Voici une sélection, ce 21 juillet 2020, des derniers propos
tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.
● Emmanuel Macron
(Président de la République)
- L'Europe est à un moment de vérité.
- À Bruxelles, les négociations sont
difficiles, mais un esprit de compromis est là. Cet esprit doit garder
l'ambition d'un plan de relance à la hauteur de la crise, l'ambition d'une
politique européenne d'avenir sur la souveraineté alimentaire, climatique et
technologique.
- Nous faisons bloc avec la
Chancelière Merkel pour un plan de relance sans précédent, au niveau de la
crise que nous traversons, à la hauteur des enjeux pour l’emploi, pour le
climat, pour notre souveraineté et les valeurs de l’Europe. Nous sommes prêts
au compromis sans renoncer à l’ambition. Chacun doit prendre ses
responsabilités. Continuons d’avancer ensemble.
- Une vie de combat pour les droits
civiques. Une vie à être de toutes les belles luttes, à se battre pour un monde
plus juste. Tant de progrès ont été conquis grâce à lui. John Lewis était un
héros.
- Après Notre-Dame, la cathédrale
Saint-Pierre-et-Saint-Paul, au cœur de Nantes, est en flammes. Soutien à nos
sapeurs-pompiers qui prennent tous les risques pour sauver ce joyau gothique de
la cité des Ducs.
- Je partage avec Angela Merkel et
Giuseppe Conte de graves préoccupations concernant la montée des tensions en
Libye. Nous agissons ensemble pour un cessez-le-feu et la fin des ingérences
étrangères. Notre objectif : sécurité et stabilité du pays.
- [Communiqué conjoint du Président de la République, de la
Chancelière allemande et du Président du Conseil italien]
Nous nous sommes réunis aujourd'hui à Bruxelles en marge du
Conseil européen pour évoquer la situation en Libye. Nous partageons de graves
préoccupations concernant la montée des tensions militaires dans ce pays et le
risque accru d'une escalade régionale. Nous demandons donc à toutes les parties
libyennes et à leurs soutiens étrangers de cesser immédiatement les combats et
de mettre un terme à l'escalade militaire en cours à travers le pays.
Nous demandons également à tous les acteurs étrangers de mettre fin à leurs
ingérences croissantes et de respecter pleinement l'embargo sur les armes
établi par le Conseil de sécurité des Nations unies. Nous prenons nos responsabilités
et sommes déterminés à assurer la pleine efficacité de l'opération Irini dans
le but de prévenir toute escalade sur le terrain. Nous sommes prêts à envisager
un recours éventuel à des sanctions si les violations de l'embargo en mer, sur
terre ou dans les airs se poursuivent et attendons avec intérêt les
propositions que le Haut-représentant de l’Union européenne pour les affaires
étrangères et la politique de sécurité fera à cette fin.
Nous soutenons les efforts des Nations unies en vue d’obtenir la signature d'un
accord de cessez-le-feu durable et crédible dans le cadre des négociations en
cours au sein du Comité 5+5. Dans ce moment critique, nous encourageons
également les Nations unies à explorer toutes les options pour réduire les
tensions, y compris celles d'un large désengagement de forces voire d'une
éventuelle démilitarisation dans certaines régions. Nous réaffirmons la
nécessité qu’un représentant spécial du Secrétaire général en Libye soit
rapidement nommé.
Nous rappelons à toutes les parties libyennes et internationales qu'un
règlement politique de la crise libyenne doit être pleinement inclusif et fondé
sur les conclusions de la Conférence de Berlin. Nous rappelons également qu'il
est nécessaire de lever rapidement le blocus pétrolier et de garantir une
répartition équitable et transparente des revenus pétroliers au profit de tous
les Libyens.
● Gouvernement
[Nota: dans ce
gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous retranscrivons
cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie
selon nos critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste]
Jean Castex (Premier
ministre)
- Le port du masque est obligatoire
dans les lieux publics clos. Sauver des vies, protéger les plus vulnérables,
réduire la circulation du virus : c’est de notre civisme que dépend la santé de
tous. La mobilisation du Gouvernement est totale.
