En accueillant ce jour le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelenski à la Maison blanche pour une visite historique, le président des Etats-Unis, Joe Biden, l’a félicité pour être «L’homme de l’année» pour le magazine Time mais surtout le héros de la liberté.
Il a ajouté que «les Ukrainiens inspirent le monde par leur courage» et que ce même monde se tenaient à leur côté face à l’agression meurtrière de Vladimir Poutine.
Ce dernier, dans le même temps, a tenu une réunion avec ses généraux au cours de laquelle il a parlé à propos de la Russie de ses droits naturels, de l'Ukraine qui en serait une partie, de la volonté des démocraties de la détruire dans une rhétorique qui n’avait rien à envier à celle utilisée par Adolph Hitler avant le début de la Deuxième guerre mondiale.
Même haine, mêmes revendications fantaisistes, mêmes affirmations mensongères qui ont abouti à la même folie meurtrière et au même massacre des populations civiles.
Zelenski, lui, est aux Etats-Unis pour remercier la première puissance mondiale et plus vieille démocratie de la planète pour son aide sans réserve mais aussi pour demander encore plus de soutien et d’armes pour permettre à l’Ukraine de faire face aux attaques incessantes de son territoire avec son lot de désolation et de morts.
Cela fait maintenant trois cents jours que le potentat du Kremlin a lancé ses sbires contre le peuple ukrainien dont il a eu l’impudence scélérate de regretter son sort alors qu’il en est entièrement le seul et unique responsable.
Il est à espérer que Zelenski obtienne encore plus d’aide des Etats-Unis mais aussi de l’Union européenne et de toutes les démocraties de la planète.
Car, ne l’oublions pas un seul instant: le combat de l’Ukraine est celui de la liberté, de la démocratie.
Sa défaite serait une tragédie pour le monde libre.
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