'ai nommées, est à l'origine d'une réponse rapide à la législation anti-LGBTQI dans le monde. Nous avons vu comment le leadership américain fait une différence ; au cours de la dernière décennie, un nombre croissant de pays ont dépénalisé la conduite homosexuelle, souvent avec l'encouragement des États-Unis.
Pourtant, nous savons qu'il reste encore beaucoup à faire. Les communautés LGBTQI dans le monde sont toujours confrontées à la violence et à la discrimination fondées sur la haine. Ils luttent toujours pour atteindre l'égalité d'accès aux soins de santé, au logement, à l'emploi, à l'éducation et à la justice. Comme tous les êtres humains, les personnes LGBTQI méritent l’égalité – égalité des droits, citoyenneté égale, dignité égale. C'est notre responsabilité morale partagée de lutter contre l'homophobie, la biphobie et la transphobie, tout comme nous devons lutter contre toute violence alimentée par la haine, dans le pays et à l'étranger.
Aujourd'hui marque le 34e anniversaire de l'époque où l'Organisation mondiale de la santé a pris la décision sage et attendue de déclassifier l'homosexualité en tant que trouble mental. C'était une victoire pour les personnes LGBTQI et les défenseurs des droits de l'homme partout dans le monde. Trente ans plus tard, les travaux d'égalité se poursuivent. L'administration Biden-Harris est fière d'en faire partie.

> La lutte contre l'inflation et la réduction des coûts est ma première priorité économique. Je sais que de nombreuses familles ont du mal, et même si nous avons fait des progrès, nous avons beaucoup plus à faire. L'inflation a chuté de plus de 60 % par rapport à son pic et l'inflation de base est tombée à son niveau le plus bas en trois ans. Les prix sont encore trop élevés - de sorte que mon programme donnera aux familles une marge de manœuvre en construisant deux millions de nouveaux logements pour réduire les coûts de logement, en prenant à Big Pharma pour faire baisser les prix des médicaments sur ordonnance, et en faisant appel aux chaînes d'épicerie faisant des profits records pour faire baisser les prix de l'épicerie pour les consommateurs.

Plutôt que d'apporter des solutions, les Républicains du Congrès veulent augmenter les coûts en revenant à leur même vieille économie. Les républicains veulent réduire les impôts pour les grossières entreprises ultra-riches et augmenter les impôts pour les familles de la classe moyenne. Ils protégeraient les intérêts particuliers et Big Pharma, et saperaient les travailleurs et les personnes âgées en réduisant la sécurité sociale et Medicare. Tout cela enverrait la montée en flèche de l'inflation. J'ai une vision différente pour l'avenir: une vision dans laquelle nous prenons des intérêts particuliers pour réduire les coûts et donner un coup de feu à la classe moyenne.

 

♦ Parti démocrate 
Hakeem Jeffries (leader du Parti démocrate à la Chambre des représentants) 
> La Cour suprême n’est pas au-dessus de la loi. Le Congrès doit immédiatement envisager une législation pour mettre en œuvre un code de conduite éthique. Et dire clairement que sympathiser avec une insurrection violente n’est pas acceptable.

> Marjorie Taylor Greene et le cirque des républicains trumpistes extrémistes ont atteint un nouveau pic. Ces gens sont hors de contrôle. Et totalement inapte à gouverner.

> Les démocrates de la Chambre défendront toujours notre démocratie. Et ne jamais plieront le genou devant la foule insurrectionnelle.

> - Eau propre dans chaque communauté
- Les emplois manufacturiers nationaux reviennent en Amérique
- $35 par mois Insuline pour des millions d’Américains
Le président Biden fait ce qu’il dit

> Les démocrates de la Chambre des représentants donnent de vrais résultats pour les Américains ordinaires. Pendant ce temps. La guerre civile républicaine continue.

> Samuel Alito devrait s’excuser immédiatement pour avoir manqué de respect au drapeau américain et sympathisé avec les insurgés violents de droite. Il doit se récuser des cas impliquant l’élection de 2020 et l’ancien président Donald Trump. Le Congrès devrait immédiatement envisager de légiférer pour imposer un code de conduite éthique à une Cour suprême en fuite. La Constitution exige et le peuple américain mérite davantage d’un juge siégeant à la plus haute cour du pays que d’un déni électoral sans fondement.

