Voici une sélection, ce 27 mars 2022, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.
► Emmanuel Macron (Président de la
République)
> Forte pression sur le régime russe à travers
des sanctions sans précédent, soutien sans faille à l'Ukraine sur tous les
plans, maintien des canaux de dialogue : en Européens, nous avons réaffirmé
notre réponse face à la guerre de la Russie en Ukraine.
> Cette guerre de la Russie en Ukraine, en empêchant les récoltes et les semences de céréales, entraîne déjà de sérieux problèmes d'approvisionnement. Pour prévenir ce qui menace de devenir une crise alimentaire, nous lançons l'initiative Food and Agriculture Resilience Mission.
> Assurer notre approvisionnement et maîtriser les prix de l’énergie, voilà nos objectifs à court terme.
► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous
retranscrivons cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce
qu’ils font partie selon nos critères d’une équipe qui suit une politique
globalement centriste]
Jean-Yves Le Drian
(ministre de l'Europe et des Affaires étrangères)
> [Déclaration des ministres des Affaires étrangères du G7 sur le tir
d’un missile balistique intercontinental par la Corée du Nord]
Nous, les ministres des affaires étrangères de l’Allemagne, du Canada, des
États-Unis d’Amérique, de la France, de l’Italie, du Japon et du Royaume-Uni
(G7), ainsi que le Haut Représentant de l’Union européenne, condamnons
fermement la poursuite des essais de missiles balistiques par la République
populaire démocratique de Corée (RPDC), y compris le tir d’un missile
balistique intercontinental (ICBM) le 24 mars 2022.
Depuis le début de l’année 2022, la RPDC a effectué une série sans précédent de
tests de missiles qui s’appuient sur les tests de missiles balistiques
effectués en 2021, y compris des tirs de nouveaux missiles dits hypersoniques,
et a revendiqué un test de missile balistique lancé depuis un sous-marin. Ces
essais démontrent les efforts continus de la RPDC pour étendre et développer
plus avant ses capacités dans le domaine des missiles balistiques. Nous
regrettons profondément que la RPDC, à travers ses tirs les plus récents, ait
également abandonné son moratoire autoproclamé sur les lancements
d’ICBM. Nous condamnons fermement ces actes qui constituent une violation
flagrante des obligations de la RPDC en vertu de nombreuses résolutions du
Conseil de sécurité de l’ONU, notamment la résolution 2397 (2017). Ces actions
inconsidérées menacent la paix et la sécurité régionales et internationales,
posent un risque dangereux et imprévisible pour l’aviation civile
internationale et la navigation maritime dans la région et exigent une réponse
unie de la communauté internationale, y compris à travers de nouvelles mesures qui
pourraient être prises par le Conseil de sécurité des Nations Unies.
Nous demandons instamment à la RPDC de se conformer pleinement à toutes les
obligations juridiques découlant des résolutions pertinentes du Conseil de
sécurité. Nous demandons à la RPDC d’accepter les offres répétées de dialogue
présentées par toutes les parties concernées, y compris les États-Unis, la
République de Corée et le Japon. Nous, les ministres des Affaires étrangères du
G7 et le Haut Représentant de l’Union européenne, appelons également la RPDC à
abandonner ses programmes d’armes de destruction massive et de missiles
balistiques de manière complète, vérifiable et irréversible.
Il est clair que la situation humanitaire désastreuse en RPDC est le résultat
du détournement des ressources de la RPDC vers des programmes d’armes de
destruction massive et de missiles balistiques plutôt que vers le bien-être de
son peuple.
Nous appelons tous les États à mettre en œuvre pleinement et efficacement
l’intégralité des mesures restrictives relatives à la RPDC imposées par le
Conseil de sécurité des Nations unies et à traiter le risque de prolifération
d’armes de destruction massive en provenance de la RPDC comme une priorité
urgente. Nous prenons note avec préoccupation du rapport du groupe d’experts
créé en application de la résolution 1874(2009), selon lequel des transferts
illicites de navire à navire continuent d’avoir lieu. Nous restons prêts à
apporter notre aide et à renforcer les capacités pour une mise en œuvre
efficace des sanctions. Dans le contexte de la pandémie de Covid-19, nous
saluons le travail du Comité 1718, qui a rapidement approuvé toutes les
demandes d’exemption de sanctions liées à la Covid-19 pour l’aide humanitaire à
la RPDC.
