► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement,
certains membres ne sont pas centristes; nous retranscrivons cependant leurs
propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie selon nos
critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste]
Gabriel Attal Premier
ministre, chargé de la Planification écologique et énergétique
> Pour le président
de la République et le Gouvernement, le retour à l’ordre et au calme en
Nouvelle-Calédonie est notre priorité. J'ai présidé à nouveau ce matin une
cellule interministérielle de crise pour m'assurer que tout est mis en œuvre
pour y parvenir. Bruno Le Maire et Marie Guévenoux ont réuni les représentants économiques ce matin et recevront
les assureurs dès la semaine prochaine. Nous serons aux côtés des commerçants
et des entreprises pour reconstruire.
> En Nouvelle-Calédonie, la
situation reste très tendue, avec des pillages, des dégradations et des
violences inacceptables. Deux gendarmes sont tragiquement décédés. Je pense à
eux, à leurs proches, à toutes les forces de l’ordre dont l’engagement est exemplaire.
Cette situation doit cesser : trop de victimes, trop de violences, trop de
dégâts. Comme je l’ai indiqué hier, trois jeunes Calédoniens y ont perdu la
vie. Ce sont des familles et des proches endeuillés. Je ne me résoudrai jamais
à ce que des jeunes perdent la vie dans une spirale de violence.
À la demande du président de la République, nos objectifs sont clairs :
rétablir l’ordre, assurer la continuité de la vie sur place et établir les
conditions du dialogue. Pour rétablir l’ordre, un pont aérien a été mis en
place. 1 000 effectifs supplémentaires de forces de sécurité sont en train
d’être déployés sur place. Ce qui portera à 2 700 les effectifs en
Nouvelle-Calédonie. Une circulaire pénale sera publiée par le garde des Sceaux
dans les prochaines heures pour garantir le plus haut niveau de fermeté et de
sanction dans la réponse aux émeutes et aux pillages. Un pont aérien logistique
est également en place pour assurer la continuité de la vie sur l’île,
l’approvisionnement en produits essentiels et garantir la continuité des soins.
Le Gouvernement réunira dans les prochaines heures les représentants du monde
économique pour les accompagner, leur permettre de tenir, de se relever et de
se reconstruire. Enfin, parce que ma responsabilité de Premier ministre est
d’informer et d’échanger avec les représentants de la Nation, j’inviterai dans
les prochaines heures les comités de liaison parlementaires à une réunion, en
présence du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer.
Le Gouvernement est pleinement mobilisé. Nous le devons aux Calédoniens, à la
jeunesse calédonienne, à la République.
Bruno Le Maire,
ministre de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et
Numérique
> L’entreprise Blue Solutions annonce sa
gigafactory de batteries électriques dans le Grand Est et son usine pilote en
Bretagne. À la clé, 1 500 emplois. C’est un pas de plus pour faire de la France
la première économie décarbonée en Europe en 2040.
Gérald Darmanin,
ministre de l’Intérieur et des Outre-mer
> [Synagogue attaquée à Rouen] Cet acte
antisémite à Rouen nous touche tous. (…) Le ministère de l'Intérieur met
tous les moyens pour protéger la communauté juive".
Catherine Vautrin,
ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités
> Comité interministériel du handicap. Le
Premier ministre a annoncé des avancées fortes et concrètes pour la
scolarisation des enfants en situation de handicap. Ce CIH prévoit notamment :
→ la création de pôles d'appui à la scolarité (PAS), mis en place dès la
rentrée 2024, comprenant des professionnels du médico-social pour faciliter
l'accès à une éducation adaptée pour tous ; → la mise en place d'un numéro
national d’identification pour tous les élèves, y compris ceux en situation de
handicap, pour ouvrir les droits pour les familles qui en sont jusqu’alors exclues
; → la simplification des démarches pour les parents d'élèves en situation de
handicap, visant à réduire les délais de prise en charge par la MDPH ; → la
création de 3 000 nouveaux postes d’AESH et l’amélioration de l’accès à un
temps plein de 35 heures hebdomadaires pour ces professionnels. Nous invitons
tous les acteurs concernés à se joindre à nous pour soutenir ce changement de
paradigme. Pour tous les enfants en situation de handicap, faisons de l'école
un lieu accessible pour apprendre.
Nicole Belloubet,
ministre de l'Education nationale et de la Jeunesse
> L’École pour tous, ce n’est pas qu’une
formule. C’est une ambition, des moyens et des mesures fortes. Je veux encore
les renforcer pour la prise en charge des élèves en situation de handicap.
Marc Fesneau,
ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire
> Notre filière viticole est notre fierté. Pour
répondre à la crise qu’elle traverse, le Gouvervement a :
- Mis en place un fonds d’urgence de 80 M€ ;
- Lancé un appui à hauteur de 150 M€ pour mettre en œuvre une mesure
structurelle de réduction du potentiel viticole.
Nous lançons aujourd’hui en complément une enquête en ligne auprès de
l’ensemble des viticulteurs jusqu’au 12 juin pour mettre en œuvre la mesure
structurelle de réduction du potentiel viticole. Leurs réponses seront
déterminantes pour identifier les modalités ainsi que les volumétries
d’arrachage envisagées.