- Passer des propositions à l'action,
voilà notre mission. Trois semaines après leurs échanges avec Emmanuel Macron, je reçois à
Matignon les membres de la Convention citoyenne pour le climat.
Barbara Pompili
(ministre de la Transition écologique)
On avance! Réunion de travail avec
des représentants de la Convention citoyenne pour le climat autour du Premier ministre Jean Castex. Une grande
détermination collective pour donner corps aux propositions des citoyens et
accélérer la transition écologique du pays.
Bruno Le Maire
(ministre de l'Economie, des Finances et de la Relance)
- Nous devons dépasser les intérêts
nationaux et aller vers un intérêt général européen. Si nous ne rassemblons pas
nos forces pour avoir nos propres technologies face à la Chine et aux
États-Unis, nous prendrons un tel retard que nous ne le rattraperons jamais.
- Je veux saluer le travail d'Emmanuel Macron et Angela Merkel
qui ne cessent de se battre pour faire comprendre l'enjeu de cette négociation
: la présence de l’Europe parmi les grandes puissances mondiales du XXIe
siècle.
- La promesse d'Emmanuel Macron est tenue: 80%
des Français ne paieront plus de taxe d’habitation à partir de cette année.
Pour les autres, le calendrier de suppression de la TH, voté par les
parlementaires, est maintenu: baisse en 2021, baisse en 2022 et suppression en
2023.
- L’État, propriétaire de la
cathédrale, prendra à sa charge les travaux de restauration. Je veux exprimer
mon émotion après ce drame. J’ai habité 6 mois à Nantes où j'ai eu l'occasion d'écouter cet orgue, monument du XVIIe
siècle. C'est une grande tristesse.
- Les charges fiscales et sociales
seront reportées sur 12, 24 ou 36 mois pour les TPE et PME. J’ai demandé à
l’administration fiscale d’être très attentive à la situation des entreprises.
Nous les soutiendrons de manière simple et automatique.
Florence Parly
(ministre des Armées)
Au plus fort de l’opération
Résilience, plus de 16% des militaires déployés étaient des réservistes. Le «
Merci et bravo » du président de la République s’adresse aussi à eux ! En 2019
ce sont en moyenne 4000 réservistes opérationnels qui ont été mobilisés
quotidiennement.
Elisabeth Borne
(ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion)
- Notre objectif : aucun jeune sans
solution. Nous avons toute une batterie de mesures pour apporter une réponse
globale : aide à l'embauche, apprentissage, service civique, contrats
d'insertion. Nous en discutons aujourd'hui et demain avec les partenaires
sociaux.
- Au plus fort de la crise, le
chômage partiel a protégé près de 9 millions de salariés. C'est un effort
considérable de l'Etat pour accompagner les entreprises et les salariés.
L'objectif est clair : protéger nos emplois et nos compétences.
- Plus on porte le masque, mieux
c'est. Il devient aujourd'hui obligatoire dans les espaces clos qui accueillent
du public : commerces, banques par exemple. Sur le lieu de travail, les règles
sont déjà strictes : soit on peut maintenir 1m de distance, soit le masque est
obligatoire.
Jacqueline Gourault
(ministre des Territoires et des Relations avec les collectivités
territoriales)
- Relocaliser dans nos régions des activités
stratégiques et créatrices d’emplois. Dans le cadre du programme Territoires d’industrie, nous
présentons en le « pack rebond », une réponse à l’impératif de
reconquête industrielle de notre pays.
- Le Gouvernement et ses partenaires
se sont fixés un objectif ambitieux : embaucher 1000 volontaires territoriaux
en entreprise pour lier la reconquête industrielle de notre pays au recrutement
de jeunes talents.
Eric Dupond-Moretti
(Garde des Sceaux, ministre de la Justice)
- J'ai dit que j'étais pour une égalité absolue des droits
des hommes et des droits des femmes et notamment sur le domaine salarial, et
sur cette question, je suis féministe et je le dis, sans avoir à rougir, je
suis féministe.