Le G7 est déterminé à travailler avec tous les partenaires concernés pour
atteindre l’objectif de la paix dans la péninsule coréenne et faire respecter
l’ordre international fondé sur des règles.
Elisabeth Borne
(ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion)
> [Retraites] Il
faut tenir compte des différences entre les métiers, adapter les règles de
départ à la retraite et prévenir l’usure professionnelle. Ce n’est pas pareil
de travailler dans un bureau ou d’être carreleur. Une concertation sera menée
en ce sens.
> Création de la solidarité à la source pour lutter contre le non recours aux aides sociales, accompagnement vers l’emploi des bénéficiaires du RSA… le progrès et la justice sociale sont au cœur du projet d’Emmanuel Macron.
Olivier Véran
(ministre des Solidarités et de la Santé)
> La solidarité à la source permettra d'éradiquer
le non recours aux prestations sociales (1 bénéficiaire sur 3 du RSA ne le
perçoit pas!), de simplifier, d'automatiser, tout en luttant plus efficacement
contre les fraudes.
> Le savez-vous ? Il existe désormais un traitement efficace contre la covid19. Il réduit de 85% le risque d'hospitalisation et de décès. Si vous êtes âgé de plus de 65 ans ou malade et que vous venez de contracter la Covid19, avec des symptômes, n'hésitez pas à en parler à votre médecin.
Julien Denormandie
(ministre de l'Agriculture et de l'alimentation)
> Jamais, on ne doit s’habituer aux extrêmes en
politique. Toujours, on les combat.
> Croire en l’Europe, croire en la solidarité internationale, se battre pour cela est absolument important.
> La France est un pays indépendant dans son alimentation, c’est la puissance de notre modèle agricole.
> On est aux côtés de nos agriculteurs (...) si on n'a pas d'agriculteurs, on n'a pas d'agriculture.
> Il y a un risque de crise alimentaire majeur à l'international.
Amélie de Montchalin
(ministre de la Transformation et de la fonction publique)
> Emmanuel Macron est
un homme libre. Il est libre des visions partisanes et des synthèses
politiciennes. Il est le seul à pouvoir incarner le dépassement politique
nécessaire à notre pays.
> Le projet d’Emmanuel Macron repose sur deux jambes. L’unité : il veut rester le Président de tous les Français, pas celui d’un « peuple de gauche » ou « de droite ». L’ambition, parce qu’il veut continuer à bouleverser les conservatismes à leur service.
> Marine Le Pen n’a pas changé depuis 2017, elle a juste changé de masque. C’est une arnaque politique qui tente de duper les Français sur sa vraie nature. Elle ne protégera pas leur pouvoir d’achat, parce qu’elle est dangereuse et incompétente.
> [Fonction publique] Aujourd'hui on a un système par catégories, A, B et C, qui crée un plafond de verre, avec des gens qui n'ont plus de perspectives salariales. Ce système ne peut être ni attractif, ni engageant, ni mobilisant, on veut le changer.
> Il faut en permanence se demander comment faire le lien entre le projet qu'on porte et ce que vivent les Français dans chacun de leurs territoires.
> Le but, c'est que le RSA ne soit pas une trappe, une impasse. Nous voulons que chacun puisse trouver sa place dans un monde où la première valeur qu'on met en avant, c'est le travail.
> Le candidat Macron propose un projet qui tient sur deux jambes : la première, c'est l'unité. Il veut continuer d'être le président de tous les Français. La deuxième, c'est l'ambition : nous cherchons à transformer en profondeur.
> Même si demain les hostilités s'arrêtaient, les conséquences de ce qu'il s'est passé depuis un mois sont majeures et déterminantes pour des années. C'est le débat public dans son ensemble qui aurait été différent.
> Comme tous les autres candidats, Emmanuel Macron a présenté un projet, il a mis dans le débat un certain nombre d'idées, il a fait du pouvoir d'achat la clé de son projet.