Rachida Dati,
ministre de la Culture
> Nouveau départ avec les mouvements et les
fédérations d’éducation populaire. Nous avons signé une nouvelle charte
nationale : •
- création du label Éducation populaire pour la culture
- création de conseils locaux culture/éducation populaire
- financement de 60 postes pour l’emploi associatif dans les territoires.
Cette charte reconnaît le rôle essentiel des acteurs de l’éducation populaire
pour notre objectif commun : donner accès à la culture à tous et sur tout le
territoire.
Sébastien Lecornu,
ministre des Armées
> À la demande d'Emmanuel Macron, les Forces Armées de
Nouvelle-Calédonie ont été mobilisées pour appuyer les Forces de sécurité
intérieure. Elles agissent dans le cadre de réquisitions prises par le
Haut-Commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie.
Conformément au droit s’appliquant sur le
territoire national, les armées apportent leur concours aux forces de sécurité
intérieure :
- Sécurisation de points essentiels
(ports, aéroports)
- Logistique (transport aérien)
- Sanitaire (équipes médicales)
- Technique (liaison)
Ces missions s’effectuent dans un cadre précis : les
forces armées ne peuvent se substituer aux forces de sécurité intérieure dans
leurs missions de maintien de l’ordre.
Éric Dupond-Moretti,
garde des Sceaux, ministre de la Justice
> [Nouvelle-Calédonie] D'abord on rétablit
l'ordre républicain et ensuite les discussions reprendront.
Stéphane Séjourné,
ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, secrétaire général de
Renaissance
> En cette journée internationale contre
l'homophobie [17 mai], la transphobie et la biphobie, rappelons que dans de
nombreux pays, les droits LGBT+ ne sont pas encore acquis. Mon action
diplomatique se veut aussi en faveur de la défense de ces droits et de la
promotion de l’égalité.
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la
Fonction publiques
> Rendre les 250 démarches en ligne essentielles
accessibles aux personnes en situation de handicap d’ici fin 2025, c’est
l’engagement pris par le Président. Nous sommes à la moitié du chemin. Pour
accélérer, nous mettons 60 millions d'euros sur 5 ans. Une démarche simple,
claire et accessible c'est une démarche qui bénéficie à tous, sans laisser
personne sur le côté.
> Souvent, quand on parle de l'administration française c'est plutôt mis dans les colonnes des moins parce que les entreprises, peuvent avoir le sentiment que l'administration est là pour leur compliquer la vie. Hier moi je suis venu dire l'inverse aux chefs d'entreprise que j'ai rencontrés, dire que l'administration est là pour faciliter les choses, pour permettre justement à des entreprises qui se posent la question d'investir en France, de faire que pour la cinquième année consécutive notre pays est le plus compétitif en Europe, eh bien nous mettons tout en oeuvre pour créer un cadre de confiance, un cadre de confiance avec l'ensemble des administrations, les administrations fiscales notamment, pour que l'investissement en France ne soit pas empêché pour des mauvaises raisons, et la complexité ça a un coût dans notre pays, et je crois que toutes les actions qu'on peut mener en matière de simplification, en matière de confiance, en matière de droit à l'erreur, eh bien ça fait partie, c'est une pièce du puzzle de la compétitivité du pays.
> Il faut parler d'Europe dans cette élection parce que la question qui est posée à nos concitoyens, c'est quelle Europe on veut ? Et d'ailleurs, avant même de se poser la question de l'Europe qu'on veut, c'est est ce qu'on veut continuer avec l'Europe ou est ce qu'on veut sortir de l'Europe ? Il y a beaucoup de déviations, il y a beaucoup de sujets cachés. Au fond, nos concurrents dans cette élection ne veulent pas parler d'Europe. Et vous m'interrogez sur cet épisode récent de Marine LE PEN qui refuse le débat au fond, mais c'est toute la symbolique d'un rassemblement national qui se cache. Et nous, nous voulons parler d'Europe parce que nous voulons dire que depuis cinq ans, l'Europe a changé comme jamais. Elle n'avait pas changé comme ça depuis 50 ans, elle a trouvé des réponses à des grands défis. On a fabriqué des vaccins en européen, on a exporté. On a créé un endettement commun pour pouvoir fabriquer un plan de relance. On a fait un pacte sur l’écologie.
> Ce que fait le président de la République, ce qu'il a fait à travers le discours de la Sorbonne, en posant les grands enjeux, en disant que oui, l'Europe est en danger de vie, en disant que nous pouvons faire mieux, nous pouvons bâtir une Europe puissance pour répondre aux grands enjeux, notamment économiques ou grands enjeux géopolitiques, pour acquérir cette capacité à nous protéger par nous-mêmes. Rendez-vous compte, ce sera peut-être bientôt le retour de Donald Trump. C'est ça qui se joue. C'est ça la question qui est posée à nos concitoyens. Et donc le premier message qu'il faut passer, c'est d'aller voter aux élections européennes. Moi, je ne me résous pas à ce qu'on puisse avoir une élection qui est aussi importante pour notre avenir en commun et qu'au fond on donne le sentiment de passer à côté.
