Une femme est différente d’un homme mais est égale à lui.
Ces 21e siècle et troisième millénaire ne peuvent plus faire l’impasse sur cette évidence.
Pourtant, elle n’est pas encore une réalité dans les pays démocratiques où elle devrait être sans discussion la normalité.
Ce qui démontre que nos sociétés dites évoluées ne parviennent pas à vivre sous les valeurs et les principes humanistes.
Privilégier la force physique au détriment du respect de la dignité humaine est bien la raison principale de l’inégalité de fait qui règne alors même que le droit est en train d’éliminer toutes les discriminations envers les femmes.
Parce que c’est bien de cela qu’il s’agit.
Si l’homme s’est placé au-dessus de la femme, c’est qu’il pouvait la contraindre physiquement et non pas intellectuellement.
Or, comment justifier que ce rapport de force soit encore si courant de nos jours.
On le voit bien dans les commentaires qui veulent expliquer, voire justifier l’usage de la force d’un homme envers une femme.
Au-delà d’une nécessaire législation pour établir de façon pérenne l’égalité entre femme et homme, c’est bien au niveau des mentalités qu’il faut, en même temps, agir.
Et là, c’est bien plus compliqué tellement des siècles de pratiques et de préjugés sont ancrés dans les comportements.
L’éducation à l’échelle de l’école est la priorité des priorités.
Mais il faut aussi que tous les actes machistes et misogynes, d’où qu’ils viennent, soient constamment dénoncés et leurs auteurs signalés.
Nous devons être conscients que la meilleure société possible ne pourra être qu’une société où règnera la réelle égalité entre les femmes et les hommes.
[Retrouvez quotidiennement ce billet rédigé par l’équipe du CREC concernant l'actualité du jour]
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