> Aujourd’hui [le 13 mai] marque le 70e anniversaire de la décision historique de la Cour suprême dans Brown c. Board of Education, qui a invalidé la doctrine honteuse « distincte mais égale » établie par Plessy c. Ferguson.
À la suite de la décision, les enfants qui tentaient simplement d’aller à l’école ont été accueillis par des foules violentes et racistes et les responsables locaux poursuivis en justice devant la cour fédérale pour garder leurs districts séparés. Aujourd’hui, les systèmes scolaires les plus ségrégués d’Amérique sont directement liés aux politiques mises en place par les opposants à l’intégration après la décision. Des décennies plus tard, il demeure profondément troublant et inacceptable que nous ne réussissions pas à faire en sorte que tous les élèves puissent s’épanouir sur un pied d’égalité. 
Sous la direction du président Biden et du secrétaire à l’Éducation Cardona, nous avons fait des progrès importants dans les efforts de déségrégation scolaire à travers le pays, bien que nous ayons encore beaucoup de chemin à parcourir. Nous le devons non seulement à des héros comme Thurgood Marshall, Daisy Bates, Oliver Brown et Constance Baker Motley qui se sont battus pour intégrer nos écoles, mais aussi aux générations futures qui composent la magnifique mosaïque de l’Amérique.
L’égalité d’accès à une éducation de qualité ne devrait pas être une question partisane. C’est un problème que nous devons affronter ensemble en tant qu’Américains. Malheureusement, il y a des gens qui sont plus préoccupés par l’interdiction des livres, la réécriture de l’histoire et l’intimidation des enfants.
Les démocrates de la Chambre savent que chaque étudiant souffre lorsqu’il est privé de la possibilité d’apprendre dans un cadre inclusif. C’est pourquoi nous nous battons pour l’accès à une éducation de haute qualité pour tous les élèves, indépendamment de la race, du sexe, de la religion, de l’ethnicité ou du statut socioéconomique.

 

Barack Obama (ancien président des Etats-Unis) 
> Aujourd’hui [le 17 mai], il y a 70 ans que la Cour suprême a rendu sa décision historique dans l’affaire Brown c. Board of Education, interdisant la ségrégation raciale dans les écoles américaines.
Honorons la mémoire des responsables des droits civiques, des familles et des enfants qui ont pris des risques extraordinaires pour rendre nos écoles – et, en fin de compte, notre pays – plus justes et plus libres. Et à une époque où nos écoles publiques sont de plus en plus ségréguées, rappelons-nous que notre travail n’est pas terminé jusqu’à ce que chaque enfant puisse recevoir une éducation digne de sa promesse.

 

Hillary Clinton (ancienne secrétaire d’Etat) 
> Si Trump gagne, les coûts des soins de santé pour des millions d’Américains pourraient augmenter. Le président Biden arrêterait cela.

> Notre crise climatique n’est pas « imminente ». La crise est là et les enfants d’aujourd’hui sont parmi ceux qui en ressentiront le plus les effets.

> Trump promet aux PDG des énergies fossiles qu’il annulera l’action climatique de Biden en échange d’un milliard de dollars. C’est un pot-de-vin si scandaleux qu’il défie presque la croyance — c’est pourquoi il a payé si peu de frais politiques pour ces mouvements dans le passé. Pouvons-nous enrayer cette dynamique?

> Quels sont les enjeux de la santé dans cette élection? Trump éliminerait la Loi sur les soins abordables, ce qui entraînerait :
- une autre réduction d’impôt de 225 000 $, en moyenne, pour les 0,1 % les plus élevés
- la suppression de l’accès aux soins pour les travailleurs et la classe moyenne.

> Le monde est déjà passé par là. Les gens n’ont pas pris au sérieux le genre de menaces que nous avons vues dans les années 1930, y compris les journalistes américains [...] un démagogue déterminé malheureusement appuyé par des membres de son parti politique, des gens qui se soucient davantage d’une réduction d’impôt future que du caractère sacré de la Constitution, sont en train de se ranger derrière lui. Et je ne pense pas que la presse en ait fait assez pour dire, «Ok, le cirque est ici, vous pouvez regarder le cirque. Mais laissez-nous vous dire ce que cela signifie». Parlons à des gens qui ont une réelle compréhension de la façon dont les dictatures évoluent.