> Le moment le plus marquant de la campagne est le début de la guerre en Ukraine, qui par sa gravité écrase tout (...), qui rappelle que le président de la République en France est d'abord le chef des armées.”
Franck Riester
(ministre chargé du commerce extérieur et de l'attractivité)
> [Zemmour] Comment prétendre diriger la France
quand on n’est pas capable d’arrêter ses propres partisans qui insultent
ignominieusement le chef de l’Etat ? N’est pas homme d’Etat qui veut.
> La France, l’Europe et l’Afrique ont un destin en commun, et Emmanuel Macron porte cet avenir.
Emmanuelle Wargon
(ministre chargée du Logement)
> Pour le RSA, le projet tient en deux morceaux :
d'un côté un versement automatique, c'est la solidarité à la source, de
l'autre, un vrai accompagnement.
> On évalue à environ 30 000 le nombre de personnes en provenance d’Ukraine. Notre objectif est d’être en capacité d’en accueillir environ 100 000 le plus vite possible.
Olivier Dussopt
(ministre chargé des Comptes publics)
> A la suite de la remise du rapport IGF/IGAS sur
le fonctionnement du groupe Orpéa, nous saisissons la Justice et demandons le
remboursement des dotations publiques mal utilisées.
Brigitte Bourguignon
(ministre chargée de l'Autonomie)
> Au regard de dysfonctionnements graves
constatés par l’IGAS et l’IGF au sein du groupe Orpéa, sur le plan humain et
organisationnel, l’État va déposer plainte dans les plus brefs délais.
Non seulement nous portons plainte contre le groupe Orpéa, mais nous allons
aussi exiger la restitution de chaque centime des dotations publiques qui
n'auraient pas été utilisées en direction des résidents.
> En vertu de
l’article 40 du code de procédure pénale, toute autorité est tenue de
signaler des faits délictueux dont elle aurait connaissance. Dans leurs
conclusions, les membres des Inspections générales des finances (IGF) et des
affaires sociales [qui ont mené conjointement la mission déclenchée contre
Orpea après la parution du livre de Victor Castanet mettant ce groupe en cause]
recommandent de saisir la justice notamment pour des irrégularités présumées
sur l’utilisation des financements publics. Il existe de fortes présomptions de
détournement à d’autres fins de certaines dotations publiques destinées à
financer des soins ou le paiement des personnels. Et d’irrégularité de certaines
remises accordées par des fournisseurs sur des achats effectués avec des
crédits publics. C’est pourquoi nous réclamons la restitution des sommes
concernées. Les inspecteurs dénoncent par ailleurs de graves dysfonctionnements
portant sur l’organisation du travail, avec un manque de personnels formés,
mais aussi des fragilités dans l’accompagnement des résidents et des carences
dans leur alimentation.
> Nous avons lancé une vague de contrôles sans précédent qui concernera les
7 500 Ehpad dans les deux prochaines années. Actuellement,
150 établissements d’Orpea sont inspectés par des fonctionnaires des ARS
et des conseils départementaux. L’idée est d’empêcher que, par le biais de
manipulations comptables, des deniers publics puissent être employés à enrichir
des groupes privés et ne servent pas à assurer la prise en charge des
résidents. Il y avait jusqu’à ces derniers mois une boîte noire, peu
contrôlable et contrôlée, sur la partie hébergement.
(…) Nous avons annoncé le 8 mars le renforcement des obligations des
groupes privés lucratifs en matière de transparence comptable et financière. Nous
allons améliorer le suivi des signalements et engager tous les établissements
dans une démarche « qualité » associant les résidents.
> Toutes les mesures prises début mars (multiplication
des contrôles, mise en place d’indicateurs clés, etc.) et même avant, à l’automne
lors du vote du budget de la Sécurité sociale, vont contribuer à améliorer la
qualité de vie des résidents. Je pense notamment à l’ouverture de
20 000 postes de soignants. Un des problèmes des Ehpad est qu’ils ne
ressemblent pas aux maisons de retraite d’antan, qui accueillaient beaucoup de
personnes en bonne santé. Aujourd’hui, les résidents y entrent plus tard,
souvent en perte d’autonomie. Il faut aller plus loin vers la médicalisation.