Amélie Oudéa-Castéra,
ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques
> En ce 17mai, nous réaffirmons notre engagement indéfectible dans la
lutte contre les LGBTphobies et en faveur de l’égalité des droits. Alors qu’il
doit être le lieu par excellence de toutes les fraternités, le sport reste trop
souvent encore le lieu de discriminations envers les personnes LGBT+ : 40% des
Français y ont déjà été témoins ou visés par une insulte homophobe, un chiffre
qui monte à 67% lorsque l’on interroge des LGBT+. A Toulouse, j’étais aux côtés
de plusieurs grands dirigeants du sport français et d’acteurs associatifs
particulièrement engagés pour porter notre combat contre toutes les
discriminations, à l’occasion de la « Tournée du sport inclusif »
soutenue et labellisée dans le cadre de la Grande cause nationale 2024. Je
reviendrai sur notre plan d’action pour mieux lutter contre la haine et
favoriser l'inclusion des personnes LGBT+ dans le sport. Ensemble, accélérons
le changement.
Sylvie Retailleau,
ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
> Accès facilité aux
bourses et montants plus élevés pour les étudiants en situation de handicap ou
aidants. Triplement en 3 ans des budgets consacrés à l'accompagnement
dans les établissements. Meilleure accessibilité des productions scientifiques.
A l'occasion du Comité Interministériel du Handicap, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche poursuit son
engagement en faveur d'une société plus inclusive.
> A l'université, on crée l'avenir et on se construit. Soyez qui vous voulez, aimez qui vous voulez, soyez fiers ! Contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche met en œuvre le Plan national pour l'égalité et contre les discriminations anti LGBT+. Sur nos bancs, dans nos labos, comme partout ailleurs, la haine ne gagnera pas.
> L'antisémitisme ne passera pas. Merci aux forces de l'ordre pour leur action exemplaire. Tout mon soutien à nos concitoyens Juifs, une nouvelle fois pris pour cibles d'une attaque odieuse. Que chacun se réveille face à l'antisémitisme !
> 17 mai: Journée internationale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie. Cette lutte contre les LGBTphobies, c'est toute l'année, tous les jours. C'est un réseau exceptionnel d'associations et de bénévoles engagés qui accueille, héberge et redonne des perspectives aux jeunes rejetés par leurs propres familles.
> Boycotter des femmes et des hommes en raison de leur identité ou religion, c'est évidemment illégal. Une «influenceuse» s'est à nouveau illustrée récemment. Face à l'antisémitisme, au racisme, je ne laisserai rien passer. La DILCRAH sera chargée de faire un signalement au procureur de la République.
Roland Lescure, ministre
délégué chargé de l’Industrie et de l’Energie
> En cette journée internationale contre
l'homophobie, la transphobie et la biphobie, nous devons continuer d’agir
contre toute forme de haine. À toutes les personnes LGBTQ+ : soyez vous mêmes !
Soyez en fiers ! Être soi est un droit.
> Nous inaugurons, avec EDF et les élus, les 71 éoliennes en mer, au large de Fécamp, qui fournissent de l’électricité à plus de 750 000 Français ! C’est un projet exemplaire et c’est fabriqué en France : des fondations à la station électrique jusqu’aux pâles d’éoliennes!
Olivia Grégoire, ministre
déléguée chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation
> Les États-Unis sont le premier marché à
l’export pour nos artisans d’art et du design. Les métiers d’art ne sont pas
que la vitrine des savoir-faire français, ils sont aussi des atouts économiques
essentiels. Très heureuse d’inaugurer l’évènement Oui Design! qui les met à
l’honneur.
> La France reste la 1ère destination mondiale, bat des records touristiques et demeure le pays européen qui attire le plus d’investissements.
Thomas Cazenave, ministre
délégué chargé des Comptes publics
> Lutte contre les drogues de
synthèse, nous adaptons nos méthodes à la menace :
- renfort des effectifs de cyberdouaniers
- élargissement des pouvoirs d’enquête
des douaniers
- lutte contre le trafic par fret express
grâce à des scanners dotés d’algorithmes détectant les drogues.
> Le
texte adopté à l’unanimité au Sénat pour limiter les frais bancaires lors des successions
est une avancée significative vers plus de justice et d'humanité. Un travail
transpartisan qui permet de ne plus ajouter de la fragilité à la fragilité.
Suppression des frais bancaires lorsque :
- l'héritier est clairement identifié,
- le solde total des comptes est
inférieur à 5 000 €,
- ou lorsque la personne décédée était
mineure.
