Hier, c’était la Journée internationale des droits de l'humain (Droits de l'homme pour les old-school).
Pour ce qui est fondamental dans notre existence, notre sécurité physique, psychologique et intellectuelle et qui doit nous permettre de développe tout notre potentiel, on se serait attendu à ce que le monde entier, en tout cas les démocraties, organisent des fêtes géantes pour célébrer la liberté, l’égalité, la dignité et tous les droits qui vont avec.
A la place nous avons eu une indifférence totale…
Bon, c’est vrai, toutes ces «journées internationales» qui ponctuent l’année sont tellement nombreuses avec souvent plusieurs par jour (sic!) qu’elles ne veulent plus dire grand-chose.
Néanmoins entre la Journée internationale de la raclette (qui aura lieu le 13 décembre…) et celle des droits de l'humain, il y a, malgré l’engouement pour le fromage fondu étalé sur des pommes de terre, une différence de degré même s’il est possible – malheureusement – qu’il y ait plus de gens qui honorent la première!
De plus, c’est 365 jours par avant (et 366 les années bissextiles) que l’on doit célébrer les droits humains et que l’on doit organiser des événements en leur honneur tout en les respectant effectivement (personne ne souffrira si nous ne mangeons pas de la raclette tous les jours!).
Alors, comme chaque année, la Journée internationale des droits de l'humain est passée et ceux-ci sont toujours inexistants pour la majorité de la population mondiale.
Mais elle a le droit de manger de la raclette.
Centristement votre.
Le Centriste
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