- J'ai dit que #MeToo avait libéré la parole de la femme et
que c'était un bien, j'ai dit aussi qu'il fallait absolument, et je l'ai écrit,
permettre aux femmes les plus timorées de dire les choses. J'ai dit qu'il
fallait condamner les salauds qui se tenaient mal avec les femmes. Mais pour
autant, j'ai ajouté que la justice ne se rendait pas sur les réseaux sociaux,
que la toile ne pouvait pas être le réceptacle de ces plaintes, que la justice
devait intervenir et j'ai dit aussi qu'il était arrivé que des hommes soient
accusés à tort.
- Je ne veux pas vivre la moralisation comme on la connaît
aux États-Unis (...). Je veux qu'un homme puisse prendre un ascenseur avec une
femme, et la guerre des sexes, je trouve qu'elle est inutile. (…) Le féminisme,
c'est une très grande cause mais il est dévoyé quand il est excessif.
- Je ne connais pas le dossier de M. Gérald Darmanin. Je dis
qu'il est présumé innocent, que ça n'est pas une règle mineure, que ça n'est
pas une règle accessoire, c'est la Constitution. «Ça concerne tout le monde, la
présomption d'innocence, et les Français ont beaucoup de mal avec ça.
- Je veux que les hommes suspectés de violences conjugales,
s’ils ne sont pas déférés, soient convoqués par le procureur et reçoivent un
avertissement judiciaire solennel. Il ne s’agit pas d’une condamnation; c’est
le moyen de montrer à un homme que la justice est attentive et qu’elle ne laisse
rien passer.
- J’entends déjà que certains me caricaturent en laxiste qui
veut vider les prisons, d’autres en ultra-répressif qui veut les remplir. Je ne
serai ni l’un ni l’autre.
- J’ai toujours été opposé à la rétention de sûreté telle
que l’envisageait le président Sarkozy, parce qu’elle envoyait en prison des
individus non pour ce qu’ils avaient fait mais pour ce qu’ils seraient
susceptibles de faire dans l’avenir.
- Les détenus doivent sortir [de prison] moins mauvais
qu’ils n’y sont entrés.
- On va essayer d'avoir une justice qui a le souci de la
proximité avec les justiciables. Ce que les Français auront bien compris, c'est
qu'il est question de juges à proximité de chez eux. Je veux réconcilier les
Français avec leur justice, leur redonner confiance. C'est pourquoi je parle
d'une 'justice de proximité', ça ne veut pas dire qu'on va rétablir les juges
de proximité qu'on avait supprimés. C'est une question d'organisation. Pendant
la crise sanitaire et le confinement, des magistrats se sont rendus dans les
hôpitaux. Je propose que, dans certaines parties du territoire, ou dans des cas
particuliers, on amène le juge à se déplacer plutôt que le justiciable.
Olivier Véran
(ministre des Solidarités et de la Santé)
- Tester massivement et remonter les
chaînes de contamination pour les briser est au cœur de notre stratégie.
- Nous traquons le virus et suivons à
chaque instant les indicateurs de circulation de la COVID19. Dès qu’ils augmentent,
tout est mis en œuvre pour dépister massivement la population et rappeler
chacun à la vigilance pour briser les chaînes de contamination.
Frédérique Vidal
(ministre de l'Enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation)
Les diplômés de demain doivent être à
l’image de la diversité de la France d’aujourd’hui! Lancement du Comité
«Diversité sociale» présidé par Martin Hirsch pour aller encore plus loin dans l'égalité des chances, la
mixité sociale et l'émancipation dans l’enseignement supérieur.
Julien Denormandie
(ministre de l'Agriculture et de l'alimentation)
Intense journée d'échanges au Conseil
européen avec, au cœur des discussions : l’avenir de la PAC, l’accompagnement vers
l’agro-écologie, la juste rémunération des agriculteurs, l’information des
consommateurs.
