Voici une sélection, ce 16 mai 2020, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.
● Emmanuel Macron
(Président de la République)
- [Plan hôpital] Le quoi qu’il en coûte lancé un soir de
mars ne peut pas durer perpétuellement. Il faut qu’on trouve d’autres modes de
régulation, qui partent du bas et du soin, et plus d’une logique budgétaire
mais d’une logique sanitaire.
- Il y a une nécessité de penser les interfaces avec la
médecine de ville, avec le médico-social.
- Il faut trouver les moyens d’investir davantage dans
l’hôpital.
● Gouvernement
[Nota: dans ce
gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous retranscrivons
cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie
selon nos critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste]
Christophe Castaner
(ministre de l’Intérieur)
Sur proposition des maires, les
préfets ont pu à ce jour autoriser la réouverture de 290 plages, lacs et
centres nautiques lorsque les règles sanitaires sont respectées et les
aménagements nécessaires réalisés.
Bruno Le Maire
(ministre de l’Economie et des Finances)
- Au Conseil de compétitivité
européen, j’ai appelé à ce que la relance économique européenne repose sur
quatre principes: solidarité, souveraineté, innovation, relance durable.
- Le combat contre le réchauffement climatique
doit être au cœur du modèle économique européen. Le Green deal est décisif pour y
parvenir. Une taxe carbone aux frontières de l’Union européenne est
indispensable. La relance européenne doit être verte.
- La crise du COVID19 a montré que l’Europe est
trop dépendante d’autres pays, notamment dans le secteur de la santé. Nous
devons identifier nos faiblesses et relocaliser certaines activités en France
et en Europe.
Nous sommes prêts à soutenir la
demande automobile mais ce sera un soutien pour des véhicules verts qui
émettent le moins de CO2, en particulier les véhicules électriques.
- Nous voulons fixer le cap d’une
relance économique verte. C’est bon pour le climat et bon pour la compétitivité
car cela nous permettra d’innover.
- Le fonds de relance européen
permettra à tous les pays de redémarrer à la même vitesse et garantira la puissance
de l’Union européenne.
- Le redémarrage économique a eu lieu
dans de bonnes conditions. Des secteurs ont repris plus vite que d’autres. Je
préfère un redémarrage lent mais solide.
- Nous devons nous battre pour que
les productions à forte valeur ajoutée qui feront la différence face à la Chine
et aux États-Unis reviennent et se développent en France. Nous l’avons fait
pour les batteries électriques, Il faudra le faire pour d’autres secteurs.
Elisabeth Borne (ministre de la Transition écologique et solidaire)
- Beaucoup de Français ont eu le
déclic vélo lors du déconfinement. En 5 jours, la barre des 10000 réparations a été dépassée.
Franchissons une étape dans la culture vélo!
- Dans les transports en commun, le
professionnalisme des agents et le civisme des usagers ont été au rendez-vous
durant cette première semaine de déconfinement.
- Au plus fort de la crise, les
secteurs vitaux pour le pays, énergie, eau, déchets,
transports ont tenu.
Jean-Michel Blanquer
(ministre de l’Education)
- Nous préparons le retour des
collégiens de sixième et cinquième dans les collèges des départements verts
pour lundi prochain. Merci à tous ceux qui travaillent à cette reprise
progressive, si importante sur le plan éducatif et sur le plan social.
- [Covid19 - Tribune des ministres de l’éducation de France
et de Finlande]
Nous n'avons pas encore de vaccin contre la Covid-19 mais
nous disposons d'un puissant remède à la crise du coronavirus.
Depuis plusieurs mois, l’Europe, comme le monde entier, est
touchée par une épidémie d’une ampleur inédite. Cette nouvelle crise nous a
amené à nous adapter à une transformation soudaine de notre façon de vivre,
d'agir et de travailler sans précédent dans notre histoire.
