Voici une sélection, ce 8 août 2023, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.
► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous
retranscrivons cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce
qu’ils font partie selon nos critères d’une équipe qui suit une politique
globalement centriste]
Gérald Darmanin
(ministre de l’Intérieur et des Outre-mer)
> L’antisémitisme n’a pas sa place dans notre
pays. Je condamne fermement ces propos ignominieux et saisis le Procureur de la
République. Par ailleurs, j’ai demandé à mes services d’instruire la
dissolution de Civitas.
Catherine Colonna
(ministre de l’Europe et des Affaires étrangères)
> Il y a 15 ans ce 7 août, la Russie agressait la
Géorgie, et 15 ans
plus tard elle reste présente sur une partie du territoire de ce pays.
> [Niger] Nouvel échange avec le Haut-Représentant de l’UE, Josep Borrell. Plein soutien aux efforts de la CEDEAO en vue de la restauration de l'ordre constitutionnel au Niger.
Sébastien Lecornu
(ministre des Armées)
> Je ne peux pas laisser dire que l’opération
Barkhane a été un « échec ». Notre armée n’a eu de cesse de faire
reculer les groupes terroristes au Sahel, sauvant des milliers de vies sur
place et protégeant celles des Français des menaces d’attentats sur notre sol.
Non, on ne peut pas parler « d’échec » quand on regarde aujourd'hui
la situation sécuritaire au Mali depuis le retrait des troupes françaises, le
sort de la MINUSMA et l'avènement de cette junte militaire.
Non, on ne peut pas faire un bilan
juste de l'action de la France dans la région, en omettant (!) dans cette
tribune de citer et saluer la mémoire de nos soldats français tués et blessés
aux côtés des soldats africains pour lutter contre le terrorisme.
Avec Catherine Colonna, nous avons participé il y a quelques semaines à un débat
parlementaire sur la politique française en Afrique, voulu par les sénateurs PS.
Si ce débat n'a réuni malheureusement qu'une vingtaine de sénateurs en séance,
il avait permis - je le croyais - de faire un bilan juste et impartial de
l'opération Barkhane au Sahel.
Barkhane n'a pas été un échec : c'est une faute de dire cela. Il y a bien
entendu des leçons politiques à en tirer, comme pour toutes les crises et pour
toutes les opérations militaires. Nous l'avons fait, et s'il faut y revenir, je
serai disponible.
Cette tribune [d’élus dans Le Figaro], à défaut de formuler quelques
propositions concrètes, aurait pu - au moins - rendre hommage «justement» à ce
que nos armées ont accompli.
Sylvie Retailleau
(ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche)
> Pour finaliser la réhabilitation des dernières
résidences Cnous et Crous, nous allons rénover 12 000 logements d’ici la fin du
quinquennat, conformément aux engagements de la Première ministre.
Marc Fesneau
(ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire)
> Compte tenu des difficultés de l’agriculture
biologique liées à un fléchissement de la demande, je m’étais engagé en mai
dernier à la mise en place d’un plan spécifique d’aide. L’UE vient de valider les critères du dispositif d’une enveloppe
complémentaire de 60 M€ proposé par la France, ce qui permet de lancer dès à
présent la mise en œuvre opérationnelle du dispositif. Cet engagement
supplémentaire vient compléter le fonds d’urgence de 10 M€ qui apportait une
aide immédiate aux exploitations en agriculture biologique les plus en
difficulté. L’Etat poursuit par ailleurs son travail en engageant une politique
de soutien à la consommation, par la commande publique auprès de ces filières.
Il s’agira en particulier d’atteindre les objectifs d’Egalim dans ses services de
restauration.
Bérangère Couillard
(ministre déléguée chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes et de la
Lutte contre les Discriminations)
> Il n’y a pas de trêve estivale pour les violences faites aux femmes. Les drames insoutenables
de ces derniers jours nous le rappellent. Le combat continue. Au moindre doute,
au premier geste, contactez le 3919 ou le 17.
Clément Beaune (ministre
délégué chargé des Transports)
> [Train] Nous
battrons un nouveau record de billets vendus pour les voyages en train cet été.
Il y a une volonté de prendre le train, que nous devons soutenir en baissant
les prix, avec les régions.
> [Train] D’ici l’été prochain, on souhaite avoir un pass pour circuler, notamment pour les jeunes, à tarif réduit et illimité.
> Chaque année, plus de 100000 animaux sont abandonnés en France. Dont 60000 l’été, souvent sur le bord de nos routes. C’est intolérable. Un animal n’est pas un jouet. L’adopter, c’est une responsabilité. L’abandonner, c’est un délit 3 ans de prison, 45000 € d’amende.
