Retrouvez ici les derniers propos tenus pas le candidat représentant
le Centre et l’axe central, Emmanuel Macron, lors de la campagne
présidentielle.
> Un besoin de limites existe. C’est pour cela que je
parle de progrès du quotidien et non plus vraiment de progressisme. Parce que
le progressisme brandi comme étendard peut parfois apparaître comme une fuite
en avant sans borne, comme une dépossession de ce qui est. Or les sociétés
occidentales ne veulent pas de cela, être dépossédées.
> Ce que je veux faire pour les années à venir est un
projet pour les outsiders de correction des inégalités à la racine et de lutte
contre les vies empêchées.
> Je mettrai toute mon énergie à convaincre que c’est par
l’Europe que nous pourrons les défis des temps et défendre nous valeurs.
> En permettant aux enseignants et aux directeurs d'école
de bâtir un projet pédagogique adapté pour mieux répondre aux problèmes des
quartiers ruraux comme des quartiers en difficulté des villes.
> Un des enjeux de ce second tour est de mettre en
lumière la vérité du projet de la candidate d’extrême droite. Projet de
soumission à l’étranger, projet de sortie de l’Europe, projet de division des
Français, projet de régression climatique, projet qui menacerait nos retraites,
notre épargne, nos emplois.
> Une majorité de Français a fait le choix de candidats
qui portent un projet d’ouverture, d’indépendance et de progrès comme je le fais.
> [Guerre de Poutine en Ukraine] On est au début d’un
changement d’ère. On peut mourir à nouveau sur le sol européen
> Le sentiment d’humiliation ressenti en Russie après la
chute du mur de Berlin et l’éclatement de l’URSS (…) ce ressentiment s’est
ensuite métabolisé en paranoïa.
> Poutine a décidé qu’il n’arrêterait pas son offensive,
car il a besoin pour lui-même d’une victoire militaire. (…) S’il ne parle plus
à personne, alors on ne sait pas jusqu’où il peut aller. C’est mon obsession
avec lui, je lui dis à chaque fois..
> [Le «quoiqu’il en coûte»] C’était la meilleure dépense
publique possible. Cette dette est une très bonne dette.
> Il faut assumer de dire que l’on ne peut pas tout faire
! Marine Le Pen, en particulier, raconte n’importe quoi.
> Ma vie est une écriture, c’est comme cela que je la
vis.
> On a eu une pandémie historique comme nous n’en avions
pas eue depuis un siècle et maintenant la guerre en Europe. Nous avons tenu
ensemble, mais ces crises, comme toujours, nourrissent des peurs, les extrêmes
en profitent sans proposer de solutions. Donc en effet, les extrêmes n’ont pas
baissé, parce qu’elles se sont nourries de ces crises historiques.
> Je crois que j'ai un projet qui
gagne à être connu et j'ai le sentiment que, du côté de l'extrême-droite, il y
a un projet qui mérite d'être clarifié> J’ai
acquis de l’expérience, j’ai appris et puis j’ai gardé l’énergie que j’avais il
y a 5 ans.
> Je ne pense pas qu’on puisse
exercer ces fonctions et décider s’il n’y a pas un équilibre affectif.
> Je n'ai pas de regrets. J’ai
fait campagne autant que j'ai pu, et j'ai présidé autant que j'ai dû. Il y a 6
semaines, les bombes tombaient sur Kiev, il était normal que je sois très
engagé sur les questions internationales.
> Je ne me projette jamais en
faisant ces scénarios. Pour être engagé, il ne faut pas penser à ce qui se
passe « si ». Et, le jour d'après sera le jour d’après. Je serai à nouveau un
homme libre avec ses convictions.
> Quand quelque chose va mal dans
sa vie, on dit c'est celui qui dirige qui est responsable. Nos compatriotes
savent que je sais décider en temps de crise.