Dominique Faure, ministre
déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité
> [Collectivités locales] Je rappelle que le président de la République
a stabilisé la DGF [Dotation globale de fonctionnement] en 2017 puis l’a
augmentée de 640 millions d’euros ces deux dernières années ! Ce qui n’était
pas arrivé depuis une quinzaine d’années. Sous la présidence de Nicolas
Sarkozy, la DGF avait été gelée et sous celle de François Hollande, elle a
baissé de 11 milliards. (…) Je suis évidemment prête à travailler avec tous les
élus et parlementaires sur la clarification de ces critères [de dotations], qui
ne sont effectivement pas assez lisibles, simples. C’est pour cela que le
Président de la République avait chargé en novembre dernier André Laignel,
maire d’Issoudun et président du comité des finances locales, de préparer une
réforme de la DGF. Ce dernier ayant renoncé, je souhaite que nous poursuivions
ce travail pour améliorer l’efficacité de cette dotation. (…)
Les critères existent depuis des années et on les applique. Je comprends qu’on
ne soit pas heureux de voir sa DGF baisser, mais c’est comme quand on paie des
impôts : cela veut dire que notre commune a des indicateurs meilleurs que la
moyenne ! Ce que j’ai envie de dire aux maires en colère, c’est
rencontrons-nous, expliquons-nous. Mais je ne peux pas entendre un édile dire
qu’il «se fait dépouiller par l’État». C’est intolérable. La DGF en moins pour
certaines communes ne revient pas dans le budget de l’État, elle augmente celle
de communes qui sont plus fragiles. Ce qu’il faut dire aussi, c’est que le
soutien de l’État ne se limite pas à la DGF. En deux ans, nous avons doublé le
soutien à l’investissement et aux projets des collectivités, de deux à quatre
milliards.
> Les députés et sénateurs qui connaissent bien la DGF le disent : sans réforme de la dotation, l’indexer aggraverait ses défauts. Ensuite, le déficit de notre pays s’élevait à 5,5 % de notre PIB ! Dans ce contexte, les collectivités locales doivent prendre leur part notamment en limitant la hausse de leurs dépenses de fonctionnement. L’augmentation de 320 millions d’euros de dotations pour les communes en 2024, c’est déjà énorme compte tenu des finances de notre pays !
> Beauvau des polices
municipales, acte 2 pour la modernisation du métier et la valorisation des
agents !
De la coopération avec les Parquets à la sanction des dépôts d’ordures
sauvages, en passant par les prérogatives et la juste rémunération, les sujets
abordés sont variés et essentiels.
Maires, organisations syndicales, magistrats, forces de l’ordre, agents : tous
déterminés à travailler pour aboutir à des réponses concrètes !
> L'Europe est déjà une réalité dans les territoires. Différents fonds européens viennent financer des programmes, des projets dans nos territoires. Et je prendrai juste l'exemple du programme LEADER : c'est un programme qui vient accompagner à la fois des entreprises, à la fois des collectivités en ruralité, pour des montants qui vont de 20 à 150 000 €. Ça peut permettre la réhabilitation d'une salle polyvalente, l'arrivée d'un boulanger ou l'ouverture d'un commerce dans un village, un magasin de produits locaux... Donc on voit que ces fonds sont assez méconnus parce que les montants sont à la maille de la rénovation des bâtiments pour y installer ces commerces ou pour y créer des lieux de vie à la maille communale. Donc c'est vraiment cette réalité que je voudrais démontrer.
> Un nouveau commerce dans un village en ruralité en France peut bénéficier, à chaque fois et pas exceptionnellement, de fonds européens qui vont venir compléter probablement ce que la collectivité va mettre à disposition du commerce. Les cofinancements entre régions, départements, État et collectivités, parfois nécessitent un complément et c'est l'Europe qui le met.
> La campagne vient à peine de commencer. Les sondages ne reflètent pas la perception que nous ressentons. Moi, je ne parle pas des concurrents. J'ai une très bonne candidate, encore une fois, qui a fait ses preuves, qui a un programme. Je pense qu'il a été largement présenté et je fais confiance à Valérie, à l'équipe et aux Français qui vont s'intéresser à l'Europe. Qu'ont fait les autres candidats? Certains n'étaient pas du tout présents, d'autres n'ont absolument pas influé sur les textes qui étaient portés par des candidats concurrents. Il n'y a qu'une liste, c'est celle de Valérie Hayer et j'en suis intimement convaincue.
Marie Guévenoux, ministre
déléguée chargée des Outre-mer
> Aux élus de Mayotte réunis hier à l’Elysée, le
président Emmanuel
Macron présente
un calendrier de réforme inédit pour vaincre le Choléra, lutter contre la
délinquance et stopper l’immigration illégale. C’est la mobilisation générale
pour répondre aux défis de l’île !
> Le gouvernement mobilise tous les moyens nécessaires pour assurer le retour au calme en Nouvelle-Calédonie. Ce matin avec Bruno Le Maire, je me suis entretenue avec les acteurs économiques de l’archipel. Nous serons à leurs côtés pour assurer la reconstruction.
Sarah El Haïry, ministre
déléguée chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles
> En cette journée du 17 mai, j’ai un message à
nos jeunes LGBT+ : Soyez fiers de qui vous êtes. Quelles que soient vos
craintes, vous pouvez vivre votre vie, créer la famille vous souhaitez et être
heureux. Libre d’être soi.