> On n’a pas fait une loi mais plusieurs au cours des deux dernières
années ! Nous avons créé et financé une cinquième branche de la Sécurité
sociale. Nous avons investi 2,1 milliards d’euros pour rénover 25 %
des places d’Ehpad, augmenté les salaires des professionnels dans le cadre du
Ségur de la santé. Nous avons aussi revalorisé les aides à domicile, mis
l’accent sur la prévention de la dépendance et engagé le virage du
« vieillir à domicile ». Le « tout-Ehpad » ne peut pas être
une solution car la majorité des Français veulent vivre chez eux ou dans des
formes alternatives de logement. Certes, tout n’a pas été fait, après vingt ans
de sous-investissement. Le plus grand scandale est que le grand âge n’ait
longtemps intéressé personne.
Sarah El Hairy
(secrétaire d’Etat chargée de la Jeunesse et de l’Engagement)
> A partir ce vendredi 1er avril, une remise
carburant de 15cts par litre sera mise en place. Une réponse immédiate face à
une situation d'urgence. En Italie, ce n'est pas 4% en plus de facture
d’électricité que nous devrions payer mais 130% !
Mais pour répondre à plus long terme, le mix énergétique :
- On continue les réductions de consommation d’énergie, en rénovant, en changeant nos
pratiques
- Le nucléaire, avec
de nvx réacteurs
- Le renouvelable avec le solaire et l’éolien en mer!
> Nous avons engagé près de 20Mds
d’€ :
- Tarifs du gaz & de l'électricité bloqués
- Chèque énergie et indemnité inflation versés à 38M de personnes
- Revalorisation de l'indemnité kilométrique.
Pour protéger les ménages et les entreprises.
► Assemblée nationale
Richard Ferrand (président)
> [Meeting de Zemmour au Trocadéro où la foule
scande «Macron, assassin !»] Les slogans de mort font écho au râle politique de
celui qui a « le suicide français » pour obsession et la haine pour
seul viatique. Le fantasme du « grand remplacement » s’évanouira par
éviction démocratique le 10 avril prochain.Les Français choisiront l’espoir pas
le délire.
► Partis politiques
● LaREM
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes
et se considèrent de droite ou de gauche ne sont pas retranscrits]
Christophe Castaner
(président du groupe à l’Assemblée nationale)
> Partout en France, nous faisons campagne.
J'entends les retours positifs : mais cela ne garantit en rien le résultat de
ce premier tour. C'est pour cela que nous continuons de mobiliser pour porter
notre projet, quand d'autres sont dans la seule critique.
> La « cape de banalité » portée par Marine Le Pen ne doit tromper personne. Dans son discours, elle dit à chacun ce qu’il veut entendre. Dans la réalité, elle reste une candidate d’extrême-droite, que je ne cesserai jamais de combattre.
> Zemmour prétend faire l’union des droites. La réalité, c’est qu’il n’est pas de la droite républicaine, qui n’aurait jamais laissé scander des insultes, et ne se serait pas tue en entendant ces slogans honteux. C’était indigne, intolérable, mais pas étonnant de sa part.
> Protéger notre système de retraite et le rendre plus juste : voilà le sens de notre action. C'est ce qu'Emmanuel Macron portera dans les 5 années à venir !
> Pour l’avenir de la France, pour notre avenir, deux chantiers sont essentiels : l’école, et la santé.
> A l’extrême droite comme à l’extrême gauche, de Mélenchon à Le Pen, la propension à systématiquement être aveuglé quand on parle de la Russie est… impressionnante. Ni crédible, ni sérieux.
Aurore Bergé (présidente déléguée du groupe à l’Assemblée nationale)
> [Propos de l’écologiste Sandrine Rousseau] Le
combat pour l'égalité entre les femmes et les hommes, l'éradication de toutes
les formes de violence sont des causes trop importantes pour être laissées à
ceux qui les détournent ou les tournent en ridicule à coup de délit de non
répartition des tâches ménagères.