À l’évidence, l’infléchissement durable de la courbe
épidémique et l’éradication définitive de ce virus ne seront possibles qu’en
adoptant des solutions mondiales, c’est-à-dire en construisant de nouvelles
solidarités européennes et internationales. Pour protéger des vies humaines, la
priorité absolue de nos pays a été de garantir le bon fonctionnement de nos
systèmes de santé. et nous avons réussi dans cette tâche. Alors que nous
continuons à combattre le virus, nous devons commencer à construire une
trajectoire durable de sortie de crise. Bien que nous ne disposions pas encore
d'un vaccin contre le Covid-19, nous possédons le plus grand remède contre la
catastrophe sociétale provoquée par la crise : l'éducation et la formation.
L'égalité d'accès à une éducation et une formation de qualité signifie
l'égalité des chances, la capacité d'innovation, la croissance économique et
des citoyens informés.
La crise exerce une pression énorme sur nos sociétés et nos
économies. Pour que les sociétés européennes aient la résilience nécessaire à
une reprise durable et rapide, nous devons investir dans nos citoyens : nous
avons besoin d'un plan de relance qui place l'éducation et la formation au cœur
des priorités. Alors que la plupart des écoles ont fermé leurs portes ce
printemps, nos élèves ont malgré tout continué à apprendre et à travailler
grâce à la motivation de nos professeurs hautement qualifiés. Partout en
Europe de nouvelles méthodes d'apprentissage, de communication, de travail et
de collaboration se sont développées. Si l’enseignement à distance, les
ressources numériques et les salles de classe virtuelles étaient déjà utilisés
avant la crise, ils ne l’avaient jamais été à une telle échelle. Le saut
numérique provoqué par la crise crée une opportunité pour une transformation
numérique plus durable après la crise.
Les nouveaux usages numériques développés durant cette
période particulière sont ainsi une occasion extraordinaire de nous doter d’une
véritable stratégie numérique éducative qui peut nous aider à réussir davantage
encore, dans le nouvel environnement mondial de plus en plus caractérisé par
des facteurs tels que l'IA, l'évolution technologique et la juste transition
vers un monde neutre en carbone. Nous devons construire un avenir où les
progrès technologiques s’accompagneront d'une amélioration du bien-être humain.
L’humain ne sera pas remplacé par la machine. Il la maîtrisera.
Pour réussir cela, la formation des professeurs pour et par
le numérique est un préalable indispensable. Nous devons également accompagner
avec volontarisme la filière du numérique éducatif, en veillant au respect le
plus strict des règles de protection des données des utilisateurs.
Au moment où il faut investir fortement dans l'éducation et
les citoyens européens, la création d'un véritable espace européen de
l'éducation est une question de plus en plus pressante. Ainsi, le développement
de la mobilité européenne de nos professeurs, de nos étudiants et de nos élèves
doit être poursuivi et amplifié. Le programme Erasmus+ est l'une des grandes
réussites de l’Europe et de la construction d’une citoyenneté européenne.
Etudier, travailler, vivre dans un autre pays européen est une chance et nous
devons la préserver.
Enfin, la soutenabilité à long terme de nos systèmes
éducatifs est conditionnée aux objectifs écologiques ambitieux que nous devons
nous donner dès à présent. L’éducation doit jouer un rôle majeur dans la
transition vers des sociétés neutres en carbone.
Tous ces enjeux doivent se traduire dans la stratégie future
de l’espace européen de l’éducation ainsi que dans le Plan d'action pour
l'éducation numérique et dans l’Agenda pour une Europe verte.
Étape par étape, l'Europe relancera son économie et se
redressera. Outre les conséquences de la crise, nous devrons faire face aux
effets du changement climatique, à l'évolution technologique rapide et aux
défis démographiques. Quoi de mieux pour garantir une reprise rapide qu’un plan
dédié pour traiter ces défis. Il nous faut investir davantage dans le domaine de
l’éducation, en appui aux collectivités locales, pour le changement écologique
de tous nos équipements scolaires et pour assurer de bonnes conditions de
travail à nos professeurs.