> Ce ne sont pas toutes les générations qui doivent se battre pour leurs droits, mais celle-ci le fait. Il y a des gens qui veulent revenir en arrière sur les droits des femmes. Ils veulent plus de contrôle sur les femmes. Toute femme qui valorise la liberté doit comprendre qu’il y a un choix dans cette élection et c’est Joe Biden.

 

● Royaume Uni 
♦ Liberal democrats 
> Les conservateurs continuent de laisser les compagnies d’eau polluer nos lacs, nos rivières et nos plages avec des eaux d’égout brutes. Selon de nouvelles estimations, il pourrait y avoir 50 % de débordements de plus que les 22 000 que nous connaissons déjà.
Le public est à juste titre furieux que leurs rivières et lacs locaux préférés soient gâtés tandis que les patrons des compagnies d’eau acceptent d’énormes bonus.
L’année dernière, il y a eu plus de 4 millions d’heures de rejets d’eaux usées dans les rivières, les lacs et les mers anglais.

> Les libéraux-démocrates réclament une expansion de 770 millions de livres sterling des services de santé mentale, financés par les géants des médias sociaux.

> Les conservateurs savaient que les aidants non rémunérés étaient injustement pénalisés et n’ont rien fait. Le gouvernement doit corriger le système défectueux et défaillant de l’allocation de soignant comme une priorité urgente.

> Les gens en ont assez de l’échec de ce gouvernement conservateur sur le NHS. Nous demandons le recrutement de 8000 nouveaux médecins généralistes pour permettre à tous les patients d’obtenir le droit légal de consulter un médecin généraliste dans les sept jours, ou dans les 24 heures en cas d’urgence.
Cela se ferait en recrutant 8000 médecins généralistes supplémentaires, en augmentant les places de formation, en fixant les règles de retraite du NHS et en lançant une campagne pour encourager les médecins retraités à retourner à la pratique.

> La discrimination à l’encontre des personnes LGBT+ est encore beaucoup trop courante - en particulier contre la communauté trans.
Les droits des LGBT+ ne doivent pas être tenus pour acquis. La lutte pour l’égalité se poursuit.

> Les conservateurs ont négligé la santé mentale des enfants pendant et après la pandémie, laissant les services de santé mentale et les familles en crise.  Il est temps de s’attaquer à la crise chez les jeunes, et enfin d’apporter la parité des soins de santé mentale et physique.

> Les enfants mangent des chewing-gums ou font semblant de manger dans des boîtes à lunch vides. Cela doit cesser. Aucun enfant ne devrait avoir faim à l’école. Les libéraux-démocrates offriraient des repas scolaires gratuits, en commençant par chaque enfant pauvre, pour faire économiser de l’argent aux parents et donner aux enfants l’énergie nécessaire pour apprendre.
Dans un pays comme l’Angleterre, les familles sont aux prises avec ce besoin humain fondamental, et c’est épouvantable. Le gouvernement devrait avoir honte.

> Depuis la pandémie, les enfants aux prises avec des problèmes de santé mentale sont en hausse. C’est pourquoi les libéraux-démocrates demandent un professionnel de la santé mentale dans toutes les écoles primaires et secondaires.
Le projet de loi créerait une obligation pour l’organe directeur de chaque école financée par l’État de fournir l’accès à un praticien qualifié en santé mentale ou à un conseiller scolaire.
Il est temps de traiter la santé mentale avec le même respect que nous le faisons physiquement.

> Les heures gratuites de garde d’enfants ne sont pas bonnes si les parents ne peuvent pas trouver une garderie – et grâce aux conservateurs, des millions de personnes sont maintenant confrontées à la tâche presque impossible de trouver une garderie. Il y a moins de fournisseurs, moins de choix pour les parents et aucune garantie de trouver une place pour leur enfant. Il y a maintenant 56000 places de garde d’enfants de moins en Angleterre qu’en 2019. Dans certaines zones, le nombre de places en garderie a diminué de 25 % depuis 2019.
Le gouvernement doit de toute urgence revoir les taux qu’il paie aux fournisseurs pour s’assurer qu’ils couvrent les coûts réels de la prestation de services de garde d’enfants de haute qualité et de l’éducation de la petite enfance.
Le gouvernement conservateur a créé des déserts de garderies pendant des années de négligence. Cette loterie de code postal signifie que les parents de nombreuses régions du pays sont complètement privés d’options.

