dimanche 1 août 2021

Propos centristes. Monde – Lutte contre la covid19; forte croissance étasunienne; redémarrage de l’économie italienne; contre la traite des personnes; Etat de droit européen ; répression à Hongkong…

Voici une sélection, ce 1er août 2021, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.

► Union européenne

Renew Europe (groupe centriste et libéral au Parlement européen)
- Soutien total aux juges polonais luttant pour l'état de droit et un système judiciaire libre de toute ingérence politique. Les arrêts de la Cour européenne de justice doivent être appliqués. Les citoyens polonais méritent l'équité, la liberté et la démocratie !

- À l'occasion de la Journée mondiale contre la traite des personnes et chaque jour, Renew Europe s'engage à protéger les victimes désespérées et vulnérables de la traite des êtres humains. Nous nous engageons à continuer de lutter contre les trafiquants qui échappent en toute impunité de leurs actes.

 

Dacian Ciolos (président)
Félicitations Natalia Gavrilita pour cette nomination au poste de Premier ministre de la République de Moldavie et bonne chance pour former un gouvernement pour mettre en œuvre les réformes qui rapprocheront la Moldavie de l'UE !

 

Guy Verhofstadt
- [Covid19] Si nous voulons sérieusement nous débarrasser de la Covid19, voilà la voie à suivre : la coopération et le transfert de technologie au-delà des intérêts des entreprises privées. L'UE en tant qu'île de vaccination n'est pas une option viable.

- Le Watergate d’Orbán ne disparaîtra pas en menaçant les journalistes qui ont été victimes des traçages illégaux via Pegasus notamment. Nous avons besoin d'une enquête européenne complète !

 

● Allemagne
FDP
Christian Lindner (président)
[Campagne électorale pour les législatives] Comme il y a quatre ans, certains investisseurs mettent en garde contre le FDP comme un «risque» si nous retournons au gouvernement, car nous sommes garants de la responsabilité financière dans la zone euro. Cet avertissement est un compliment. Les libéraux sont des défenseurs de l'économie de marché, pas des grandes entreprises.

 

● Belgique
cdH
Catherine Fonck (députée)
- [Covid19] Il n’y a pas une arme absolue contre la covid19 delta et autres variants mais un package à appliquer sur toute la planète. Pour gagner tous ensemble.

- [Covid19] Les experts de la commission spéciale Covid19 ont fortement plaidé pour une agence belge de management de crise (BEMA). Mais les partis de la coalition gouvernementale ont refusé. C’est une profonde erreur. La gestion insuffisante de crise des inondations le prouve encore une fois.

 

