Il a évidemment menti sur son contenu mais aussi sur le parallèle à l’avantage de la législation russe quand on sait que nombre de retraités de son pays vivent dans un dénuement presque total.
Mais le plus intéressant n’était pas là.
Il se trouvait dans le soutien pas du tout implicite aux positions prises contre la réforme par Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen.
Ce n’est pas fortuit et pas anodin.
Cela nous rappelle que les deux leaders extrémistes et populistes ont été des soutiens du dictateur russe.
Et qu’ils ont fait semblant de prendre leur distance avec lui, non pas au début de l’invasion de l’Ukraine mais quand les images des exactions de l’armée russe et de la milice Wagner rendaient impossible de le soutenir.
Mais à chaque initiative du Kremlin, on voit les amis de Mélenchon et Poutine se montrer des plus favorables à des actes grossiers de propagande.
En tout cas Poutine dans sa volonté de critiquer la France et Emmanuel Macron, nous permet encore une fois de ne pas oublier que l’extrême-gauche et l’extrême-droite sont de son côté.
Et cela nous permet de replacer les événements actuel dans notre pays dans le contexte de cette guerre que mène actuellement les ennemis intérieurs et extérieurs des régimes démocratiques avec des liens évidents entre eux.
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