 

● Suisse 
♦ Le Centre 
> 15.000 francs de primes d'assurance-maladie pour une famille de quatre personnes, c'est trop. Pour stopper l'explosion des primes et freiner les coûts, il faut dire OUI à notre initiative pour le frein aux coûts le 9 juin !

> Le gaspillage de médicaments, les traitements à double et les inefficacités font toujours exploser les primes d'assurance maladie. Avec notre initiative sur le frein aux coûts, nous mettons fin à ce jeu et stoppons l'explosion des primes !

> Coûts de la santé – encore une occasion manquée !
Le Centre regrette vivement que le Conseil fédéral n’ait répondu que de manière fragmentaire aux trois interventions du groupe parlementaire du Centre visant à maîtriser les coûts de la santé. Et ce, bien qu’un rapport d’experts mandaté par la Confédération ait déjà identifié en 2019 un potentiel d’économies de 6 milliards de francs dans le domaine de la santé. Afin de stopper enfin l’explosion des primes de manière durable et sans perte de qualité, il est d’autant plus nécessaire de voter OUI à notre initiative sur le frein aux coûts le 9 juin prochain.
Les coûts de la santé augmentent sans cesse depuis des années. Les mesures efficaces pour réduire les coûts sont pourtant connues depuis longtemps et ont été chiffrées à 6 milliards de francs en 2019 dans un rapport d’experts mandaté par la Confédération. Comme les primes d’assurance-maladie ne cessent malgré tout d’augmenter, le groupe parlementaire du Centre a déposé trois postulats pour proposer des mesures concrètes. L’objectif de ces postulats était d’inciter le Conseil fédéral à mettre en œuvre des mesures de maîtrise des coûts de la santé en lui soumettant des propositions concrètes. Par exemple, le développement des soins intégrés, le réexamen régulier des tarifs ambulatoires ou l’amélioration des conditions-cadres pour les médecins généralistes permettraient d’éviter des coûts élevés chaque année.
Stopper l’explosion des primes maintenant !
En tant que parti qui place la responsabilité sociale au cœur de son action politique, Le Centre lutte depuis des années contre l’explosion des primes d’assurance-maladie. En recommandant le rejet des postulats du Centre, le Conseil fédéral montre une fois de plus un manque de volonté de réduire la charge des primes. Alors que la classe moyenne est déjà touchée par l’augmentation du coût de la vie et des prix de l’énergie, la hausse des primes d’assurance-maladie creuse un trou toujours plus grand dans le porte-monnaie des familles. Aujourd’hui, une famille de quatre personnes paie jusqu’à 15 000 francs par an uniquement pour les primes d’assurance-maladie, et les acteurs du secteur de la santé ne sont pas prêts à réduire les coûts. « Le gaspillage de médicaments, les prestations inefficaces et superflues, les traitements à double et l’appât du gain font grimper les coûts au détriment de la classe moyenne », déclare le conseiller national du Centre Benjamin Roduit.
Un frein aux coûts est plus nécessaire que jamais !
Le seul moyen de mettre enfin un terme à l’explosion des primes et de freiner les coûts est de voter OUI à notre initiative sur le frein aux coûts le 9 juin. Pour Le Centre, il est clair que des objectifs de coûts contraignants sont nécessaires pour enfin maîtriser la hausse des primes d’assurance-maladie. Tous les acteurs du système de santé doivent contribuer à une solution et une prise de conscience des coûts doit être instaurée. Seul l’introduction d’un frein aux coûts permettra d’attaquer le problème de la hausse des primes d’assurance-maladie à la racine et de mettre fin à l’explosion progressive des primes.

 

♦ Vert’libéraux 
> Le frein aux coûts prévoit un mécanisme trop rigide qui se focalise unilatéralement sur les coûts. Si nous voulons un système de santé meilleur et plus efficace, nous devons nous attaquer aux causes. Non le 9 juin à l'initiative pour un frein aux coûts !

 

Céline Weber (députée)
On a voté en 2023 pour la loi climat qui fixait le cadre de la décarbonation. Maintenant, avec la loi pour l'électricité et ses objectifs clairs sur les énergies renouvelables, on indique le chemin par lequel nous souhaitons y parvenir.

 

 

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