DéFI
François de Smet (président)
[Covid19] Dimanche dernier, l’Assemblée nationale française et le Sénat se sont entendus sur des mesures de restriction de liberté incluant la vaccination obligatoire des soignants (même s’ils ne courent plus le risque d’être licenciés) et le fameux «pass sanitaire».
Sur la forme, on observera qu’il est donc possible qu’un Parlement, dans des temps courts mais en donnant pleine place au débat, puisse travailler à des mesures contre la pandémie en débattant sur l’équilibre à trouver entre santé publique et préservation des libertés. Et que l’intervention des députés et sénateurs, en l’occurence, a permis d’amender et d’améliorer le texte. Que l’on soit favorable ou non au pass sanitaire, ceci est une leçon pour tous les défenseurs de la Loi pandémie votée dernièrement par la majorité [parlementaire] Vivaldi le doigt sur la couture du pantalon, et qui prive précisément la Chambre, en Belgique, de son pouvoir d’arbitrage et de légalité s’agissant des mesures liberticides – puisque selon le texte, une fois voté l’état d’urgence le gouvernement n’a pas à faire avaliser ses mesures restrictives par la Chambre.
Sur le fond, il y a un débat essentiel que la Belgique, au cœur de l’été, est en train de manquer: la progression de la vaccination va-t-elle être suffisante pour juguler les dégâts du variant Delta ? Et sinon, que propose le gouvernement ?
Il est craindre que la réponse à la première question soit «non», et la deuxième «pas grand-chose». Le dernier codeco n’a pas sorti de mesures spectaculaires. La Belgique, autosatisfaite de sa bonne campagne de vaccination (c’est un fait), se repose sur ses lauriers et sous-estime le danger à venir. Comme avant chacune des vagues passées.
Nous connaissons tous les données du problème: d’un côté, un pays comptant un peu plus de 50% de sa population complètement vaccinée, ayant largement vacciné ses populations les plus fragiles; de l’autre, un variant beaucoup plus contagieux et virulent, qui une fois de plus change la donne et contraint à atteindre une couverture vaccinale plus élevée.
La vaccination plafonne et cela devient un vrai problème. Très logiquement, des voix s’élèvent pour rendre cette vaccination obligatoire pour certaines catégories de personnes, tel le personnel soignant, comme en France. Si la couverture vaccinale ne s’améliore pas, nous ne pourrons plus échapper à ce débat qui se pose à tout le moins, clairement, pour les soignants qui travaillent directement avec des populations à risque, en maison de repos et de soin.
Mais l’obligation vaccinale ne devrait pas avoir à reposer sur un devoir de contrainte par rapport à l’Etat. Elle devrait s’imposer par elle-même comme un devoir de citoyenneté et de solidarité de chacun de nous vis-à-vis de la société. Voici pourquoi.
1) D’abord, à cause du variant Delta, si quatrième vague il y a, elle sera portée essentiellement par les non-vaccinés. Les chiffres sont éloquents: en Belgique ou à l’étranger, l’effectif des personnes soignées dans les hôpitaux est composé en quasi totalité de personnes non-vaccinées. Le vaccin protège des formes graves; ne pas se vacciner c’est s’exposer soi-même, mais aussi des personnes plus faibles, immuno-déprimées, à ce risque qui est devenu plus élevé. Rappelons que tout le monde ne peut pas être protégé par le vaccin; certaines personnes fragiles n’ont pas pu être vaccinées pour raisons de santé, et sont donc très exposées au virus. Et c’est alourdir la charge d’un personnel soignant déjà épuisé.
2) Le vaccin, même s’il est très efficace, ne protège pas à 100%. Statistiquement, laisser le virus circuler revient à accepter que des personnes vaccinées passeront entre les mailles du filet et pourront, elles aussi, se retrouver à l’hôpital.
3) Le covid19, ce n’est pas seulement les soins intensifs; c’est aussi pour beaucoup de personnes une forme “longue”, invalidante, qui peut durer un temps indéfini. En ce compris un grand nombre de personnes jeunes.
4) Le plafonnement de la couverture vaccinale, en Europe, est un problème de riches vu depuis une série de pays du monde qui, dans le Sud surtout, sont frappés de plein fouet par le variant Delta et ne peuvent y faire face faute de doses. Ils ne demanderaient pas mieux que de se faire vacciner et ne pas le faire lorsqu’on en a l’occasion est irrespectueux vis-à-vis d’eux.
5) Tant que le virus circulera, tant que la population mondiale ne sera pas vaccinée quasi totalement, de nouveaux variants émergeront, et certains finiront bien par être résistants aux vaccins actuels. Ne pas se vacciner nous éloigne de la fin de la pandémie, tout simplement.
6) Enfin et surtout: la vaccination reste la meilleure protection contre les mesures restrictives, qui ont fait tant de mal, à savoir le confinement et la fermeture d’activités.
Je n’estime pas que toute personne ayant des doutes sur la vaccination soit à classer comme «antivax» ou complotiste. Loin de là. La réalité est plus complexe. Certaines questions sont légitimes. Mais il est temps de voir les choses en face: les fake news et craintes irrationnelles propagées par les antivax font des dégâts terribles. Le mensonge se propage sur les réseaux sociaux d’une manière bien plus rapide que la vérité, comme le rappelle Gérald Bronner dans son récent ouvrage “Apocalypse cognitive”. Il est à se demander si la polio ou la variole auraient pu être éradiquées si les réseaux sociaux avaient existé. 
L’équilibre entre santé publique et libertés publiques est au cœur de la pandémie depuis le début de la crise. Les rétifs à la vaccination mettent en avant la liberté fondamentale du choix et du consentement. Mais le principe même de la démocratie libérale est qu’aucune liberté n’est absolue; par essence, chacune d’elle se heurte aux effets destructeurs que sa propre liberté engendre vis-à-vis des autres. En l’occurrence, on ne se vaccine pas seulement pour soi, mais aussi, et maintenant surtout, pour les autres. C’est au nom de la préservation de la vie d’autrui, donc de leur liberté, que le vaccin contre la polio est obligatoire pour tous et que certains vaccins sont déjà obligatoires pour les soignants, comme l’hépatite B. 
Quelle serait une liberté qui autorise à pouvoir rendre malade autrui ? A quel niveau d’irrationalité sommes-nous parvenus pour que nous hurlions à la dictature contre des mesures visant à sauver des vies ? A quel moment avons-nous oublié que toute politique de santé publique, comme toute politique de sécurité routière, comporte un minimum d’obligations qui n’ont pour seul autre but que de protéger ? 
Il suffit d’imaginer une minute où nous en serions aujourd’hui, face à ces variants, au vu des confinements passés, si nous n’avions pas de vaccin pour se rendre compte de la chance qui est la nôtre d’avoir pu les développer si rapidement. Refuser d’utiliser cette arme est non seulement une défaite de la rationalité, mais aussi de la solidarité.