Frédéric Valletoux, ministre
délégué chargé de la Santé et de la Prévention
> Je salue le projet
d’accord entre l’Assurrance maladie et les médecins libéraux, basé sur un investissement
financier majeur. Il traduit l’engagement du gouvernement à conforter la médecine libérale
et à améliorer l’accès aux soins. Aux syndicats de se prononcer désormais !
> J’ai rencontré hier des créateurs et dirigeants de startups françaises en intelligence artificielle dans le domaine de la santé. Soutenir l’innovation, favoriser l'intégration de l'IA au service de la pertinence et de l'efficience du système de santé est mon ambition.
> À Bordeaux, pour la signature du Service d'Accès aux Soins de Gironde, entre le CHU de Bordeaux et les médecins libéraux. C'est l'engagement du gouvernement que d'ici la fin de l'été, tous les départements français seront couverts par un SAS pour faciliter l'accès aux soins.
Agnès
Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l’Agriculture
> « Les hommes naissent libres et égaux en
droits » peu importe leur couleur de peau, leur religion, leur genre, … La
journée de lutte contre l’homophobie et la transphobie nous rappelle que nous
devons porter ce combat en Europe et en France.
> L'accompagnement de la parentalité et une meilleure conciliation vie professionnelle/vie parentale est une forte demande du monde agricole. Œuvrer à y répondre c'est œuvrer à attirer des talents, notamment féminins.
> Engagement pris, engagement tenu. Les mesures de simplification de la PAC viennent d’être adoptées par le Conseil de l'Union européenne. Des mesures demandées par les agriculteurs et qui simplifient leur quotidien, sans revenir sur notre ambition environnementale.
Franck Riester, ministre
délégué chargé du Commerce extérieur, de l'Attractivité, de la Francophonie et
des Français de l'étranger
> Depuis cinq ans, en Europe, la France est le premier pays en termes
d’investissements étrangers sur son sol. Et l’un des éléments importants de
cette attractivité, ce sont les tournages de films en France. Ces tournages
représentent 730 millions d’euros, à 75% investis par des sociétés américaines.
Cela peut s’expliquer par la qualité de nos paysages, la mobilisation de toutes
les collectivités locales, les acteurs du monde du cinéma, à commencer par le
CNC. Il y a aussi les crédits d’impôts mis en place pour les tournages.
> Vingt studios de cinéma seront financés.
> Le cinéma est évidemment une activité économique très intéressante en termes d’exportation. Comme l’ensemble des industries culturelles et créatives, elle contribue largement au rayonnement et à l’image de la France dans le monde.
> Sur la question des violences sexistes et sexuelles [dans le cinéma], nous sommes mobilisés pour soutenir la parole des femmes. C’est essentiel que la parole se libère. Et il est important que la justice fasse son travail.
> La francophonie est un élément important. Grâce aux tournages en langue française, on touche presque 400 millions de locuteurs. Le Marché du film met à l’honneur la Suisse cette année. De mon côté, je mets en lumière le Maroc, qui va bénéficier d’un certain nombre d’aides, notamment dans le cadre de la Fabrique du cinéma et de celui du CNC destiné aux jeunes créateurs francophones. C’est un effort qui unit à la fois le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. On est mobilisé pour soutenir la diversité du monde du cinéma dans sa diversité.
> L'homophobie, la transophobie, et la biphobie ne seront jamais une opinion. L'action de tout le gouvernement favorisera la liberté de chacun et chacune d'être libre d'être soi.
> la France et le Québec partagent l'amour du français, mais aussi l'ambition de le développer dans le monde entier. Ma récente visite québécoise n'a fait que confirmer cette conviction. Nous sommes au travail pour faire du XIXème Sommet de la francophonie une réussite, et mobiliser l'ensemble des participants sur les enjeux de la francophonie de demain.
> Avec le vice-ministre Tran Quoc Phuong, j'ai ouvert le 8ème dialogue économique de haut niveau France-Vietnam. L'amitié franco-vietnamienne s'écrit à travers notre excellente relation économique. Allons plus loin encore !
> Si les engagements sont tenus, le dernier Choose France
apportera 10.000 emplois En tout cas, ce sont les prévisions faites par les
entreprises, de création directe d'emplois. Quand vous créez une usine, vous
allez recruter 50 personnes, mais il y a aussi les emplois qui sont créés par
les entreprises qui construisent l'usine, qui construisent les machines qui
vont dans l'usine quand ce sont des machines françaises. Parfois ce sont des
machines qui viennent de l'étranger, on le sait. Mais enfin, en tout cas, ça
peut être des machines françaises. Et puis aussi, toutes les entreprises qui,
ensuite, vont travailler à la maintenance, à l'entretien, à fournir tel ou tel
matériel à l'entreprise et à l'usine pour qu'elle tourne. Donc ce sont 10 000
emplois directs, mais c'est une dynamique économique et territoriale importante
derrière. Et ça fait suite à l'annonce, il y a quelques jours précédents Choose
France, des résultats 2023 de l'attractivité du pays. Et c'est une nouvelle
fois, la France... C'est ce baromètre Ernst & Young (EY) qui dit qu'elle
est à nouveau - la France - championne d'Europe en matière d'attractivité pour
les investissements étrangers. C'est-à-dire que pour la cinquième année
consécutive, la France a accueilli plus d'investissements étrangers que la
Grande-Bretagne, que l'Allemagne. Et je vais vous donner un chiffre particulièrement
saisissant ; les investisseurs étrangers en 2023 ont investi six fois plus en
France dans des usines qu'en Allemagne, trois fois plus qu'en Grande-Bretagne.
