Voici une sélection, ce 1er août 2021, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.
► Union européenne
Renew Europe (groupe
centriste et libéral au Parlement européen)
- Soutien total aux juges polonais luttant pour l'état
de droit et un système judiciaire libre de toute ingérence politique. Les arrêts de la Cour européenne de
justice doivent être appliqués. Les citoyens polonais méritent l'équité, la liberté et la
démocratie !
- À l'occasion de la Journée mondiale contre la traite des personnes et chaque jour, Renew Europe s'engage à protéger les victimes désespérées et vulnérables de la traite des êtres humains. Nous nous engageons à continuer de lutter contre les trafiquants qui échappent en toute impunité de leurs actes.
Dacian Ciolos
(président)
Félicitations Natalia Gavrilita pour cette nomination au
poste de Premier ministre de la République de Moldavie et bonne chance pour
former un gouvernement pour mettre en œuvre les réformes qui rapprocheront la
Moldavie de l'UE !
Guy Verhofstadt
- [Covid19] Si nous voulons sérieusement nous
débarrasser de la Covid19, voilà la voie à suivre : la coopération et le
transfert de technologie au-delà des intérêts des entreprises privées. L'UE en tant qu'île de vaccination n'est
pas une option viable.
- Le Watergate d’Orbán ne disparaîtra pas en menaçant les journalistes qui ont été victimes des traçages illégaux via Pegasus notamment. Nous avons besoin d'une enquête européenne complète !
● Allemagne
FDP
Christian Lindner (président)
[Campagne électorale pour les législatives] Comme il y a
quatre ans, certains investisseurs mettent en garde contre le FDP comme un «risque» si nous retournons au gouvernement, car nous
sommes garants de la responsabilité financière dans la zone euro. Cet avertissement est un compliment. Les libéraux sont des défenseurs de l'économie de marché, pas des
grandes entreprises.
● Belgique
cdH
Catherine Fonck (députée)
- [Covid19] Il n’y a pas une arme absolue contre la covid19 delta et autres variants mais un package à
appliquer sur toute la planète. Pour gagner tous ensemble.
- [Covid19] Les experts de la commission spéciale Covid19 ont fortement plaidé pour une agence belge de management de crise (BEMA). Mais les partis de la coalition gouvernementale ont refusé. C’est une profonde erreur. La gestion insuffisante de crise des inondations le prouve encore une fois.
DéFI
François de Smet (président)
[Covid19] Dimanche dernier, l’Assemblée nationale française et le Sénat se
sont entendus sur des mesures de restriction de liberté incluant la vaccination
obligatoire des soignants (même s’ils ne courent plus le risque d’être
licenciés) et le fameux «pass sanitaire».
Sur la forme, on observera qu’il est donc possible qu’un Parlement, dans des
temps courts mais en donnant pleine place au débat, puisse travailler à des
mesures contre la pandémie en débattant sur l’équilibre à trouver entre santé
publique et préservation des libertés. Et que l’intervention des députés et
sénateurs, en l’occurence, a permis d’amender et d’améliorer le texte. Que l’on
soit favorable ou non au pass sanitaire, ceci est une leçon pour tous les
défenseurs de la Loi pandémie votée dernièrement par la majorité
[parlementaire] Vivaldi le doigt sur la couture du pantalon, et qui prive précisément
la Chambre, en Belgique, de son pouvoir d’arbitrage et de légalité s’agissant
des mesures liberticides – puisque selon le texte, une fois voté l’état
d’urgence le gouvernement n’a pas à faire avaliser ses mesures restrictives par
la Chambre.
Sur le fond, il y a un débat essentiel que la Belgique, au cœur de l’été, est
en train de manquer: la progression de la vaccination va-t-elle être suffisante
pour juguler les dégâts du variant Delta ? Et sinon, que propose le
gouvernement ?
Il est craindre que la réponse à la première question soit «non», et la
deuxième «pas grand-chose». Le dernier codeco n’a pas sorti de mesures
spectaculaires. La Belgique, autosatisfaite de sa bonne campagne de vaccination
(c’est un fait), se repose sur ses lauriers et sous-estime le danger à venir.