> Le ministère de l’Agriculture a relancé une campagne, et je la porte, qui s'appelle Stop Abandons, qui est relayée dans les médias et sur les réseaux sociaux. Je veux faire passer ce message: c'est un engagement, ce n'est pas un jeu d'avoir un animal, ça implique des frais et donc il faut bien le mesurer. Avoir un animal domestique, c'est aussi un acte formidable d'amour et de joie, et il faut le faire avec un grand sens des responsabilités : on sera intraitables sur tous les actes de cruauté ou d'abandon.
> Je demande aux sociétés d'autoroute de relancer toutes leurs actions de sensibilisation qui avaient lieu il y a quelques années, pour que sur les aires d'autoroutes on sache que l'abandon est un délit sanctionné par la loi.
> Échange essentiel avec Sorin Mihai Grindeanu, Vice-Premier ministre roumain et ministre des Transports. Notre coopération est totale (bateau, expertise technique…) pour assurer l'exportation des céréales d'Ukraine par les ports roumains et ukrainiens du Danube.
Agnès Firmin Le Bodo
(ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de
santé)
> Un grand merci aux professionnels de santé
mobilisés pendant l’été, notamment dans les services d’urgences. Le ministère de
la Santé est à vos côtés face aux difficultés.
Laurence Boone
(secrétaire d’Etat chargée de l'Europe)
> L’AfD [allemande], c’est le visage découvert et radical de l’extrême droite
européenne : détruire l’UE sans proposer de projet alternatif. Nous, nous
défendons une UE
concrète avec de la solidarité sur les incendies, les inondations, les vaccins.
(…)
L’AfD, par ses votes
au Parlement européen, s’acharne à déconstruire l’Europe sans propositions
alternatives, et tourne le dos à l’Ukraine agressée. L’essor de ce parti est un péril pour la stabilité
européenne.
> La ligne éditoriale choisie par le JDD n’est pas ma tasse de thé, et je salue les journalistes qui ont manifesté pour exprimer leurs convictions. Cependant, j’irai défendre partout les positions du gouvernement !
Prisca Thevenot
(secrétaire d’Etat chargée de la Jeunesse et du Service national universel)
> De façon très claire et
évidente, vous vous en doutez, il ne m’appartient pas de commenter une décision
de justice mais plutôt de la respecter et de l’entendre. Ce qu’on peut dire sur
cette affaire c’est déjà effectivement entendre peut-être les paroles d’Hedi,
des paroles très responsables, avec beaucoup d’humilité, mais de
responsabilité. Il nous dit de façon très claire qu’il n’en veut pas à
l’ensemble de la police, il n’en veut pas à l’institution policière et qu’il
fait confiance en la justice, ces paroles de ce jeune homme nous devons être
capables de les faire nôtres et de les respecter.
> Soutenir les policiers, soutenir l’institution que représentent l’ensemble de ces femmes et hommes qui nous protègent au quotidien, qui servent notre Nation au quotidien, je ne vois pas en quoi cela est un sujet, en revanche pouvoir aussi dire quand il y a des soupçons d’actes violents qui sont commis, d’actes répréhensibles qui sont commis, il n’y a pas de sujet sur ces deux pendants-là.
> Il y a quelque chose à ne pas oublier, c’est que, encore une fois, on peut venir pointer du doigt, regarder, juger et sanctionner, au regard des lois qui sont les nôtres, au regard de l’indépendance de la justice, les actes d’un homme, d’un policier, mais en aucun cas, en aucun cas, parce qu’un policier serait reconnu coupable d’actes répréhensibles, alors cela servirait de prétexte à pointer du doigt l’entièreté d’une institution qui est la police, et donc c’est ça que nous devons aujourd’hui pouvoir regarder, sans totem, ni tabou, tout doit pouvoir être regardé, mais avec des lignes rouges, celles de ne pas remettre en cause une institution qui, je le rappelle encore, est là pour nous protéger au quotidien et assurer notre liberté.
> On entend beaucoup de choses sur la police, les policiers, l'institution, il est question d'un homme, qui effectivement a un uniforme, mais d’un homme, et pas de l'entièreté de la police, et encore une fois, je tiens à le répéter, écoutons Hedi, lui-même le dit. Je pense qu’aujourd'hui nous devons aussi être capables d'avancer de façon sereine, déterminée et certaine, en faisant confiance à notre justice.
> Je pense qu’on doit aussi pouvoir entendre la parole de nos forces de l'ordre, encore une fois ce sont des femmes et des hommes qui au quotidien risquent leur vie pour protéger la nôtre, et les années qui viennent de passer, les mois qui viennent de passer, les semaines que nous avons vécues, montrent qu'ils n'ont jamais démérité et qu’ils se sont toujours tenus debout pour nous protéger au quotidien, que ce soit les hommes et les femmes de notre pays, mais également nos institutions et les bâtiments publics, on se souvient de ces nuits d'émeutes, mais également de la période précédente. Donc, encore une fois, entendons la voix des uns et des autres, respectons le cadre dans lequel nous sommes, et ne tombons pas trop vite dans la précipitation de l'émotion, tout doit pouvoir être regardé, des textes peuvent arriver à l'Assemblée, des discussions peuvent avoir lieu avec le Gouvernement, entendons tout cela en respectant les lignes rouges qui sont les nôtres dans un Etat démocratique.