Ce qui montre que la réindustrialisation du pays que le Président de la
République a appelé de ses vœux, que le Gouvernement met en œuvre par une
politique de l'offre. Vous savez, cette politique qui vise à améliorer
l'environnement des affaires, à baisser la fiscalité des entreprises, à
réformer le marché du travail, à miser sur la recherche et l'innovation, à
faire en sorte qu'il y ait davantage de formations dédiées aux besoins des
entreprises en matière de qualifications. Cette politique-là, elle fonctionne,
elle a des résultats parce que ces résultats de la France, championne du monde
des investissements étrangers, ce n'est pas le fruit du hasard, c'est le fruit
d'une politique. Alors, c'est le fruit aussi de choix qui avaient été faits
auparavant, pour les infrastructures de transports. C'est aussi l'accès à une
énergie décarbonée à bas coût. C'est ce que nous disent tous les investisseurs.
Et cette politique, il faut la poursuivre, continuer d'investir dans les
infrastructures de transports, continuer d'investir dans une énergie
électrique, décarbonée et pas chère : le nucléaire et les énergies
renouvelables. (…)
La création d'emplois, elle, n'est pas figée ; ce sont les emplois directs,
mais ce sont aussi les emplois dits indirects. Ce que ne comprennent pas
souvent les élus de gauche, c'est que l'économie n'est pas quelque chose de
statique, ce n'est pas quelque chose d'arithmétique, c'est quelque chose de
dynamique. C'est pour ça que les 35 heures étaient une énorme erreur. L'idée de
penser qu'on pouvait partager le travail, non. L'économie, c'est quelque chose
de dynamique, plus, c'est un cercle vertueux ou un cercle vicieux. Et pour
qu'un cercle soit vertueux, il faut que les entreprises aient confiance, qu'on
leur fasse confiance et qu'on leur dise « oui, on sait que la question du coût
du travail est importante dans votre temps, la compétitivité du pays. » Et pour
que le coût du travail soit le plus bas possible, il faut aussi des aides pour
permettre de continuer à financer notre protection sociale, mais en même temps,
vous donner les moyens de vous battre à armes égales avec la compétition du
monde entier.
> La réforme sur les heures supplémentaires, sur l'assurance chômage, sur les retraites. C'est pour qu'il y ait un volume de travail plus important. Et ça, oui, c'est important, il faut le faire, il faut continuer. Et s'il faut aller plus loin... Et nous pensons qu'il faut aller plus loin avec, vous savez, une réforme du travail... du marché du travail, je dirais numéro 2, après ce qu'on avait fait en 2017, qui est en préparation, d'aller plus loin sur la réforme de l'assurance chômage. Il faut continuer de faire en sorte que dans notre pays, il y ait un volume de production de travail plus important. Et puis, il faut continuer à avoir l'environnement des affaires le plus favorable en simplifiant... Et là, c'est le gros chantier qui est devant nous. On n'a pas fait suffisamment ; on le reconnaît bien volontiers. Il faut qu'on aille plus loin. Il y a un projet de loi qui est en préparation. Il y a des propositions de loi, c'est-à-dire d'origine parlementaire, qui sont d'ores et déjà en discussion, notamment la proposition de loi pour simplifier la partie des services financiers, pour que l'attractivité de la France, notamment de Paris, soit encore plus importante en matière financière. Il faut continuer de faciliter la vie des entreprises. À mon niveau, en tant que ministre du Commerce extérieur, je travaille à un plan de simplification pour que ce soit plus facile d'exporter, notamment la dématérialisation, la digitalisation des démarches. Donc tout ça, c'est notre priorité. Mais il ne faut surtout pas remettre en cause les fondamentaux qui sont reconnus par les entreprises aujourd'hui et les investisseurs étrangers pour choisir la France ; de l'électricité à bas coût, décarbonée ; un coût du travail maîtrisé ; un soutien à la recherche et à l'innovation et des talents qui sont soutenus et valorisés.
> Il faut continuer d'aller chercher l'ouverture des marchés, parfois en ayant des accords commerciaux pertinents, utiles pour le pays. C'est, par exemple, l'accord avec le Canada. Et puis, des fois, il faut se protéger davantage. Et c'est pour ça que nous avons soutenu et mis en œuvre un certain nombre d'instruments au niveau européen, notamment sous présidence française, pour mieux se protéger, pour, par exemple, davantage de réciprocité dans l'ouverture des marchés publics, pour davantage de concurrences loyales, notamment pour les véhicules électriques. Vous savez qu'il y a une enquête actuellement en cours au niveau de la Commission européenne, pour voir si les subventions chinoises sont bien réelles. On pense que oui. Et dans quel cas, quelle réaction ? Et la réaction, évidemment qui tombe sous le sens, c'est d'augmenter les tarifs douaniers pour rééquilibrer la concurrence avec la production européenne.