 

Mouvement réformateur
Georges-Louis Bouchez (président)
- [Gouvernement en place depuis plus de 9 mois] J’avais dit que personne n’aurait le gouvernement de ses rêves, ce n’est donc un premier bilan rêvé pour aucun parti. Si tout est loin d’être parfait dans la gestion de crise sanitaire, je pense que l’on a trouvé une direction et un rythme. Il reste des dangers, on verra.
Quant au reste de l’accord, on a de bons résultats, par exemple, sur les voitures de société, l’accord interprofessionnel... Maintenant, le contexte était et reste compliqué ; c’est de cette nécessité de prendre ses responsabilités qu’est né ce gouvernement, il n’y avait pas beaucoup d’alternatives. À partir de là, le fait qu’il fonctionne est déjà un élément important, mais il fonctionne à une seule condition : qu’on respecte l’accord de gouvernement.

- Comment j'explique à ma voisine qu'elle doit moins prendre sa voiture, mais que l'on va lancer des centrales au gaz qui équivalent à la mise en circulation de centaines de milliers de voitures?

- Se réjouir de l’élection de Joe Biden était de bon ton. S’interroger sur certains choix de politique internationale s’impose. Avoir fait tout cela en Afghanistan pour un retour des talibans ? Il est donc impossible d’apprendre des erreurs du passé ?

 

● Italie
Italia Viva
Matteo Renzi (président)
Bonne nouvelle dans les journaux ces jours-ci : la confiance des entreprises est à son apogée depuis des années. C'est un moment magique pour notre économie, nous aurons une croissance extraordinaire après la catastrophe du Covid19, la crédibilité internationale du Gouvernement nous verra comme des protagonistes sur la scène mondiale. Nous visons à faire plus de 6% du PIB et nous pouvons le faire. L'Italie doit redémarrer et dans de nombreux domaines, elle recommence déjà. Des vaccins, des médicaments monoclonaux, des investissements dans la santé sont nécessaires. Le reste appartient au bavardage quotidien des pseudo-leaders à la recherche d'un auteur. Ou plus simplement de visibilité.

 

► Monde

● Canada
Justin Trudeau (Premier ministre)
- Plus d'argent pour des choses comme la nourriture, les vêtements et les activités pour aider les parents à élever leurs enfants - c'est le but de l'Allocation canadienne pour enfants.

- Le droit des femmes de choisir appartient à elles seules. Chaque femme au Canada a droit à un avortement sûr et légal. Il est temps que les hommes arrêtent de dire aux autres hommes qu'ils peuvent décider de ce que les femmes peuvent faire ou ne pas faire avec leur corps.