Amélie de Montchalin
(ministre de la Transformation et de la fonction publique)
- Nous sommes dans un temps de crise, nous devons
reconstruire le pays et notre action publique doit profondément gagner en
efficacité, en proximité, en simplicité, en justice. Le président de la
République et le premier ministre me demandent de faire en sorte que nous
soyons plus simples, plus efficaces, plus justes. Les Français ont besoin que
les changements se voient concrètement dans leur vie. Sinon, nous sommes au
cœur de ce qui alimente la défiance démocratique, de ce qui détruit la
crédibilité: voter des lois, dire qu’elles s’appliquent, alors que ce n’est pas
le cas. Le sujet crucial, c’est de restaurer la confiance en ayant une action
publique puissante. Nous avons créé un ministère du service public, dans lequel
nous rassemblons tous les leviers d’action nécessaires pour réussir. Mon
ministère est celui du porte-action du gouvernement. Je suis la ministre des
résultats et de l’action. Il s’agit d’accélérer les transformations, débloquer,
et faire en sorte que ce soit visible sur le terrain. Je suis en quelque sorte
un assemblier.
- Les Français ne veulent pas que j’aille uniquement faire
le tour de la France qui va bien. Nous devons d’abord rétablir la confiance
avec les agents publics, ceux qui se sont engagés pour servir les Français.
Pendant la crise du Covid, ils se sont adaptés. Il faut aussi être transparent
avec les Français, identifier les blocages. Nous avons des tableaux de bord
avec des chiffres, mais l’important c’est de savoir si ça marche ou si ça ne
marche pas sur le terrain, si tel changement est visible ou non dans la
réalité. Il faut sortir d’une logique de pilotage par tableaux de bord dans les
ministères à Paris, pour aller dans les territoires. Nous publierons à l’automne
le baromètre des résultats: un baromètre indique aussi bien la pluie que le
soleil. Nous dirons aussi ce que les usagers pensent du service public. Ce
baromètre permettra de prendre des engagements pour améliorer la mise en œuvre
de nos engagements, politique par politique, et territoire par territoire. Nous
devons nous intéresser aux blocages concrets. Je passerai la moitié de mon
temps sur le terrain en concertation et l’autre à Paris avec mes collègues
ministres. Le mot de transformation est un beau mot si nous le prenons sous
l’angle du rugby: transformer l’essai, c’est réussir, faire les derniers mètres
pour que le ballon arrive au bon endroit. Il faut pour cela se faire des
passes. Mon rôle sera d’être en lien permanent avec mes collègues ministres.
- Le droit à l’erreur est un très bon exemple: c’est une
bonne idée, mais si l’agent public ne sait pas comment il doit l’appliquer, il
ne l’applique pas. Il faut voir où ça coince et former les agents. Nous avons
600 jours, la bonne nouvelle c’est qu’on n’a pas le temps de se perdre en
grandes idées. Il faut des idées très pragmatiques et directement
opérationnelles. C’est ainsi que nous redonnerons confiance. Je vais écrire la
semaine prochaine à tous les agents publics pour leur poser deux questions:
quelle mesure urgente le gouvernement doit-il prendre pour améliorer l’action
publique, et que doit-il urgemment faire pour que chaque agent puisse se
consacrer pleinement à sa mission? Jusqu’ici, quand on entend que les agents
publics ont besoin de moyens, on pense uniquement budgétaire. Or, ils ont
surtout besoin d’une capacité à faire, à bien remplir leur mission. On ne va
pas transformer par le haut mais par ceux qui font.
- La démocratie ne peut pas se fonder sur le secret. Mon
rôle n’est pas de donner des notes ou des bons points aux ministres mais d’être
en soutien. Il y aura peut-être des mesures qu’on devra arrêter. Il faut une
forme de lucidité sur où on en est. Le premier ministre l’a dit, l’impuissance
publique a fait le lit du discrédit politique. Elle nourrit le discours des
extrêmes. Nous veillerons scrupuleusement à ce que les textes se traduisent
dans la réalité! L’application des lois, ce n’est pas simplement sortir des
décrets d’application. Aujourd’hui d’ailleurs, 90% de ce qu’on a voté est
applicable juridiquement et c’est un énorme travail. Il faut maintenant passer
du juridique au concret.