> [CETA] L'occasion pour moi de réitérer que, bien sûr, le texte de ratification reviendra à l'Assemblée nationale. Il est déjà venu à l'Assemblée nationale en 2019 ; il avait été voté d'ailleurs à l'Assemblée nationale. Il est allé au Sénat où il était battu par une alliance contre nature électoraliste, entre les communistes et les socialistes et les LR qui pourtant avaient négocié et conclu cet accord. On comprend que, et le Parti socialiste et les LR ont perdu complètement leur boussole politique économique. Et ça reviendra à l'Assemblée nationale le moment venu. Le moment venu, c'est quand ? Ce n'est pas dans une période électorale, pour ne pas que ce soit instrumentalisé à des fins électoralistes. Et quand on aura un bilan provisoire fait par la Commission qui sera rendue d'ici la fin 2024 et quand la mission parlementaire voulue par le Premier ministre sur les mesures miroirs.... Vous savez, ce sont ces mesures qui permettent la réciprocité dans les normes de production, d'être rendues là aussi d'ici fin 2024-début 2025.
Jean-Noël Barrot, ministre
délégué chargé de l’Europe
> Face à la menace de l’insécurité généralisée
sur notre continent et de la guerre provoquée par l’impérialisme de Poutine,
nous consacrerons 100 milliards d’€ à la défense européenne.
> Depuis le premier jour de l’offensive russe en Ukraine, la France est à l’initiative pour soutenir l’Ukraine et sanctionner la Russie. Cette action, nous la devons à notre diplomatie. Je veux ici lui rendre hommage et saluer le travail de notre ambassadeur en Russie.
> En Géorgie, c’est tout un peuple qui se lève pour défendre la liberté et la démocratie. Cette mobilisation massive nous rappelle que l’Europe est une idée vivante, qu’elle est la garantie de nos libertés, qu’elle est une espérance.
Patrice Vergriete, ministre
délégué chargé des Transports
> La majeure partie des collectivités aujourd'hui a les moyens de
pouvoir entretenir les routes, et on le fait très très bien, sur mon territoire
je connais ça par cœur. Il y a des problématiques malgré tout, c'est-à-dire
qu'il y a, par exemple, des petites communes en France qui ont un grand
patrimoine routier, et là Jean-Pierre a raison, pour ces communes-là ça peut
être difficile, donc on commence à réfléchir notamment pour les communes qui
ont un énorme patrimoine routier, es toutes petites communes, parfois c'est
1000 habitants, et un énorme patrimoine routier, et là ça peut poser problème,
donc il faut pouvoir identifier, ce n'est pas toutes les collectivités locales,
il y a des collectivités qui ont largement les moyens de pouvoir le faire,
s'ils ne le font pas c'est des raisons politiques. (…) On est en train de réfléchir à la façon dont on va pouvoir demain répondre
à cette question effectivement de l'entretien des routes pour des collectivités
qui ont un patrimoine démesuré par rapport à leur population et qui sont
absolument essentielles.
> Je peux comprendre, à un moment donné, les intentions, transition écologique, bruit, sécurité routière, on peut le comprendre, néanmoins aujourd'hui s'il y a des gens qui prennent leur voiture, au passage c'est 80% de non-parisiens qui sont sur le périph, s'il y a des gens qui prennent leur voiture c'est parce que depuis 50 ans on fait des villes de la voiture. On a accepté dans nos métropoles d'avoir des gens qui habitent à 30, 40 kilomètres de leur emploi et qui n'ont pas le choix, qui sont obligés de prendre leur voiture, et j'ai l'impression qu'un certain nombre de mesures qui s'accumulent, contre les gens qui sont obligés de prendre leur voiture, ce n'est pas de nature à favoriser en tout cas le quotidien des Français. Donc je pense qu'il faut arrêter de stigmatiser les personnes qui sont obligées de prendre leur voiture aujourd'hui, je veux dire ce n'est pas eux qui ont construit les villes depuis 50 ans, et donc je pense qu'aujourd'hui toutes ces mesures, eh bien on ferait mieux de parler de comment on va développer les transports en commun pour ceux qui sont loin, comment on va permettre effectivement demain de passer à la voiture électrique, ça, ça m'intéresse.