Comme avant chacune des vagues passées.
Nous connaissons tous les données du problème: d’un côté, un pays comptant un
peu plus de 50% de sa population complètement vaccinée, ayant largement vacciné
ses populations les plus fragiles; de l’autre, un variant beaucoup plus
contagieux et virulent, qui une fois de plus change la donne et contraint à
atteindre une couverture vaccinale plus élevée.
La vaccination plafonne et cela devient un vrai problème. Très logiquement, des
voix s’élèvent pour rendre cette vaccination obligatoire pour certaines
catégories de personnes, tel le personnel soignant, comme en France. Si la
couverture vaccinale ne s’améliore pas, nous ne pourrons plus échapper à ce
débat qui se pose à tout le moins, clairement, pour les soignants qui
travaillent directement avec des populations à risque, en maison de repos et de
soin.
Mais l’obligation vaccinale ne devrait pas avoir à reposer sur un devoir de
contrainte par rapport à l’Etat. Elle devrait s’imposer par elle-même comme un
devoir de citoyenneté et de solidarité de chacun de nous vis-à-vis de la
société. Voici pourquoi.
1) D’abord, à cause du variant Delta, si quatrième vague il y a, elle sera
portée essentiellement par les non-vaccinés. Les chiffres sont éloquents: en
Belgique ou à l’étranger, l’effectif des personnes soignées dans les hôpitaux
est composé en quasi totalité de personnes non-vaccinées. Le vaccin protège des
formes graves; ne pas se vacciner c’est s’exposer soi-même, mais aussi des
personnes plus faibles, immuno-déprimées, à ce risque qui est devenu plus
élevé. Rappelons que tout le monde ne peut pas être protégé par le vaccin;
certaines personnes fragiles n’ont pas pu être vaccinées pour raisons de santé,
et sont donc très exposées au virus. Et c’est alourdir la charge d’un personnel
soignant déjà épuisé.
2) Le vaccin, même s’il est très efficace, ne protège pas à 100%.
Statistiquement, laisser le virus circuler revient à accepter que des personnes
vaccinées passeront entre les mailles du filet et pourront, elles aussi, se
retrouver à l’hôpital.
3) Le covid19, ce n’est pas seulement les soins intensifs; c’est aussi pour
beaucoup de personnes une forme “longue”, invalidante, qui peut durer un temps
indéfini. En ce compris un grand nombre de personnes jeunes.
4) Le plafonnement de la couverture vaccinale, en Europe, est un problème de
riches vu depuis une série de pays du monde qui, dans le Sud surtout, sont
frappés de plein fouet par le variant Delta et ne peuvent y faire face faute de
doses. Ils ne demanderaient pas mieux que de se faire vacciner et ne pas le
faire lorsqu’on en a l’occasion est irrespectueux vis-à-vis d’eux.
5) Tant que le virus circulera, tant que la population mondiale ne sera pas
vaccinée quasi totalement, de nouveaux variants émergeront, et certains
finiront bien par être résistants aux vaccins actuels. Ne pas se vacciner nous
éloigne de la fin de la pandémie, tout simplement.
6) Enfin et surtout: la vaccination reste la meilleure protection contre les
mesures restrictives, qui ont fait tant de mal, à savoir le confinement et la
fermeture d’activités.
Je n’estime pas que toute personne ayant des doutes sur la vaccination soit à
classer comme «antivax» ou complotiste. Loin de là. La réalité est plus
complexe. Certaines questions sont légitimes. Mais il est temps de voir les
choses en face: les fake news et craintes irrationnelles propagées par les
antivax font des dégâts terribles. Le mensonge se propage sur les réseaux
sociaux d’une manière bien plus rapide que la vérité, comme le rappelle Gérald
Bronner dans son récent ouvrage “Apocalypse cognitive”. Il est à se demander si
la polio ou la variole auraient pu être éradiquées si les réseaux sociaux
avaient existé.
