samedi 13 novembre 2021

L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. 11 septembre, 13 novembre des dates à ne jamais oublier

Les victimes innocentes du 11 septembre 2001 à New York et du 13 novembre 2015 à Paris ne sont pas plus importantes que toutes les autres victimes du terrorisme aveugle et criminel.

Mais ces deux journées ont vu avec quelle barbarie, quelle ignominie, les organisations terroristes pouvaient agir en allant commettre des massacres de gens innocents, d’enfants, de femmes et d’hommes qui ne leur avaient strictement rien fait et qu’il leur fallait assassiner pour assouvir leur haine de la liberté portées par leurs idéologies mortifères où l’humain ne compte pour rien.

Chaque année nous devons nous souvenir.

D’abord pour tous ceux qui sont morts.

Ensuite pour tout faire pour que cela ne se reproduise jamais.

Enfin pour le futur de la liberté, la nôtre, celle de nos enfants et de leur descendance.

Notre combat humaniste, sans fin face à la barbarie, doit commémorer ces dates où l’infamie a frappé des innocents pour créer les conditions d’une guerre mondiale.

Les illuminés qui ont imaginé et exécuté ces attentats ne rêvaient que d’une chose, créer le chaos – celui qui leur permet d’exister et de réaliser leur desseins funestes – au niveau mondial, de créer les conditions à un conflit planétaire.

Ceux qui sont encore là et leurs héritiers n’ont pas abandonné leurs projets macabres.

C’est pourquoi, rendre hommage aux victimes du 11 septembre et du 13 novembre, c’est aussi célébrer la vie, l’existence d’enfants, de femmes et d’hommes libres qui appellent tous ceux qui vivent encore sous le joug de totalitarisme, qu’il soit étatique ou émanant de bandes armées, à les rejoindre et qui leur tendent les bras.

 

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