Voici une sélection, ce 24 juin 2021, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.
► Emmanuel Macron
(Président de la République)
- Pour réussir notre projet de progrès, il nous faut
changer les choses en profondeur. Nous le ferons avec le plan de relance. Nous
le ferons ensemble.
- Retrouver une vie normale, cela ne doit pas signifier retrouver la vie d'avant. Car elle nous a conduit aux crises que nous traversons. La pandémie, les inégalités de destin, les conséquences de nos actions sur le climat et la biodiversité. C'est à nous d'écrire le jour d'après.
- France relance, ce sont 100 milliards d'euros mobilisés pour nos territoires. Derrière ce chiffre qui peut paraître abstrait, il y a du concret : des emplois créés, des entreprises soutenues, des transformations vertes engagées.
- Avec le plan France relance, nous allons pouvoir déployer une politique ambitieuse en matière d'écologie, de compétitivité, de cohésion sociale et territoriale.
- La réponse à la crise ne pouvait être qu'européenne. Dès le début, nous avons pris l’initiative avec l'Allemagne de mobiliser l'Union européenne. Nous nous sommes tous mis d'accord. Un plan de relance européen commun a été adopté en juillet 2020.
- La Commission européenne vient de le confirmer : 40 milliards d'euros, c'est la contribution européenne au plan de relance de la France. C'est l'Europe du concret ! C'est l'Europe qui avance !
- Le respect et la tolérance sont au cœur du projet européen. Nous devons continuer à lutter contre les discriminations envers la communauté LGBTI, en réaffirmant notre défense de leurs droits fondamentaux.
► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous
retranscrivons cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce
qu’ils font partie selon nos critères d’une équipe qui suit une politique
globalement centriste]
Jean Castex (Premier
ministre)
- [Covid19] La vaccination est la planche de salut
indispensable : il faut se faire vacciner
- [Covid19] L'épidémie est toujours là et évolue. Une préoccupation est liée à la progression inexorable du variant indien, dit Delta, extrêmement contagieux, et nous devons être mobilisés.
- [Covid19] Nous sommes incontestablement dans une dynamique forte d’amélioration de l’ensemble des indicateurs : sur le champ de l’épidémie et sur le champ de l’hospitalier encore plus vite que nous aurions pu l’escompter.
Barbara Pompili
(ministre de la Transition écologique)
- Pour éviter le pire, le GIEC [Groupe
d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat]
appelle à « redéfinir notre mode de vie et de consommation ».
Transports, logements, économie, agriculture : la France et l’Europe
investissent massivement et légifèrent pour décarboner notre modèle. Le chemin
est encore long, maintenons nos efforts.
- On déplore 40000 morts prématurées par an liées à la pollution de l’air, mais le Sénat décide de reculer de 5 ans les mesures de lutte contre ce fléau dans nos grandes villes. Une décision irresponsable et inconséquente face à la gravité des enjeux.
- Notre pays prend le tournant de l'éolien en mer pour alimenter des millions de foyers en électricité décarbonée et compétitive. Je suis particulièrement vigilante à ce que le déploiement des parcs soit exemplaire, créateur de nouvelles compétences et d’emplois en France.
- Le traité sur la charte de l'énergie est vraiment obsolète, il protège, entre autres, les investissements dans les énergies fossiles.
Jean-Michel Blanquer
(ministre de l'Education nationale, de la Jeunesse et des Sports)
- [Idéologie du Woke à l’université] La pensée
républicaine doit être consciente du danger représenter par ce différentialisme
qui cherche à opposer les gens notamment par la race (...) c'est un nouveau
MacCarthysme, une police de la pensée.
- Avec le nouveau baccalauréat nous disons «au revoir» au bachotage et «bonjour» à l’expression des passions, aux approfondissements, à l’exigence, à l’argumentation, à l’aisance orale complémentaire de la compétence écrite. Et nous continuerons à l’adapter au service des élèves.
- Investir dans l’éducation, un priorité internationale! Pour l’épanouissement de tous les enfants et la réduction des inégalités. Je plaide à la réunion des ministres de l’éducation du G20 pour une augmentation inédite et concertée de cet investissement à l’échelle mondiale.
Bruno Le Maire
(ministre de l'Economie, des Finances et de la Relance)
Une nouvelle page s'ouvre ! L'adoption de notre plan
national de relance par la Commission européenne est une étape importante pour
la France et pour l'Europe. Nous passons d'une Europe du soutien économique
d'urgence à une Europe de la relance.
Florence Parly
(ministre des Armées)
- L’Assemblée
nationale approuve la déclaration du gouvernement relative à la programmation
militaire. Pour la protection des Français et la défense de notre territoire,
nous continuons nos efforts : réparer nos armées et préparer l'avenir grâce à
un budget en hausse.