L’équilibre entre santé publique et libertés publiques est au cœur de la pandémie
depuis le début de la crise. Les rétifs à la vaccination mettent en avant la
liberté fondamentale du choix et du consentement. Mais le principe même de la
démocratie libérale est qu’aucune liberté n’est absolue; par essence, chacune
d’elle se heurte aux effets destructeurs que sa propre liberté engendre
vis-à-vis des autres. En l’occurrence, on ne se vaccine pas seulement pour soi,
mais aussi, et maintenant surtout, pour les autres. C’est au nom de la
préservation de la vie d’autrui, donc de leur liberté, que le vaccin contre la
polio est obligatoire pour tous et que certains vaccins sont déjà obligatoires
pour les soignants, comme l’hépatite B.
Quelle serait une liberté qui autorise à pouvoir rendre malade autrui ? A quel
niveau d’irrationalité sommes-nous parvenus pour que nous hurlions à la
dictature contre des mesures visant à sauver des vies ? A quel moment
avons-nous oublié que toute politique de santé publique, comme toute politique
de sécurité routière, comporte un minimum d’obligations qui n’ont pour seul
autre but que de protéger ?
Il suffit d’imaginer une minute où nous en serions aujourd’hui, face à ces
variants, au vu des confinements passés, si nous n’avions pas de vaccin pour se
rendre compte de la chance qui est la nôtre d’avoir pu les développer si
rapidement. Refuser d’utiliser cette arme est non seulement une défaite de la
rationalité, mais aussi de la solidarité.
Mouvement réformateur
Georges-Louis Bouchez (président)
- [Gouvernement en place depuis plus de 9 mois] J’avais dit que personne
n’aurait le gouvernement de ses rêves, ce n’est donc un premier bilan rêvé pour
aucun parti. Si tout est loin d’être parfait dans la gestion de crise
sanitaire, je pense que l’on a trouvé une direction et un rythme. Il reste des
dangers, on verra.
Quant au reste de l’accord, on a de bons résultats, par exemple, sur les
voitures de société, l’accord interprofessionnel... Maintenant, le contexte
était et reste compliqué ; c’est de cette nécessité de prendre ses
responsabilités qu’est né ce gouvernement, il n’y avait pas beaucoup
d’alternatives. À partir de là, le fait qu’il fonctionne est déjà un élément
important, mais il fonctionne à une seule condition : qu’on respecte
l’accord de gouvernement.
- Comment j'explique à ma voisine qu'elle doit moins prendre sa voiture, mais que l'on va lancer des centrales au gaz qui équivalent à la mise en circulation de centaines de milliers de voitures?
- Se réjouir de l’élection de Joe Biden était de bon ton. S’interroger sur certains choix de politique internationale s’impose. Avoir fait tout cela en Afghanistan pour un retour des talibans ? Il est donc impossible d’apprendre des erreurs du passé ?
● Italie
Italia Viva
Matteo Renzi (président)
Bonne nouvelle dans les journaux ces jours-ci : la
confiance des entreprises est à son apogée depuis des années. C'est un moment
magique pour notre économie, nous aurons une croissance extraordinaire après la
catastrophe du Covid19, la crédibilité internationale du Gouvernement nous
verra comme des protagonistes sur la scène mondiale. Nous visons à faire plus
de 6% du PIB et nous pouvons le faire. L'Italie doit redémarrer et dans de
nombreux domaines, elle recommence déjà. Des vaccins, des médicaments monoclonaux,
des investissements dans la santé sont nécessaires. Le reste appartient au
bavardage quotidien des pseudo-leaders à la recherche d'un auteur. Ou plus
simplement de visibilité.
► Monde
● Canada
Justin Trudeau (Premier ministre)
- Plus d'argent pour des choses comme la nourriture,
les vêtements et les activités pour aider les parents à élever leurs enfants -
c'est le but de l'Allocation canadienne pour enfants.
- Le droit des femmes de choisir appartient à elles seules. Chaque femme au Canada a droit à un avortement sûr et légal. Il est temps que les hommes arrêtent de dire aux autres hommes qu'ils peuvent décider de ce que les femmes peuvent faire ou ne pas faire avec leur corps.