 

Mary Ng (ministre de la Petite entreprise, de la Promotion des exportations et du Commerce)
Depuis le début [de l’épidémie de la covid19], nous avons été là pour nos
PME et, aujourd’hui, nous avons annoncé la prolongation des mesures de soutien, notamment la subvention salariale, la subvention pour le loyer et l’Indemnité de confinement, jusqu’à la fin du mois d'octobre.

 

● Etats-Unis
Joe Biden (président-des Etats-Unis)
- L'Amérique est à nouveau sur le bon chemin, et les nouveaux chiffres du PIB d'aujourd'hui remettent notre économie aux niveaux d'avant la pandémie. Ne vous y trompez pas : cette croissance n'est pas accidentelle, elle est le résultat direct de nos efforts pour apporter un soulagement économique aux familles, aux petites entreprises et aux communautés à travers le pays.

- Notre économie a connu la croissance la plus rapide en près de 40 ans au cours de la première moitié de l'année. La confiance des consommateurs est en hausse. Les emplois sont en hausse. Le revenu personnel est en hausse. Le chômage est en baisse. Nous remettons l'Amérique sur les rails.

- [Covid19] Je sais que les gens parlent de liberté, mais avec la liberté va avec la responsabilité. Votre décision de ne pas être vacciné a un impact sur quelqu'un d'autre. Veuillez vous faire vacciner. Pour toi. Pour les gens que vous aimez. Et pour votre pays.

- [Covid19] Le variant Delta est différent de ce que nous avons traité précédemment. Il est hautement transmissible et provoque une nouvelle vague de cas. Mais voici la bonne nouvelle : nous avons le pouvoir de l'arrêter. Faites-vous vacciner et vainquons ce virus une fois pour toutes.

- Mon père disait qu'un travail était bien plus qu'un salaire. Il s'agit de dignité, de respect et de pouvoir regarder votre enfant dans les yeux et dire que tout ira bien. Trop de gens aujourd'hui ne peuvent pas le faire - et nous allons changer cela avec mon accord bipartisan sur les infrastructures.

- J'ai toujours cru que nous étions à notre meilleur lorsque nous formions une seule Amérique, que nous nous rassemblions pour accomplir de grandes choses. Les cyniques ont déclaré qu'un projet de loi bipartite n'était pas possible. Ils doutaient de notre capacité à conclure un accord bipartisan sur les infrastructures. Nous leur avons prouvé qu'ils avaient tort.

- Le plus gros investissement dans:
- les transports en commun de l'histoire
- le rail voyageurs depuis la création d'Amtrak [compagnie publique des chemins de fer]
- la réparation des ponts de notre pays depuis la construction du réseau routier inter-États
- la production d'énergie propre de l'histoire.
C'est l'accord bipartite sur les infrastructures.

- L'accord bipartite sur les infrastructures mettra des plombiers et des tuyauteurs au travail pour remplacer toutes les conduites d'eau en plomb du pays afin que chaque Américain puisse boire de l'eau propre.

- Je crois que lorsque nous dépensons l'argent des contribuables américains, cela devrait soutenir les travailleurs et les entreprises américains.

- Medicare et Medicaid ont 56 ans. Grâce à ces programmes qui sauvent des vies, 140 millions d'Américains ont une assurance maladie. Et mon programme de reconstruction améliorera cela en élargissant les prestations de Medicare, en réduisant les coûts des médicaments sur ordonnance et en comblant l'écart de couverture de Medicaid.

 

Kamala Harris (vice-présidente des Etats-Unis)
Au premier semestre de cette année, notre économie a connu la croissance la plus rapide en près de 40 ans. C'est bon signe.