L'importance du capital humain sera encore plus évidente en
période de reprise. L'Europe ne se redressera pas par l'austérité, la
modération salariale et d'autres politiques économiques rigoureuses qui
affaiblissent notre foi en l'avenir. Ce dont l'Europe a aujourd’hui besoin,
c’est d’investissements pour l'avenir. En investissant dans l'éducation dès le
plus jeune âge, dans l’acquisition des savoirs fondamentaux, dans les sciences
et la culture, nous avons à cœur de montrer que des temps meilleurs viendront
après la crise, et que nos gouvernements et l'UE feront tout ce qui est en leur
pouvoir pour reconstruire notre continent et améliorer le modèle social unique
qui est le nôtre.
Olivier Véran
(ministre de la Solidarité et de la Santé)
Rémunération, revalorisation des
carrières, investissements pour l’hôpital... Échanges passionnants avec les
soignants et le Président Emmanuel Macron. L’objectif des prochaines semaines: relever ces défis pour
bâtir le système de santé de demain. Nous le devons à nos soignants.
Franck Riester
(ministre de Culture)
- Nous souhaitons tous que les
cinémas rouvrent le plus vite possible. Une décision sera prise à la fin du
mois de mai, en fonction de l'évolution de l'épidémie. La santé des
professionnels comme des spectateurs est notre priorité.
- Le 21 juin, nous fêterons la
musique ! Différemment des années précédentes, dans le strict respect des
règles sanitaires, mais nous fêterons la musique car nous sommes attachés à
cette grande fête populaire.
Muriel Pénicaud
(ministre du Travail)
- Nous nous mobilisons tous ensemble
pour que cette crise ne fasse pas exploser les inégalités.
- Pour sauver des vies tout en
protégeant l’emploi par la reprise de l'activité économique, le nécessaire
retour au travail s’accompagne du respect des conditions sanitaires. Nous avons
publié 64 guides par métiers et un protocole de déconfinement pour aider entreprises et salariés.
Julien Denormandie
(ministre de la Ville et du Logement)
- La crise que nous traversons a un impact social
indéniable. Nous n’avons pas de statistiques précises sur le sujet. Mais nous
constatons au quotidien, sur le terrain, que des personnes ont encore plus de
mal à boucler les fins de mois que d’habitude, et de plus en plus de
personnes sollicitent des aides alimentaires. L’enjeu social est
prioritaire et il nous faut y répondre. C’est d’ailleurs pour cela que le
gouvernement a mis en place une série d’aides exceptionnelles.
- Une aide d’urgence sera versée automatiquement à
4 millions de familles dans le besoin, ce qui permettra de toucher
5 millions d’enfants. Elle profitera à l’ensemble des familles au RSA
(revenu de solidarité active) ou à l’ASS (allocation de solidarité spécifique),
qui toucheront 150 euros. Et en plus de cela, toutes les familles touchant les
APL (aide personnalisée au logement), le RSA ou l’ASS bénéficieront en
plus de 100 euros par enfant. Nous avons décidé que cette aide soit versée
automatiquement par les CAF (Caisse d’allocations familiales) pour éviter le
non-recours de personnes qui auraient été éligibles à ce dispositif, mais
qui n’auraient pas forcément effectué les démarches pour l’obtenir.
- Cette aide a d’abord le mérite d’exister et elle est
importante, puisqu’elle représente en tout 900 millions d’euros. Elle
est aussi le témoin du fait que la réponse du gouvernement à la crise que nous
traversons est sanitaire, économique mais aussi sociale. Et elle
vient en complément d’autres aides que nous mettons en place : le
fonds de solidarité, les mesures concernant le chômage partiel, le plan d’aide
alimentaire de 50 millions d’euros… Personne ne peut appréhender ce
que seront les mois de juin et juillet en fonction de l’évolution
du marché de l’emploi. Ce qui est sûr, c’est que le gouvernement
poursuivra l’accompagnement social ces prochains mois, sous une forme ou
une autre.