Mary
Ng (ministre de la Petite entreprise, de la Promotion des exportations et du
Commerce)
Depuis le début [de l’épidémie de la covid19], nous avons été là pour nos PME et, aujourd’hui, nous avons
annoncé la prolongation des mesures de soutien, notamment la subvention
salariale, la subvention pour le loyer et l’Indemnité de confinement, jusqu’à
la fin du mois d'octobre.
● Etats-Unis
Joe Biden (président-des Etats-Unis)
- L'Amérique est à nouveau sur le bon chemin, et les
nouveaux chiffres du PIB d'aujourd'hui remettent notre économie aux niveaux
d'avant la pandémie. Ne vous y trompez pas : cette croissance n'est pas
accidentelle, elle est le résultat direct de nos efforts pour apporter un
soulagement économique aux familles, aux petites entreprises et aux communautés
à travers le pays.
- Notre économie a connu la croissance la plus rapide en près de 40 ans au cours de la première moitié de l'année. La confiance des consommateurs est en hausse. Les emplois sont en hausse. Le revenu personnel est en hausse. Le chômage est en baisse. Nous remettons l'Amérique sur les rails.
- [Covid19] Je sais que les gens parlent de liberté, mais avec la liberté va avec la responsabilité. Votre décision de ne pas être vacciné a un impact sur quelqu'un d'autre. Veuillez vous faire vacciner. Pour toi. Pour les gens que vous aimez. Et pour votre pays.
- [Covid19] Le variant Delta est différent de ce que nous avons traité précédemment. Il est hautement transmissible et provoque une nouvelle vague de cas. Mais voici la bonne nouvelle : nous avons le pouvoir de l'arrêter. Faites-vous vacciner et vainquons ce virus une fois pour toutes.
- Mon père disait qu'un travail était bien plus qu'un salaire. Il s'agit de dignité, de respect et de pouvoir regarder votre enfant dans les yeux et dire que tout ira bien. Trop de gens aujourd'hui ne peuvent pas le faire - et nous allons changer cela avec mon accord bipartisan sur les infrastructures.
- J'ai toujours cru que nous étions à notre meilleur lorsque nous formions une seule Amérique, que nous nous rassemblions pour accomplir de grandes choses. Les cyniques ont déclaré qu'un projet de loi bipartite n'était pas possible. Ils doutaient de notre capacité à conclure un accord bipartisan sur les infrastructures. Nous leur avons prouvé qu'ils avaient tort.
- Le plus gros investissement dans:
- les transports en commun de l'histoire
- le rail voyageurs depuis la création d'Amtrak [compagnie publique des chemins
de fer]
- la réparation des ponts de notre pays depuis la construction du réseau
routier inter-États
- la production d'énergie propre de l'histoire.
C'est l'accord bipartite sur les infrastructures.
- L'accord bipartite sur les infrastructures mettra des plombiers et des tuyauteurs au travail pour remplacer toutes les conduites d'eau en plomb du pays afin que chaque Américain puisse boire de l'eau propre.
- Je crois que lorsque nous dépensons l'argent des contribuables américains, cela devrait soutenir les travailleurs et les entreprises américains.
- Medicare et Medicaid ont 56 ans. Grâce à ces programmes qui sauvent des vies, 140 millions d'Américains ont une assurance maladie. Et mon programme de reconstruction améliorera cela en élargissant les prestations de Medicare, en réduisant les coûts des médicaments sur ordonnance et en comblant l'écart de couverture de Medicaid.
Kamala Harris
(vice-présidente des Etats-Unis)
Au premier semestre de cette année, notre
économie a connu la croissance la plus rapide en près de 40 ans. C'est bon
signe.
