Dans son propos liminaire, il a déclaré que devant «L'ordre du monde d'hier est en train de s'effacer», «pour que la France reste la France» il faut la rendre «plus forte et plus juste dans les années qui viennent».
Et il s’est dit «convaincu que nous avons tous les moyens de nous en sortir».
Pour cela il faut que la société française se réunisse autour de «valeurs communes» avec la nécessité d’un «respect partout».
«Nous avons besoin d'une France de l'engagement et de la mobilisation civile» a-t-il ajouté.
Et si nous ne devons «plus compter sur les autres puissances pour écrire notre histoire», «la France est plus forte si l'Europe est plus forte» estime-t-il, car «Je n'ai jamais opposé les deux».
«Une Europe plus forte plus unie et plus souveraine est nécessaire» parce que la France ne s’en sortira pas toute seule face à un monde dominé par la rivalité entre les Etats-Unis et la Chine.
Si «L'école est prioritaire», il s’agit aussi de «reprendre le contrôle de nos écrans» car «la France c'est aussi une histoire et une culture qui se transmettent» grâce à «la Famille et l’école» afin de «transmettre les savoirs et «faire des républicains».
Bien sûr, il convient aussi d’«assurer la sécurité et l'ordre» notamment dans la «lutte contre l'islam radical»
Cependant, «La France sera aussi plus forte si elle produit davantage».
Car «le monde est en train d'accélérer notamment sur les nouvelles technologies où la Chine et les États-Unis vont beaucoup plus vite que nous».
Cela passa par libérer les énergies et de faire «la France du bon sens plutôt que celle des tracas».
En matière d’emploi, le but est toujours d’«atteindre le plein emploi» et pour y parvenir «nous devons former davantage selon les besoins de la nation».
Un des buts est de «retrouver notre indépendance financière» qui passe «d'abord par créer plus de richesse» en produisant plus.
Devant la baisse continue de la natalité il milite pour une «France plus forte par la relance de sa natalité» et il annoncé un «nouveau congé de naissance mieux rémunéré et concernant les deux parents à la fois».
Selon lui, «la pire des injustices est l'inégalité de départ qui ne permet pas l'égalité des chances» et pour ne pas assigner les gens à résidence «d'où qu'on vienne il faut avoir accès à la culture».
Il a rappelé que «nous sommes le pays d'Europe où le pouvoir d'achat a le plus progressé ces cinq dernières années».
Enfin, il a définit l’«écologie à la française» comme une «écologie de justice».
Pour conclure il veut des «solutions radicales contre le déclassement et contre les déserts médicaux» avec une devise pour toute l’action de son gouvernement «de l'audace de l'efficacité de l'action».
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