- On ne laisse personne de côté : 260.000 familles
bénéficiaires de l’AAH et des APL vont aussi toucher l’aide
exceptionnelle de solidarité. L’objectif de celle-ci
est clair : soutenir les familles qui sont confrontées à une
hausse de leurs dépenses, notamment d’alimentation, en raison de la fin de
l’accès à la cantine pendant le confinement. Elle va bénéficier massivement aux
foyers qui ont été et sont toujours confrontés à cette situation.
- Début avril, les chèques-service visaient des personnes en
très grande précarité (SDF ou personnes résidant en centre d’hébergement
d’urgence). Chaque jour, 90.000 personnes en grande précarité en bénéficient.
Il y a dix jours, nous avons annoncé avec Christelle Dubos une enveloppe
supplémentaire de 39 millions d’euros pour l’aide alimentaire et pour
distribuer des chèques-service aux familles modestes. Près de 100.000 foyers
sont ainsi concernés.
- Dès le début de la crise, 10 millions d’euros
supplémentaires dédiés aux aides d’urgence ont été débloqués par
Frédérique Vidal [Ministre de l’Enseignement supérieur] pour les étudiants
en difficulté. Et il y a toujours un décalage entre l’annonce d’une aide et sa
mise en oeuvre technique, pour limiter au maximum les non-recours.
Parfois, il est plus efficace de prendre un peu de temps pour s’assurer
que les personnes éligibles à une aide la toucheront bien, plutôt
que de se précipiter. Dans tous les cas, l’aide que nous allons verser va
permettre à des jeunes précaires, étudiants ou non, de faire face à la baisse
de revenus à laquelle ils sont confrontés avec la fin des petits
boulots qu’ils occupaient.
- La priorité, pour les moins de 25 ans, est de les
accompagner pour leur permettre de trouver un emploi. Mais il est vrai qu’ils
ne bénéficient pas de filet de sécurité. Le gouvernement a toujours dit sur ce
point qu’il allait agir avec méthode, et que la question serait posée pour
la mise en place du RUA (Revenu universel d’activité). Les concertations sont
en cours sur le sujet. Rien n’est encore décidé.
- [Impayés de loyers] Nous n’avons pas de statistiques
consolidés sur le sujet, mais des indicateurs montrent que ce phénomène est en
expansion. Nous avons mis en place la plateforme «SOS loyers impayés»
(08 05 16 00 75), qui donne accès à des conseils d’experts
pour trouver des solutions individuelles. Depuis le début de la crise,
nous avons aussi mobilisé le Fonds de solidarité logement (FSL), géré par les
collectivités territoriales et doté de 350 millions d’euros, pour qu’il
accorde des aides financières aux personnes qui rencontrent des difficultés
pour payer leur loyer. Nous avons aussi mis en place un accompagnement
personnalisé par les bailleurs sociaux afin que des solutions
individuelles puissent être trouvées pour les locataires en difficulté
(étalement ou report des loyers).
- Nous l’avons déjà reportée au 31 mai, puis au
10 juillet. Cette question dépend de la situation dans laquelle le pays
sera mi-juillet. Ce qui est sûr, c’est qu’à deux reprises, la main du
gouvernement n’a pas tremblé pour reporter la fin de la trêve hivernale, et ce
pour éviter toute expulsion locative.
- Aujourd’hui, un chantier sur deux a déjà redémarré, il y
en avait un sur trois il y a dix jours. Il y a une envie de reprise chez les
salariés du secteur et chez les Français qui ont besoin de logements. Cette
reprise n’est pas facile, mais elle est faisable. Nous nous sommes d’ailleurs
assurés pour que les conditions sanitaires et juridiques soient
garanties pour cette reprise des chantiers.
- Beaucoup de Français sont retournés dans des agences
immobilières cette semaine et qu’ils sont confiants dans leur projet. Par
ailleurs, le confinement a été propice pour s’interroger sur de
nouveaux projets immobiliers. Ce qui est sûr, c’est que le marché sera un
élément majeur de la reprise économique de notre pays.
Frédérique Vidal
(ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’innovation)
- La recherche sur le vaccin prend
généralement plusieurs années. Le rythme des travaux en cours peut nous faire
espérer un vaccin à l’horizon de 18 mois.