● Parti démocrate
Nancy Pelosi (speaker de la Chambre des représentants)
S'assurer que chaque Américain a un toit au-dessus de la
tête est une valeur qui unit le Parti démocrate. C'est pourquoi j'ai mené une campagne sans relâche pour prolonger
le moratoire sur les expulsions du CDC. Dans un acte de pure cruauté, les républicains ont bloqué cette
mesure – laissant les enfants et les familles dans la rue. Face à cette obstruction partisane, les démocrates de la Chambre
se joignent au président pour exhorter les gouvernements des États et des
collectivités locales à débourser immédiatement les 46,5 milliards de dollars
d'aide au loyer d'urgence approuvée par le Congrès démocrate, afin que de
nombreuses familles puissent éviter l'expulsion. Les démocrates croient en un logement sûr et abordable pour tous
alors que le pays se remet de la pandémie et que nous reconstruisons en mieux. Le gouvernement Biden-Harris et les démocrates de la Chambre
continueront de rechercher des solutions pour protéger les locataires
vulnérables contre les expulsions pendant cette crise.
- Le programme de reconstruction des démocrates s'attaquera à nos défis économiques les plus persistants: comme la reconstruction des infrastructures de transport américaines, la revitalisation de l’industrie américaine, la réduction des coûts et l'augmentation de la disponibilité de services de garde et d'éducation de qualité et abordables.
- Les projets de loi de crédits de cette semaine emmèneront l'Amérique vers l'avenir, nous mettant sur la voie d'un avenir énergétique propre, abordable et sûr en investissant plus de 14 milliards de dollars dans l'énergie propre et la science, ce qui créera des dizaines de milliers d'emplois verts bien rémunérés.
- L'administration Biden a permis à l’Etat de droit de remporter une victoire car elle a respecté l'intérêt public en répondant par l’affirmative à la demande du président Neal concernant les déclarations de revenus de Donald Trump. Je félicite le président Neal pour sa quête digne de la vérité et le ministère de la Justice de Biden pour son respect de la loi. L'accès aux déclarations de revenus de l'ancien président Trump est une question de sécurité nationale. Le peuple américain mérite de connaître les faits de Trump en tant que président de ses conflits d'intérêts et de l'atteinte à notre sécurité et à notre démocratie. La Chambre se battra toujours pour exposer la vérité au peuple.
Chuck Schumer (leader
de la majorité démocrate au Sénat)
L'économie américaine est de retour parce que les
démocrates ont tenu parole. Et maintenant, il faut aller plus loin pour reconstruire mieux
qu'avant. Nous devons et nous allons reconstruire nos infrastructures,
créer des millions d'emplois bien rémunérés, agir sur le climat et aider les
familles américaines.
Hillary Clinton
(ancienne secrétaire d’Etat)
- La lutte pour protéger nos droits de vote est la lutte
pour protéger notre démocratie.
- [Envahissement du Capitole le 6 janvier] Les républicains au pouvoir ne veulent pas que les Américains sachent ce que les policiers ont vécu lorsque Donald Trump a incité à attaquer le Congrès. Mais tout le monde devrait regarder leurs témoignages [devant la Commission de la Chambre des représentants]. S'il vous plaît, écoutez ces officiers et les vérités qu'ils disent pour protéger notre démocratie.
● Royaume Uni
Liberal democrats
- [Covid19] Aucun gouvernement ne devrait avoir
d'impact sur les droits et libertés des personnes sans un examen minutieux, un
débat et un vote appropriés des députés - les cartes d'identité covid19 ne font
pas exception. Boris Johnson ne doit pas restreindre les libertés sans l'avis du
Parlement. Il doit rappeler le Parlement maintenant.
- Le Royaume-Uni a obtenu 42% de son énergie à partir de sources renouvelables l'année dernière. Maintenant, nous devons aller beaucoup plus loin et mener la lutte mondiale contre la crise climatique. Dans le cadre de notre plan de relance verte, nous approvisionnerons 80 % des besoins énergétiques du Royaume-Uni de manière renouvelable d'ici 2030.
Layla
Moran (députée)
[Répression à Hongkong] À la suite de la
condamnation hier de Tong Ying-kit en vertu de la loi sur la sécurité nationale
de Hong Kong, j'ai écrit au gouvernement pour l'exhorter à imposer des
sanctions aux personnes impliquées dans l'imposition de la loi.
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