Retrouvez ici les derniers propos tenus pas le candidat représentant le Centre et l’axe central, Emmanuel Macron, lors de la campagne présidentielle.
> Le projet auquel je crois est celui d’une France forte en termes d’éducation et de santé pour les jeunes et pour nos aînés qui manquent d’autonomie. Une France qui produira davantage pour financer cette solidarité nouvelle. Cette France de l’égalité des chances, la France de la puissance et de l’indépendance économique. Mais tout ça ne pourra se faire et ne se fera que si notre France est plus forte en Europe et nous pouvons l’être grâce à nos réformes et si nous portons une vision européenne et si notre Europe est plus forte dans les années qui viennent.
> Nous allons relever les défis qui sont les nôtres. Le projet que je veux porter pour notre pays pour les cinq ans qui viennent est d’abord un projet qui consiste à aller au bout du bout de cette nécessité de rebâtir l’égalité des chances. (…) La république s’est bâti sur cette promesse de l’égalité des chances. C’est pourquoi l’ambition que je veux porter est d’abord pour l’école, pour la santé, pour le grand âge, pour la protection de l’enfance, c’est-à-dire que la nation se donne d’investir pour ne pas avoir à corriger les désagréments de la vie mais pour pouvoir donner à chacun les moyens de réussir. Ensuite, c’est de continuer un projet de mérite et de travail parce que c’est par le travail que l’on peut financer cela, par la capacité de donner à chacun une formation adaptée (…) et de produire, parce que si on ne produit pas, on ne peut pas partager. C’est ce qui nous permet aussi d’aller vers les plus fragiles et donc d’avoir un projet de solidarité encore plus ambitieux.
> Ce n'est pas chez moi qu'il faut chercher de la complaisance vis-à-vis de Vladimir Poutine, ce n'est pas chez moi qu'il faut aller chercher des financements du côté la Russie, c'est chez d'autres candidats. il ne faut pas l'oublier.
> Le dialogue que j’ai avec Vladimir Poutine, même avant la guerre, n’est pas un dialogue complaisant. L’une des premières visites que j’ai faites au printemps 2017, c’était Vladimir Poutine. Ce n’était pas une conférence de presse complaisante. Je disais très clairement à ce moment-là que Russia Today et Sputnik étaient des organes de propagande et j’avais subi des attaques de la Russie", a-t-il lancé devant un parterre de journalistes.
> [Dialogue avec Poutine] depuis le début de la guerre, à
chaque fois à la demande de Volodymyr Zelensky parce qu'il considère que c'est
utile qu'un dialogue soit maintenu. (…) Aussi longtemps que le président
ukrainien me demandera d'avoir un dialogue avec la Russie, que la France pourra
avoir ce rôle de faire avancer les négociations, à obtenir des choses sur le
plan humanitaire et à préparer la paix, je le ferai (…).
Je n'ai jamais utilisé cette situation. Aller à Kiev pour faire une visite
après tant d'autres... Si c'était une visite sans résultat ou utilité je ne le
ferais pas. Si je peux apporter quelque chose et avoir un effet utile, je le ferai
que ça soit avant ou après l'élection présidentielle.
> La réponse humanitaire à la guerre passera par l’Europe.
> Vous pouvez compter sur moi ! Vous pouvez compter sur ma détermination. Dans les jours et les semaines qui viennent, je vais aller chercher la confiance de nos compatriotes pour pouvoir agir. Pour notre pays et pour notre Europe. Je le fais parce que j'aime nos régions, nos terres, j'aime l'esprit qui souffle dans notre pays, j'aime nos colères et nos impatiences.
> Nous avions pris l'engagement au moment du Brexit de protéger les pêcheurs, on continuera.
> Je ne veux pas faire cinq ans de plus pour faire cinq ans de plus (...) J'étais là il y a cinq ans pour bousculer le système, je ne suis pas là pour garder une fonction, mais pour porter une ambition.
> Le monde a changé. Il n'est pas le même qu'il y a cinq ans. Malgré les crises, j'ai tenu les engagements que j'avais pris il y a cinq ans.
> Soyons les artisans d’une Europe réaliste, celle que nous voulons.
> Ces cinq prochaines années vont nous bousculer (...) Le dérèglement climatique, le dérèglement géopolitique (...) L'Europe va connaître sa plus grande crise migratoire depuis la Seconde Guerre mondiale.
> Les événements sont de retour et ils vont balayer les fausses promesses (...) En ce moment chaque matin, on rase gratis, j'entends qu'on veut supprimer une TVA ou une taxe.
> C'est grâce et par l'Europe que nous construirons la capacité d'acheter du gaz ailleurs qu'en Russie, c'est en Européens que nous pourrons acheter du pétrole ailleurs, c'est en Européens que nous pourrons développer une stratégie européenne climatique, une stratégie verte.
> Si je regarde les dix dernières années, elles auraient été bien plus dures si nous n'avions pas eu la monnaie commune.
> Les projets qui veulent la sortie de l'Europe et de Schengen sont mortifères.
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