La quotidienne centriste du 24 février 2024. Le retour médiatique des gilets jaunes

Or donc des gilets jaunes ayant mis un bonnet jaune veulent toujours faire la peau à un président démocratiquement élu tout en provoquant chaos et destruction dans la pure veine des fanatiques de Donald Trump.

Rien de nouveau dans la fachosphère ni dans la complaisance des médias.

A voir les visages aux rictus de violence, ravagés par la haine de ces «agriculteurs» venus casser le Salon de l’agriculture qui ouvrait ses portes et qui voulaient s’en prendre physiquement à Emmanuel Macron, les images des Champs Elysées mis à sac et les propos de meneurs qui voulaient aller chercher celui-ci à l’Elysée remontent facilement à la surface.

Oui, les gilets jaunes tentent un énième come-back avec l’aide des médias.

Il n’y a qu’à voir le retour de cette jubilation médiatique où tout ce qui peut porter atteinte au président de la république en tant que personne et à sa majorité présidentielle est repris et scénarisé pour créer une atmosphère où soi-disant tout la France est à feu et à sang.

On pense ainsi, parmi tant d’’autres exemples, à ce tweet d’un des médias les plus anti-Macron, tout au moins de son site internet, La dépêche du Midi, qui n’hésitait pas à affirmer que Macron ne pouvait se balader dans les allées du Salon de l’agriculture que sous la protection d’escadrons de CRS et sous les huées de tous les agriculteurs…

Rappelons que le Président de la république est demeuré dix heures Porte de Versailles.

A nouveau, extrême-droite et extrême-droite sont des alliés objectifs dans ce nouvel épisode de déstabilisation de la démocratie républicaine en s’emparant de manière opportuniste des revendications d’une profession dont elles ne s’intéressent que lorsqu’elle peut être utilisée comme une arme contre l’ordre démocratique.

A nouveau les médias pour des raisons bassement commerciales ou par idéologiques qui n’a rien à voir avec leur mission d’informer se délectent d’un mouvement de foule qui, comme d’habitude, n’a rien à voir avec le peuple.

A nouveau la démocratie républicaine fait front et compte ses défenseurs.

 

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