- Le Bundestag [chambre de députés allemande] vient d'approuver une étape cruciale pour la construction du SCAF [Système de combat aérien du futur] et de notre futur avion de combat européen. Opérationnel en 2040, il sera le fer de lance de notre puissance aérienne. Nous continuons de bâtir une défense européenne forte et concrète.
Gérald Darmanin
(ministre de l'Intérieur)
- À notre connaissance, les dysfonctionnements dans
la distribution de la propagande électorale ont touché 9% des plis. Comme je
l'ai déjà précisé, tous les enseignements de ces dysfonctionnements graves
seront tirés au lendemain du second tour des élections.
- Hommage au professionnalisme et au dévouement de nos sapeurs-pompiers et de l’ensemble des services de l’Etat mobilisés pour protéger nos concitoyens victimes ces dernières heures de violentes intempéries et des inondations.
Elisabeth Borne
(ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion)
- Plus de 785 000 embauches effectuées au mois de
mai, c’est tout simplement du jamais vu depuis 2006 ! Notre économie repart, et
elle repart fort !
- Le Conseil d'Etat ne remet pas en cause la réforme de l'assurance chômage. Il considère que la conjoncture économique est incertaine. Nous allons donc regarder comment rassurer davantage sur la situation de l’économie et de l’emploi pour permettre sa mise en œuvre rapide.
- Aucun demandeur d’emploi ne verra son allocation baisser dans le cadre de la réforme. Le Conseil d’État ne remet pas en cause la réforme. Il nous dit simplement que ce n’est pas le bon moment.
- Beaucoup d’approximations et de contradictions dans vos propos sur la réforme de l’assurance chômage Xavier Bertrand. Vous dites qu'il n'y a pas suffisamment d'offres d'emploi et en même temps que les entreprises n'arrivent pas à recruter ? Il faut choisir…
- Le fonds d'accompagnement au secteur automobile s'adresse particulièrement aux salariés des entreprises de la sous-traitance automobile, en redressement ou liquidation judiciaire. Ils seront accompagnés de manière renforcée.
Eric Dupond-Moretti
(Garde des Sceaux, ministre de la Justice)
J’ai toujours défendu l’idée que face au FN
l’ensemble des citoyens devaient se rassembler pour défendre ce qui nous unit
tous : la République. Faisant la différence entre mes adversaires et mes
ennemis, dimanche, je voterai sans état d’âme pour Xavier Bertrand.
Roselyne Bachelot
(ministre de la Culture)
- Le projet de loi sur la régulation et la
protection de l'accès aux œuvres culturelles à l’ère numérique vient d’être
très largement adopté par les députés ! Je salue le soutien transpartisan sur
ce texte fondamental pour la défense de la création française !
- Le gouvernement lance aujourd'hui un programme inédit de soutien à la conception et à la réalisation de projets artistiques de 30M€ afin d'accompagner et soutenir les créateurs, et notamment les plus jeunes.
- [France 4] C'est une chaîne qui va s'adresser aux jeunes, aux familles mais je veux aussi que ce soit une chaîne particulièrement dédiée à la culture et au spectacle vivant.
Julien Denormandie
(ministre de l'Agriculture et de l'alimentation)
- Nous examinons aujourd'hui la proposition de loi
Egalim 2. L'objectif : assurer la rémunération de nos agriculteurs en passant
de la défiance à la confiance, de la guerre des prix à la transparence des
marges.
- [Loi Egalim] Je ne lâcherai rien sur la question de la rémunération des agriculteurs. Il est impossible d’assurer la souveraineté alimentaire de la France sans agriculture, et il est impossible d’avoir une agriculture sans agriculteurs rémunérés à la hauteur de leur travail. Or ce n’est toujours pas le cas. Il nous faut agir: la crise de la Covid a révélé à la fois la nécessité, mais aussi la fragilité, de notre souveraineté alimentaire et la moitié des agriculteurs partiront à la retraite dans les années à venir. Les États généraux de l’alimentation et la loi Egalim de 2018 ont permis de changer d’état d’esprit et d’établir la «marche en avant» des prix alimentaires, désormais construits à partir des coûts de production. Mais la loi a montré ses limites. Il y a toujours de la déflation des prix payés aux agriculteurs, et les négociations pâtissent de certains acteurs qui ne jouent pas le jeu. (…) Je ne veux pas faire de «name and shame» à ce stade, mais, clairement, nous avons multiplié les contrôles et observé des dérives à la fois chez des industriels et des distributeurs. Quand il faut sanctionner les dérives, notre main ne tremble pas. La relation commerciale est un «ménage à trois» qui nécessite de définir des règles claires. Certains industriels et distributeurs continuent de se renvoyer la balle dans un jeu de dupes, et leur négociation se fait sur le dos des agriculteurs. Tant que le prix ne sera pas revenu dans les cours de ferme je continuerai à agir. On ne peut demander aux agriculteurs de faire toujours plus de qualité nutritionnelle et environnementale et laisser faire cette guerre des prix. J’appelle les patrons, industriels comme distributeurs, à ce sursaut collectif. Et je salue ceux qui le font.