Pieyre-Alexandre Anglade
(porte-parole du groupe à l’Assemblée nationale)
> Dans cette élection, rien n’est écrit, rien
n’est joué. C’est pour cela que nous menons campagne partout sur le terrain. Il
nous faut convaincre, convaincre et convaincre encore. Convaincre que notre
projet est le meilleur pour la France et les Français.
> « Battre Emmanuel Macron» comme le répètent les oppositions, n’est pas un projet pour le pays. Nous, nous voulons continuer à renforcer la France et améliorer la vie des Françaises et des Français.
> Aller vers le plein emploi dans le prochain quinquennat. Voilà l’objectif que nous pouvons atteindre tous ensemble avec Emmanuel Macron en continuant de mener les bonnes réformes pour le pays.
> Marine Le Pen mène sa campagne en mode camouflage. Elle ne dit plus rien sur le fond et gomme tout ce qui pourrait faire désordre. Mais elle n’a pas changé, elle porte toujours le même projet de division et de régression.
> La plus grande des solidarités, c’est de tout faire pour permettre à ceux qui sont les plus éloignés de l’emploi de retrouver du travail. C’est ce que nous voulons faire avec la réforme du RSA. Accompagner chacun sur le chemin du retour à l’emploi.
> Avec Emmanuel Macron nous portons des propositions qui peuvent changer la vie de millions de Français. De la solidarité à la source, au droit de garde opposable, en passant par la retraite minimale nous créerons de nouvelles solidarités.
> Les Français comprennent très bien que dans ce temps de crise, de retour de la guerre en Europe le rôle du Président de la République c’est d’agir pour les protéger. Cela ne nous empêche pas de mener campagne à ses côtés avec la plus grande détermination.
> Le seul candidat sérieux qui créé le débat avec ses propositions dans cette élection c’est Emmanuel Macron. La meilleure réponse à ceux qui disent que nous ne ferions pas campagne, c’est la densité et l’ambition du projet présenté aux Français.
> En France, le chômage n’a pas été aussi bas depuis 15 ans, et même depuis 40 ans pour le chômage des jeunes. Nous voulons et nous pouvons atteindre le plein-emploi dans le quinquennat à venir. Avec Macron 2022, le plein-emploi, c’est possible.
● MoDem
Jean-Noël Barrot (secrétaire général)
> Grâce à l'impôt minimum sur les
sociétés, toutes les entreprises agissant en France payeront désormais des
impôts en France.
> Les deux réformes les plus importantes pour notre avenir : celle pour rebâtir notre école et celle pour refonder notre système de santé.
► Autres
● Organisations
centristes
♦ Renaissance
(Députés français du groupe centriste Renew Europe au Parlement européen)
Stéphane Séjourné (président du groupe
Renew Europe au Parlement européen)
> Le mois d’avril est marqué par 3 grandes
élections qui vont déterminer en partie l’avenir de l’Union européenne : le 3 avril en Hongrie, le 24
en France et en Slovaquie ;
> Des centaines de milliers d’Ukrainiens cherchent refuge en Hongrie. J’ai vu sur le terrain combien les autorités locales sont laissées sans soutien du gouvernement Orban.
Nathalie Loiseau
> [Meeting de Zemmour au Trocadéro où la foule
scande «Macron, assassin !»] Éric Zemmour vient de se disqualifier
définitivement : incapable de contester un slogan absurde et scandaleux, il
montre qu’il attise la haine sans même savoir maîtriser les instincts de ses
partisans. Irresponsable et dangereux.
> Depuis plusieurs jours, les troupes azéries violent ouvertement le cessez-le-feu au Haut-Karabakh. La Russie, obsédée par l’Ukraine, va-t-elle laisser faire ?
> C’est vrai que des maternités bombardées, ça n’émeut ni Vladimir Poutine, ni Éric Zemmour. L’intérêt des Français, c’est de ne pas conduire au pouvoir celui qui rêve d’un « Poutine français » et d’une alliance avec la Russie. On n’oublie rien du pas de deux de Zemmour avec la Russie.
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