- Nous apprenons beaucoup grâce à
l’essai clinique européen Discovery lancé en un temps record sous l’impulsion
de la France. Il est important qu’il puisse se poursuivre. Nous avons inclus la
quasi-totalité des patients prévus en France et nos partenaires débutent leurs
inclusions.
- Parcoursup
cette année c'est 950 000 candidats et plus de 7
millions de vœux confirmés. Pendant le confinement, les équipes étaient
pleinement mobilisées avec beaucoup de soutien par téléphone et en ligne. Les
premières réponses seront envoyées aux candidats ce mardi.
Cédric O (secrétaire
d’Etat chargé du numérique)
Le numérique doit être au cœur de la
sortie de crise et de la relance économique. Nous devons transformer notre
économie pour l’adapter aux défis à venir.
Agnès
Pannier-Runacher (secrétaire d'Etat auprès du ministre
de l'Economie et des Finances)
Pour relancer notre économie, nous proposons un plan de
relance massif reposant sur 4 éléments clés : solidarité entre Etats-membres,
indépendance et souveraineté industrielle, innovation et « Green
deal ».
Brune Poirson
(secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique et
solidaire)
Ils s’appellent Kavak, Dabo, Mohamed,
ou encore Youssef et durant tout le confinement ils ont continué à travailler
pour collecter et trier nos déchets. Si nos poubelles n’ont pas débordé, c’est
grâce à eux. Mon premier déplacement était pour leur dire : merci.
Marlène Schiappa
(secrétaire d’Etat à l’Egalité hommes-femmes et à la Lutte contre les
discriminations)
- Nous allons mettre en place en plus
des « appels d’initiatives ». Des membres des forces de l’ordre et de plusieurs
services sociaux vont s’appliquer à prendre des nouvelles de femmes déjà
confrontées à des violences.
- Merci de tout cœur aux
enseignant/es qui se démènent pour préparer des classes et des cours de
récréations sécurisées mais ludiques et agréables pour les élèves.
- Durant la première semaine de mai,
par exemple, 2 181 appels ont été pris en charge par le 3919. Autant d’appels
en une semaine qu’en 1 seul mois l’année dernière. Tout ce qui permet de
signaler les violences conjugales va rester.
● LaREM
[Nota: dans ce parti,
les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent de
droite ou de gauche ne sont pas retranscrits]
Richard Ferrand
(président de l’Assemblée nationale)
Ils ont durement subi les semaines de
confinement, ils déploient une énergie formidable pour s’adapter et fournir un
service de qualité en garantissant la sécurité de tous : les commerces de nos
communes font vivre nos territoires. Aidons-les, soutenons-les!
Gilles
Le Gendre (président du groupe à l’Assemblée nationale)
Les députés LaREM s’engageront aux côtés d’Emmanuel Macron et dygouvernement pour la réussite de
Plan Hôpital. Au
bénéfice partagé des soignants et des patients. Nous devrons tirer toutes les
leçons du fonctionnement inédit et des exploits réalisés durant COVID19.
●MoDem
Bruno Fuchs (député)
Revalorisation, investissements, organisation
sont pour moi les 3 piliers d’un plan de transformation de l’Hôpital.
Frédéric
Petit (député)
N'en déplaise aux Cassandre. L'Europe n'est pas morte. Elle
fonctionne et le montre encore ajd dans son soutien indéfectible aux pays et régions en difficulté.
● Autres
(Personnalités ou
organisations centristes)
Jean-Pierre Raffarin
(ancien premier ministre)
- Le tourisme c’est le partage d’un
art de vivre. Notre convivialité nationale va souffrir de la distanciation.
L’Etat doit soutenir les initiatives innovantes qui associent le tourisme et la
culture, la nature, le sport,...Chaque ministère devrait avoir une ligne
tourisme.
- Les crises et la Paix ne font pas
bon ménage. La pandémie a déjà porté un rude coup au multilateralisme et les
tensions internationales prospèrent. L’Afrique concentre crises et tensions.
Multilateralisme et Afrique deux urgences.
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