- Il faut des mesures drastiques et garantir leur efficacité. Nous allons reprendre les clés du succès de ceux qui jouent le jeu, et les généraliser. Pour commencer, la proposition de loi va instaurer la contractualisation pluriannuelle. Comment demander à un éleveur d’investir si son prix est remis en cause tous les ans? Elle imposera ensuite la transparence tout au long de la négociation à trois, puis elle interdira que les prix négociés entre agriculteurs et industriels ne soient remis en cause lors des pourparlers entre les industriels et les distributeurs. Enfin, la proposition de loi prévoit un système d’indexation des prix agricoles sur le cours des matières premières
- Les industriels de ce pays sont une grande force, ce sont des milliers de PME qui font vivre nos territoires. Ils craignent d’être pris en étau. Cette crainte prouve d’ailleurs que l’essentiel de la pression reposait jusqu’ici sur les agriculteurs. Des pistes existent pour éviter que les industriels ne soient victimes de la pression des distributeurs, et feront l’objet de débats parlementaires. La plus prometteuse consiste à rétablir une règle en vigueur jusqu’à la LME de 2008, qui stipule que les industriels doivent proposer le même prix à tous les distributeurs. Ces derniers ne seront plus tentés de faire baisser les tarifs en pensant que leur concurrent bénéficie d’un prix plus avantageux.
- Le relèvement du seuil de revente à perte par la loi Egalim n’a entraîné aucune inflation. Est-il justifié qu’en cas de hausse du cours des matières premières, les agriculteurs supportent 100 % du surcoût? Alors que s’il est répercuté, cela ne représente que quelques centimes de plus sur le prix en rayon. Il faut dissocier la politique sociale visant à soutenir le pouvoir d’achat des plus démunis et la politique agricole. Une politique sociale ne peut pas reposer sur la baisse de revenu des agriculteurs. Sinon, on marche sur la tête! Cet argument est d’ailleurs souvent utilisé pour justifier des exigences moindres en qualité, ce qui fragilise encore plus le monde agricole français et européen. C’est de la folie, et tout le monde sera perdant. Les citoyens demandent toujours plus de qualité, et les consommateurs n’accepteraient pas de financer une meilleure qualité? Quelque chose ne tourne pas rond. La qualité, cela se paye.
- Les consommateurs veulent connaître l’origine des produits. De plus, la marque France est reconnue comme un gage de qualité en Europe. Comment peut-on sérieusement imaginer qu’elle dissuaderait les consommateurs italiens ou allemands? La question de l’origine est essentielle pour les citoyens comme pour les consommateurs. C’est pourquoi nous allons imposer la mention de l’origine de la viande dans les cantines scolaires. Un poulet élevé en France, cela n’a rien à voir avec un poulet brésilien ou ukrainien. Cela permettra de sortir du cercle vicieux dans lequel on s’est enfermé depuis quinze ans, où l’on importe toujours plus les produits que l’on consomme, et de conforter la qualité de nos productions.
- Arrêtons d’opposer nos agricultures ! Pour s’engager dans la transition agroécologique, les solutions sont multiples et je continuerai de défendre tous ceux et celles qui s’en saisissent.
- Face à l'épisode de gel du printemps, la solidarité nationale est au rendez-vous. Les mesures d’urgence sont déjà en œuvre pour les agriculteurs touchés et les chantiers pour rendre notre agriculture plus résiliente face à ces aléas du changement climatique sont en cours.
Amélie de Montchalin
(ministre de la Transformation et de la fonction publique)
En cette journée mondiale de la Fonction publique,
plus que jamais aux côtés des agents publics. Etat, collectivités, hôpitaux,
ils sont les visages du service public. Je poursuivrai notre action pour
reconnaître et faciliter leur travail quotidien dédié aux Français.
Elisabeth Moreno
(ministre chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité
et de l'égalité des chances)
Les discriminations envers les personnes LGBT+ sont
contraires aux valeurs de l'Union européenne. Les amendements adoptés par le
Parlement hongrois sont scandaleux. Nous ne devons rien céder face à ces
régressions inquiétantes.
Clément Beaune
(secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes)
- Il y a dix ou vingt ans, on ne pensait pas que des
pays rejoignant l'Union voudraient revenir sur ses valeurs. Nous devons
renforcer la digue et les outils de défense des principes fondamentaux.
- Une étape essentielle : aujourd’hui, notre plan France relance est approuvé par la Commission européenne, cela veut dire plus de 40 milliards € pour financer nos investissements d’avenir !