 

● Parti démocrate
Nancy Pelosi (speaker de la Chambre des représentants)
S'assurer que chaque Américain a un toit au-dessus de la tête est une valeur qui unit le Parti démocrate. C'est pourquoi j'ai mené une campagne sans relâche pour prolonger le moratoire sur les expulsions du CDC. Dans un acte de pure cruauté, les républicains ont bloqué cette mesure – laissant les enfants et les familles dans la rue. Face à cette obstruction partisane, les démocrates de la Chambre se joignent au président pour exhorter les gouvernements des États et des collectivités locales à débourser immédiatement les 46,5 milliards de dollars d'aide au loyer d'urgence approuvée par le Congrès démocrate, afin que de nombreuses familles puissent éviter l'expulsion. Les démocrates croient en un logement sûr et abordable pour tous alors que le pays se remet de la pandémie et que nous reconstruisons en mieux. Le gouvernement Biden-Harris et les démocrates de la Chambre continueront de rechercher des solutions pour protéger les locataires vulnérables contre les expulsions pendant cette crise.

- Le programme de reconstruction des démocrates s'attaquera à nos défis économiques les plus persistants: comme la reconstruction des infrastructures de transport américaines, la revitalisation de l’industrie américaine, la réduction des coûts et l'augmentation de la disponibilité de services de garde et d'éducation de qualité et abordables.

- Les projets de loi de crédits de cette semaine emmèneront l'Amérique vers l'avenir, nous mettant sur la voie d'un avenir énergétique propre, abordable et sûr en investissant plus de 14 milliards de dollars dans l'énergie propre et la science, ce qui créera des dizaines de milliers d'emplois verts bien rémunérés.

- L'administration Biden a permis à l’Etat de droit de remporter une victoire car elle a respecté l'intérêt public en répondant par l’affirmative à la demande du président Neal concernant les déclarations de revenus de Donald Trump. Je félicite le président Neal pour sa quête digne de la vérité et le ministère de la Justice de Biden pour son respect de la loi. L'accès aux déclarations de revenus de l'ancien président Trump est une question de sécurité nationale. Le peuple américain mérite de connaître les faits de Trump en tant que président de ses conflits d'intérêts et de l'atteinte à notre sécurité et à notre démocratie. La Chambre se battra toujours pour exposer la vérité au peuple.

 

Chuck Schumer (leader de la majorité démocrate au Sénat)
L'économie américaine est de retour parce que les démocrates ont tenu parole. Et maintenant, il faut aller plus loin pour reconstruire mieux qu'avant. Nous devons et nous allons reconstruire nos infrastructures, créer des millions d'emplois bien rémunérés, agir sur le climat et aider les familles américaines.

 

Hillary Clinton (ancienne secrétaire d’Etat)
- La lutte pour protéger nos droits de vote est la lutte pour protéger notre démocratie.

- [Envahissement du Capitole le 6 janvier] Les républicains au pouvoir ne veulent pas que les Américains sachent ce que les policiers ont vécu lorsque Donald Trump a incité à attaquer le Congrès. Mais tout le monde devrait regarder leurs témoignages [devant la Commission de la Chambre des représentants]. S'il vous plaît, écoutez ces officiers et les vérités qu'ils disent pour protéger notre démocratie.

 

● Royaume Uni
Liberal democrats
- [Covid19] Aucun gouvernement ne devrait avoir d'impact sur les droits et libertés des personnes sans un examen minutieux, un débat et un vote appropriés des députés - les cartes d'identité covid19 ne font pas exception. Boris Johnson ne doit pas restreindre les libertés sans l'avis du Parlement. Il doit rappeler le Parlement maintenant.

- Le Royaume-Uni a obtenu 42% de son énergie à partir de sources renouvelables l'année dernière. Maintenant, nous devons aller beaucoup plus loin et mener la lutte mondiale contre la crise climatique. Dans le cadre de notre plan de relance verte, nous approvisionnerons 80 % des besoins énergétiques du Royaume-Uni de manière renouvelable d'ici 2030.

 

Layla Moran (députée)
[Répression à Hongkong] À la suite de la condamnation hier de Tong Ying-kit en vertu de la loi sur la sécurité nationale de Hong Kong, j'ai écrit au gouvernement pour l'exhorter à imposer des sanctions aux personnes impliquées dans l'imposition de la loi.

 

 

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