Elisabeth Moreno
(ministre chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité
et de l'égalité des chances)
Compagnon de route de Martin Luther
King, partisan de la non-violence et figure emblématique du mouvement
démocrate, John Lewis nous a quittés. Il laissera une empreinte indélébile dans
l'histoire américaine. Les multiples combats qui ont jalonné sa vie doivent nous
inspirer.
Olivier Dussopt
(ministre chargé des Comptes publics)
- Avec Territoires
de Progrès, il y a dans la majorité présidentielle des
femmes et des hommes attachés à la socialdémocratie. JeanYves Le Drian et moi en faisons partie avec d'autres collègues du
Gouvernement et des parlementaires.
- Au mois d’octobre prochain 80 % des
Français ne paieront plus de taxe d’habitation.
Agnès
Pannier-Runacher (ministre chargée de l'Industrie)
- Notre boussole, c'est l'emploi industriel
: avec le Pack rebond Territoires d’industrie, nous faisons de notre industrie le moteur de la relance sur
tout le territoire national.
- Grâce à Emmanuel Macron et Angela Merkel, on retrouve ce couple
franco-allemand qui a été à la manœuvre dans toutes les grandes avancées de l’UE.
- Faire de l’industrie le moteur de notre
relance : 78 sites industriels "clés en main" pour être la vitrine de
la (re)localisation d’activités. Des procédures administratives anticipées pour
garantir des délais de réalisation attractifs.
- Plan de relance européen: c’est un
rendez-vous devant l’Histoire pour montrer la capacité de l’Union européenne à
porter un projet commun dans une crise qui est inédite. Le Président de la
République porte un projet extrêmement ambitieux avec Angela Merkel.
● LaREM
[Nota: dans ce parti,
les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent de
droite ou de gauche ne sont pas retranscrits]
Richard Ferrand
(président de l’Assemblée nationale)
Il serait insupportable qu’un seul
pays empêche égoïstement le plan de relance européen de voir le jour, alors que
l’immense majorité des États représentant 90% des peuples d’Europe font bloc.
Stanislas Guerini
(délégué général)
La France et l’Allemagne continuent
de faire bloc pour aboutir à un plan de relance digne de ce nom. C’est l’avenir
de l’Union qui est en jeu. La détermination du Président Macron et de la
Chancelière Merkel est l’honneur de l’Europe.
Gilles
Le Gendre (président du groupe à l’Assemblée nationale)
Les députés LaREM en soutien inconditionnel à
Emmanuel Macron et Angela
Merkel pour trouver un accord pour le Plan de relance en Europe. Ce qui se joue, c’est l’avenir de l’Union européenne. Aucun pays n’a
le droit de prendre en otage ce choix historique. La France derrière son président.
●MoDem
Sarah El Hairy
(porte-parole)
Recueillement et échanges à
l'occasion de la journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l'État français et d'hommage aux "Justes" de France.
●UDI
[Nota: dans ce parti,
les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent de
droite ne sont pas retranscrits]
Jean-Christophe Lagarde (président)
Lors des européennes de 2019, j’étais
le seul à proposer que le vecteur énergétique hydrogène devienne une priorité
européenne et nationale pour le climat et pour notre indépendance. Un monde
d’avance alors que la France reste en retard, hélas...
● Autres
(Personnalités ou
organisations centristes)
Jean-Pierre Raffarin
(ancien premier ministre)
- Angela Merkel et Emmanuel Macron
avancent ensemble, solidaires, puissamment engagés l'un avec l'autre : c'est la
clé de notre avenir.
- [Union européenne] Si nous sommes
divisés, nous serons fragilisés. Aujourd'hui, il y a un devoir d'union.