> Les JO apportent une offre supplémentaire. Regardez, on a inauguré le RER E, ça a été accéléré grâce au calendrier des JO, on a inauguré le T3b, le tramway T3b, ça a été accéléré grâce aux JO, le mois prochain on va inaugurer la ligne 14, ça a été accéléré grâce aux JO, donc il y a aussi un héritage des Jeux olympiques. Je pense à l'accessibilité des taxis, maintenant on a 1000 taxis en Ile-de-France qui seront accessibles, c'est un héritage des JO, on a un plan de qualité à l'aéroport de Paris, c'est un héritage des JO, les 400 kilomètres de pistes cyclables c'est un héritage des JO, donc, attention, pensons aussi à tout ce que l'Ile-de-France va gagner grâce aux Jeux olympiques et des chantiers qui ont été accélérés, qui n'auraient pas été à cette vitesse-là sans les Jeux olympiques. Donc, on peut faire le procès des JO pendant effectivement l'été, mais la réalité c'est que, après, on aura quand même des acquis importants, regardez la Porte Maillot, regardez le RER E qu'on a inauguré avec le Premier ministre, c'est quand même un très, très bel enjeu, et moi j'ai entendu que des satisfactions, donc voilà, il faut aussi voir l'héritage des JO derrière, ce qu'ils laissent quand même aux Franciliens.
Guillaume Kasbarian, ministre
délégué chargé du Logement
> Face à la crise du logement nous agissons pour
:
- L’accès au logement abordable
- Simplifier les procédures
- Construire des logements là où sont les besoins
- Rétablir la confiance entre propriétaires et locataires pour encourager
l’offre
- Assurer la transition écologique.
1 - Développer l’accès au logement abordable pour tous les Français est notre
priorité. Concrètement le logement abordable c’est à la fois :
- Le logement social
- Le logement intermédiaire
- Le logement libre
2 - Pour répondre plus rapidement la
crise en aidant les projets à sortir de terre, nous simplifions et accélérons
les procédures. Au MIPIM, j’ai annoncé une première vague de simplification et
de nouvelles mesures seront annoncées prochainement.
3 - En réponse aux
demandes de nos territoires, nous apportons des financements ciblés aux
opérations prioritaires pour construire plus là où sont les besoins. C’est le
sens des 22 Territoires Engagés pour le Logement : 30 000 nouveaux logements en
3 ans.
4 - Incitons à l'investissement résidentiel par :
- Le rééquilibrage des normes sur les meublés de tourisme prévu par la
proposition de loi
- La restauration de la confiance pour encourager les propriétaires à mettre
leur logement en location.
5 - Dès aujourd’hui, MaPrimeRénov’ est simplifiée ! Vous êtes propriétaire et
vous souhaitez changer votre chauffage et/ou réaliser des travaux d’isolation
de votre logement ? Alors rendez-vous sur le site https://maprimerenov.gouv.fr pour déposer vos dossiers.
Marina Ferrari, secrétaire
d’Etat chargée du Numérique
> Je me félicite de la décision du Conseil
constitutionnel sur la loi visant à sécuriser et à réguler l’espace numérique.
Elle valide un travail gouvernemental et parlementaire constructif et
pragmatique.
Les principaux objectifs du projet de loi sont jugés conformes à la
Constitution, et en premier lieu le renforcement de la protection des mineurs
face à la pornographie. Les cyberharceleurs pourront également être bannis des
réseaux sociaux par le juge.
Il sera aussi possible de lutter avec plus d’efficacité contre le chantage à
caractère sexuel (« revenge porn ») et la diffusion de représentations d’actes
de torture et barbarie.
Grâce au filtre de cybersécurité, les Français seront par ailleurs mieux
protégés dans leur navigation sur Internet.
Enfin, le secteur économique émergent des jeux Web3 pourra se développer au
sein d’un cadre expérimental protecteur pour ses usagers tout en favorisant
l’innovation.
> Une empreinte carbone
multipliée par 3 entre 2020 et 2050. Voilà la tendance que prendrait le secteur
du Numérique sans action de l'État et des industriels. Le référentiel
d'écoconception des services numériques présenté ce matin va permettre
d'enrayer cette progression.
Avec ce référentiel général de l’écoconception des services numériques, nous
nous sommes fixés pour objectif de réduire l’empreinte environnementale des
services numériques tels que les sites web, plateformes vidéo, applications, ou
encore outils d’intelligence artificielle.
78 critères concrets vont permettre aux professionnels du numérique d'y
parvenir, avec des fiches pratiques qui les guideront vers l'éconception.
> Être soi. Tout simplement. En ligne, à l'école, dans nos villes et nos villages, partout : impunité zéro pour l'homophobie et ses complices.
Sabrina Agresti-Roubache,
secrétaire d’Etat chargée de la Ville, de la citoyenneté et de l’Intégration
> Parce que la haine et la violence n’ont pas
leur place dans notre société, soyons unis contre toutes les formes de
discrimination. En cette Journée internationale [17 mai], restons
vigilants et engagés dans la lutte contre l'homophobie, la transphobie et la
biphobie.
> Réunis autour du Premier ministre au Comité Interministériel du Handicap pour rappeler la mobilisation du ministère de l’Intérieur pour faciliter l’accessibilité des droits et de l’information. La Citoyenneté doit pouvoir s’exercer partout et pour tous.
► Assemblée
nationale
Yaël Braun-Pivet (présidente)
> En cette Journée mondiale contre l'homophobie,
la biphobie et la transphobie, je renouvelle mon soutien sans faille à la
liberté et à l’égalité. Chacun mérite de vivre sans peur. Ensemble, dessinons
une société où la lumière du respect et de l'amour dissipe les ombres de la
haine.
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