> [Emeutes] Ont été saccagés des magasins, ont été menacés des élus ? oui. Est-ce qu’être responsable de ce genre d’actes c’est respecter les valeurs de notre pays ? Non. Donc, encore une fois, oui, nous avons un sujet d'intégration, mais qui n'est pas liée à qui nous sommes, mais à ce que nous faisons. Et attention, c'est pour ça que je le dis encore une fois, parler d'intégration ce n'est pas en permanence pointer du doigt l'immigration, les personnes qui ne sont pas depuis cinq, six générations, françaises, et cet amalgame-là il faut arrêter de le faire.
> Nous ne sommes pas là pour juger les gens au regard de qui ils sont, mais de ce qu’ils font, et oui aujourd'hui nous avons une jeunesse, pas toute la jeunesse, mais une partie de la jeunesse, infime, mais qu'il faut quand même pouvoir regarder, qui ne respectent pas les valeurs de notre République, qui peut-être ne comprennent pas les valeurs de notre République, et ça n'a rien à voir avec d'où viennent leurs parents, où sont nés leurs arrière-grands-parents, et ça nous devons pouvoir le regarder de façon très sereine.
> Le Service
national universel, le SNU, c'est une promesse de campagne d'Emmanuel MACRON et
c'est bien plus que ça effectivement. C'est avant tout et surtout une promesse
d'engagement pour une nation pour apprendre à faire nation. Parce
qu'aujourd'hui, c'est effectivement bien de rappeler les valeurs qui sont les
nôtres en tant que pays, mais plus que de les apprendre dans les livres, nous
devons aussi les faire vivre au quotidien. Et le SNU est un des outils qui
permet de le faire. Pour rappeler ce qui fait aujourd'hui que nous faisons
collectif avec une histoire qui est la nôtre et un destin commun sur un certain
nombre de choses : l'urgence climatique, sur l'importance de la culture et du
sport mais aussi sur l'importance de nos valeurs républicaines. (…)
Devenir obligatoire, je fais quand même
attention. Je pense qu'il faut déjà le généraliser en ayant une progressivité
qui répond aussi aux attentes de nos jeunes et de leurs familles. Il n'y aurait
rien de pire que de forcer un jeune à aller faire le Service national
universel. Ça serait, je pense, même contre-productif. Donc la montée en
puissance se fait depuis 2019 ; 2000 jeunes en 2019, en 2020, il n’y a eu que
des séjours en Nouvelle-Calédonie ; en 2021, 15.000 ; en 2022, 32.000 jeunes et
cette année 40.000 jeunes. Donc on voit une progression et une montée en
puissance. (…)
Je ne suis pas en train de donner un
calendrier en vous disant : 2024, 600.000 jeunes vont faire le Service national
universel. Il faut pouvoir le faire en cohérence. On parle de jeunesse et
d'engagement donc mettons en place tous les moyens pour que ce soit quelque
chose de volontaire et de voulu. Donc il y a effectivement le Service national
universel, hors temps scolaire, et il y a aussi (et ça a été initié par ma
prédécesseur) lycées et classes engagées. C'est-à-dire qu'on permet de mettre à
la disposition des enseignants qui le souhaitent (donc sur la base du
volontariat) un plan d'engagement tout au long de l'année sur le principe d'un
projet pédagogique annuel.
> [SNU obligatoire] Ça doit l’être. Ça doit devenir un passage obligé, ça doit devenir un
passage républicain de façon très simple pour l'ensemble d'une génération. Mais
encore une fois, si vous attendez de moi de vous dire «à partir de telle date, il sera obligatoire», ça ne fonctionne pas comme ça. Ça ne peut pas
fonctionner comme ça. Donc nous allons continuer la montée en puissance de plus
en plus forte et d'ailleurs, elle l’est depuis le début, depuis 2019. Mais je
ne pense pas que l’enjeu soit de dire " à partir de telle date, tous les
jeunes le font. (…)
La généralisation tarde? Je viens de rappeler
les chiffres. Depuis 2019, 2000 jeunes en 2019; en 2021, 15.000 ; l'année
d'après, 32.000 ; cette année, 40.000. C'est quand même un dispositif qui monte
en puissance, mais attention, ce n’est pas simplement une affaire de chiffres !
C’est une affaire de jeunesse, de jeunes, qui doivent s’engager et donc moi, je
pourrais vous dire " mon objectif, c’est X nombre de jeunes ". Non,
mon objectif, c’est que tous les jeunes s’y engagent, puissent en ressortir en
étant motivés, le sourire aux lèvres et en comprenant ce que c’est que de faire
collectif et de jouer collectif et pour le moment, c’est à 100% de réalisation.