- L’Union européenne propose une « équipe cyber » pour lutter ensemble contre les cyberattaques qui visent nos démocraties. Une idée portée par la France depuis 2019, avec nos partenaires des pays baltes
- Ouvrons le débat sur le vote électronique. Quand on a 70% d'abstention, on ne peut pas se payer le luxe de fermer des pistes.
- On a aujourd’hui un règlement européen qui permet d’avoir des sanctions financières lorsqu’un pays porte atteinte à l’Etat de droit. Nous avons déjà été 14 pays à demander que la Commission engage des procédures contre la Hongrie.
- Je ne pensais pas avoir à rappeler, en Europe, qu’une image d’un couple homosexuel dans une publicité n’est pas une image pornographique.
Sarah El Hairy
(secrétaire d’Etat chargée de la Jeunesse et de l’Engagement)
- Votes ce matin à l’Assemblée nationale des
propositions de loi « En faveur de l’engagement associatif » et pour
« Améliorer la trésorerie des associations ». Je me réjouis de
l’adoption de ces deux textes nécessaires pour notre tissu associatif français
!
- Les rencontres faites pendant le SNU [Service national universel], entre des histoires et des parcours différents, le contact avec les intervenants, ouvriront les horizons des jeunes volontaires. Cela contribuera à renforcer la compréhension mutuelle et à ce qu’une génération s’envisage mieux.
- [Abstention] Après les élections, je réunirai des dirigeants d'organisations politiques de jeunesse et les principales jeunes figures de l’engagement citoyen afin de travailler avec eux à la meilleure manière de rénover le lien entre jeunesse et vie civique.
► Assemblée nationale
Richard Ferrand (président)
Les causes de l’abstention sont multiples et
anciennes. Comme citoyens, comme élus de la Nation, elle doit nous interroger
et il nous appartient lucidement d’en identifier les ressorts. Dès la semaine
prochaine, je proposerai des initiatives en ce sens.
► Partis politiques
● LaREM
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes
et se considèrent de droite ou de gauche ne sont pas retranscrits]
Stanislas Guerini (délégué général)
Entre une droite et une gauche ultra caricaturales,
qui s’extrémisent dans cet entre 2 tours, pour les électeurs il est utile que
la majorité présidentielle soit présente dans les conseils régionaux, pour
avoir des élus constructifs à la capacité de travailler avec tout le monde.
Christophe
Castaner (président du groupe à l’Assemblée nationale)
Inscrire l'urgence climatique dans la
Constitution : c’est un acte fort, nous y tenons ! Oui, les Français souhaitent
s'exprimer à travers le référendum sur le climat : au Sénat désormais de rendre cela possible.
● MoDem
Jean-Noël Barrot (secrétaire général)
Les causes de l'abstention sont multiples et profondes. En janvier dernier, le MoDem a fait 20 propositions pour
renforcer durablement la participation de toutes et tous aux élections. Le moment est venu de
les mettre en œuvre !
Patrick Mignola
(président du groupe à l’Assemblée nationale)
- Les démocraties sont mortelles et la nôtre est
malade.
- Nous avons besoin d’un profond changement de nos institutions : des parlementaires déracinés car sans mandats locaux, une représentativité bafouée par des modes de scrutin déformants, un millefeuille territorial abscons...
- [Abstention] Il ne sert à rien de gronder les citoyens. Nous sommes responsables de ne pas leur avoir octroyé des modalités de vote modernes.
- Comment comprendre, notamment chez les jeunes qu’on signe un contrat de travail et qu’on paie ses impôts par internet, mais qu’on vote dans les conditions qui étaient celles d’avant le minitel ?
- Nous étions rares à demander un report après l’été de ces élections. L’ensemble des sortants a combattu cette idée par l’intermédiaire de leurs partis politiques et les associations d’élus. Ils seront donc réélus, mais dans l’indifférence de 3/4 des électeurs
● Mouvement radical
Nathalie Delattre (sénatrice)
Dimanche prochain doit être le jour du sursaut démocratique. Les difficultés d’acheminement du matériel électoral n’expliquent pas tout. Le temps est venu de permettre le vote à distance; tirer au sort des assesseurs; favoriser la reconnaissance du vote blanc.
Bertrand Pancher (député)
Réchauffement climatique Rapport particulièrement alarmant au GIEC. Le redoublement de nos efforts n’est plus une option. Toutes les organisations politiques, patronales et syndicales doivent converger autour de cet objectif et entraîner la société.
► Autres
● Organisations
centristes
♦ Renaissance
(Députés français du groupe centriste Renew Europe au Parlement européen)
Nathalie Loiseau
Les droits des femmes sont des droits de l’homme. Le
1er de ces droits est de disposer de son corps. Les lobbies acharnés qui
veulent restreindre ou interdire l’IVG ne sont pas pour la vie mais pour la
mise en danger des femmes. Je vote aujourd’hui contre leur hypocrisie.