Retrouvez ici les derniers propos tenus pas le candidat représentant le Centre et l’axe central, Emmanuel Macron, lors de la campagne présidentielle.
> [Réaction aux «Macron assassin» scandés par une partie de la foule lors du meeting d'Eric Zemmour du Trocadéro] Il y a deux hypothèses. La première, c'est l'indignité, c'est plutôt celle qui me semble la plus crédible. La deuxième, c'est la méconnaissance d'une réforme très importante du quinquennat, c'est le 100% santé. Maintenant, les prothèses auditives sont remboursées par la Sécurité sociale (...) J'invite le candidat malentendant à s'équiper à moindre frais.
> On doit libérer les choses et les simplifier pour
permettre d’investir dans ce qui marche et on doit protéger les plus faibles. C’est
ça dont notre pays a besoin. Quand on marche, il faut deux jambes : une à
gauche, une à droite. Il faut en mettre une après l'autre pour pouvoir avancer.
Tantôt, certaines mesures ont une couleur de droite, tantôt une couleur de
gauche.
Ces cinq dernières années l'ont montré, on a fait des réformes que des gens
venant de la droite n'avaient jamais voulues ou pues ou sues faire. Elles nous
ont permis de financer des politiques sociales que les gens de gauche n'avaient
jamais faites. C'est la cohérence d'un projet : libérer les énergies,
simplifier la vie, permettre d’entreprendre, de créer de la richesse et de
produire davantage pour pouvoir réinvestir dans nos politiques sociales et
aller aider les plus faibles avec une priorité qui est plutôt de corriger les
inégalités à la racine et ensuite d’aider à chaque moment important de la vie. C’est
pourquoi l’école et la santé sont les deux piliers de cette politique.
Donc il faut continuer de simplifier, de se désengager de cette bureaucratie,
de la complexité mais en même temps garder ce qui est la force de la France, c’est-à-dire
une école gratuite obligatoire et laïque, qui est importante, c’est la
république; un système de santé dont l’accès est gratuit en luttant contre les
désert médicaux ; une politique sociale que je veux pour nos enfants pour
les protéger ; notre système de retraite par répartition qu’il faut
réformer pour le consolider ; un système qui accompagne les plus
précaires, c’est le RSA avec des droits et des devoirs ; une branche
autonomie que nous venons de créer.
Mais on modernise tout ça, on le rend à la fois plus efficace parce qu’on veut
le garder juste.
> Libérer/protéger reste valable. Je reste sur la même philosophie.
> Je suis heureux d’être là pour parler d’un sujet très
important, une des clés des prochaines années pour notre pays : l’école.
On a fait beaucoup ces 5 dernières années. Je souhaite aller plus loin. Je
voulais ici parler du lycée professionnel. On l’oublie souvent dans les débats
politiques mais il joue un rôle très important. C’est 30 % de nos lycéens.
Cette visite conforte plusieurs propositions qui sont au cœur du projet que je
porte. Continuer à investir sur l’orientation au collège. Dès la 5e, on doit
mieux accompagner les jeunes et les familles pour qu’ils puissent choisir. On
doit permettre aux élus locaux, aux entreprises… de venir au collège pour
expliquer les métiers. Et surtout les métiers pour lesquels il y a des besoins.
Il faudra ouvrir des filières où on a besoin. Et savoir en fermer là où on n’a
pas de besoins. Il faudra faire cette réforme avec les professeurs.
Les stages que font nos lycéens aujourd’hui ne sont pas rémunérés. Ce n’est pas
normal. Je veux augmenter la période en entreprise et rémunérer ces stages. Il
faudra moduler cette rémunération selon l’âge.
> [RSA] Mon objectif, c’est de mettre le paquet sur l’accompagnement et l’insertion économique. Aujourd’hui on vous donne un chèque mais on ne vous accompagne pas pour trouver un emploi. (…) Il faut investir dans l’humain. (…) Je n’ai jamais pensé que faire un chèque à quelqu’un dans la détresse c’était régler son problème.
> Ce qu’il s’est passé pendant la crise sanitaire où parfois ceux qui avaient le plus de moyen ont pu faire le confinement dans leur résidence secondaire. Où ceux qui ont des métiers protégés ont pu faire du télétravail, c’est qu’il y a des endroits où l’on a plus sollicité les gens que d’autres. Les quartiers en font partie. C’est une manière de voir que dans nos quartiers on a une énergie, un savoir-faire, une volonté de faire, qui fait qu’il ne faut pas y voir un problème comme beaucoup le disent mais la capacité à trouver des solutions si on y met les moyens. Si on sait sur le logement, l’éducation, la santé, le travail, l’activité économique, les opportunités réussir à dire on doit se donner les mêmes ambitions que pour le reste du pays et parfois mettre des moyens un peu différents
> Il y a l'extrême droite aujourd'hui, qui est toujours là et qui, face à nous, est toujours portée par un clan et veut la division.
> L'extrême droite a ses alliés utiles qui les aident à rassembler. Mais enfin, j'ai bien compris qu'ils allaient après nous expliquer la cohérence de leur tandem parce que ça finira en tandem cette affaire. On sait bien comment ça se passe.
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