> Aujourd'hui que font les Insoumis de façon honnête claire et transparente, que font les Insoumis ? J’ai été parlementaire pendant un an donc je les ai côtoyés dans l'exercice politique qui est la leur pendant plus d’un an, ils passent leur temps à faire tout et leur contraire. Ils nous disent en permanence qu'ils veulent un débat, du débat et que font-ils à l'Assemblée nationale qui est quand même l'institution par excellence du débat démocratique ? Ils refusent ce débat, allant jusqu’à l’obstruer et s’en targuer fièrement dans les micros. Je continue : ils nous disent en permanence qu'ils veulent passer de statut de militants à ceux qui font la loi pour ensuite nous dire dans l'hémicycle qu'il faut enfreindre cette même loi et ensuite, ils nous disent qu'il faut écouter la voix de chaque homme et chaque femme en France, très bien je suis d'accord – vous avez vu, je suis d'accord aussi avec les Insoumis ! - mais finalement ils n'entendent qu'une seule voix, ils ne respectent qu'une seule voix c'est celle d'un homme qui n'est plus élu. Donc un moment moi, je veux bien mais quand Mathilde Panot peut-être cherche son invitation, elle veut tout le temps des invitations, pourquoi ? Non pas pour y aller mais pour la déchirer, elle le fait en permanence. A chaque fois qu'il y a eu des moments où l'ensemble des représentants politiques étaient invités que soit Matignon à l'Elysée, elle venait pour claquer la porte, je veux dire à moment, prenons tous nos responsabilités !
Sarah El Hairy
(secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité)
> La planète va mal et l'homme en est responsable
en grande partie.
► Partis politiques
● Renaissance
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes
et se considèrent de droite ou de gauche ne sont pas retranscrits]
Sylvain Maillard (président du groupe à l’Assemblée
nationale)
> L'antisémitisme est un délit puni d'un an
d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende. Les députeéRenaissance
s'associent à la saisine du Procureur de la
République faite par Gérald Darmanin et saluent sa volonté de dissoudre Civitas.
Maud Bregeon (députée)
> [La France redevient premier exportateur
d'électricité en Europe] Et grâce à quoi? Au nucléaire…
Deborah Abisror-de Lieme (députée)
> Quand la honte n’a pas de limite, monsieur Mélenchon.Pas un mot contre les actes antisémites ces dernières années, vous invitez Corbyn et vous osez récupérer cette décision courageuse de Gérald Darmanin [porter plainte contre Civitas et étudier sa dissolution pour propos antisémites] qui lui, comme notre majorité, combat sincèrement l’antisémitisme au quotidien.
● MoDem
Richard Rammos (député)
> La stabilisation des prix de l’alimentation est une parenthèse.
Les études montrent que le riz, dans les mois qui viennent, pourrait augmenter
(...) Il va falloir faire très attention. Ceux qui ont le moins d’argent en
France, à quelques euros près, n’arrivent plus à faire leurs courses. On a une
stabilisation mais c'est momentané.
> Je suis pour qu'on donne aux plus pauvres les moyens de manger correctement. Cela aura un coût et il faut qu'on l'assume. Je pense au pain, aux pâtes, au riz, au jambon blanc. Il faut inventer, comme à l’après-guerre, une sécurité sociale de l’alimentation.
> Il faut protéger les pauvres. Quand on achète les produits aux prix les plus bas, il y a plus de sel, de sucre, de gras. On a donc des prix qui montent et des gens qui vont vers des produits dangereux pour leur santé.
> On en a marre de l'urgence. Il faut construire demain une alimentation qui permette de nourrir les Français. Pour aider rapidement les Français, il faut que, quand les gens travaillent, on augmente les salaires. Si on baisse les prix de l'alimentation, on aura des prix qui ne valent rien. Il faut orienter une vraie politique à 20 ans d'une alimentation saine, sûre, durable, pour les plus pauvres. Il faut faire attention sur certains industriels parce qu’il y a des gens qui se goinfrent.
Bruno Millienne
(député)
> [Civitas] La décision de dissoudre cette
officine nauséabonde est saluée par tous. Qu'elles soient de gauche ou de
droite (extrêmes), celles qui ne respectent pas les lois de la République
doivent être dissoutes.
► Autres
● Organisations
centristes
♦ Renaissance
(Députés français du groupe centriste Renew Europe au Parlement européen)
Christophe Grudler
> [La France redevient premier exportateur d'électricité en Europe] Pour faire taire les médisants. Le marché européen de l’électricité permet à la France d’exporter massivement son surplus d’électricité, d’en tirer des revenus substantiels, avec un impact positif sur les prix.
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