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► France
● Emmanuel Macron
(Président de la République)
- Comme je m’y étais engagé devant nos concitoyens, j’ai
réuni ce matin le premier Conseil de défense écologique.
- Sur les sujets d’écologie, nous avons besoin que la
totalité du gouvernement soit mobilisée.
- Sur les sujets d’écologie, le temps n’est plus à la
parole. Il y a eu ce temps-là. Il y eu le temps où l’on prenait des lois pour
les autres, pour après. Depuis deux ans, nous sommes dans le moment où nous
devons prendre des décisions pour aujourd’hui, pour maintenant.
- Beaucoup a été fait en deux ans. Il importe de faire le
bilan, de voir où nous en sommes, ce qui a été réussi, ce qui n’a pas été
réussi, voir les détails de la bonne mise en œuvre des plans climat et
biodiversité.
- La plus grande démocratie du monde a voté. Je félicite
chaleureusement le Premier ministre Narendra
Modi, et me réjouis de le revoir bientôt pour approfondir le partenariat
stratégique entre la France et l’Inde.
● Gouvernement
Edouard Philippe (Premier
ministre)
- Avec le Haut Conseil pour le climat et la convention
citoyenne pour la transition écologique qui sera lancée au mois de juin, la
France va désormais disposer d’une méthode et d’une gouvernance inédite.
- La querelle politicienne et le "French bashing"
ne doivent pas masquer l’essentiel : très peu de pays ont fait autant que la
France en matière de transition écologique ces dernières années.
Bruno Le Maire (ministre
de l’Economie et des Finances)
- Nous croyons dans la reprise d’Ascoval par British Steel.
Le repreneur a confirmé qu’il tiendra ses engagements financiers. Il se rendra
sur le site en fin de semaine prochaine. Le projet est viable, l’aciérie a un
avenir.
- La loi PACTE vient d'être promulguée. Elle va donc devenir
une réalité pour des millions d'entrepreneurs et de salariés, en simplifiant la
vie des entreprises, en partageant mieux la valeur avec les salariés, en
redéfinissant le rôle de l’État et des entreprises dans l’économie.
Français de Rugy (Ministre
de la Transition écologique et solidaire)
- Fin des forages pétroliers, aides à l'isolation, au
changement de voiture, de chaudière, fin du charbon : nous sommes les 3e plus
ambitieux d'Europe pour le climat. Les 1ers résultats : -4,5% d'émissions de
CO2 en 2018. Beaucoup reste à faire mais nous sommes sur la bonne voie !
- Aujourd'hui, nous accélérons pour la biodiversité :
création d'une aire marine protégée dans les Terres australes et antarctiques
françaises, création ou extension de 20 réserves naturelles nationales d'ici
2022, renforcement de la lutte contre l'artificialisation des sols.
- Sortie du glyphosate en 3 ans - nous sommes les seuls à le
faire en Europe -, -50% des pesticides d'ici 2025, interdiction des pailles et gobelets
en plastique, création d'un nouveau parc national, ... La protection de la
biodiversité est au cœur de l'action du gouvernement.
- Pour le climat, nous allons plus loin : 1 milliard d'euros
de prêts en plus pour la rénovation énergétique, contribution de l'aérien au
financement des transports propres, refus systématique de signer un accord
commercial avec un pays qui ne s'inscrit pas dans l'Accord de Paris.
- Le projet Montagne d’Or est incompatible avec nos
exigences de protection de l’environnement qui doivent être au cœur de tous les
processus miniers. C’est pourquoi nous allons réformer le code minier pour
qu’elles concernent demain tous les projets.
Agnès
Pannier-Runacher (secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie et des
Finances
Il faut arrêter de raconter n'importe quoi sur Ascoval:
l’entreprise n'est pas en faillite. De même, Bristish Steel – qui ne possède
pas Ascoval mais appartient au même actionnaire – n'est pas en faillite mais en
"procédure collective", l’équivalent du redressement judiciaire.
► Union européenne
● Belgique
Maxime Prévot (cdH, président)
- Pour le cdH, il faut rassembler, fédérer plutôt
qu’opposer, diviser c’est l’engagement que nous formulons et que nous
tiendrons!
- La justice a été mon premier combat ! Nous en avons fait
une condition de participation gouvernementale, il faut la refinancer! Il
faut+de magistrats,+ de juges pour qu’il y ait moins de souffrance, c’est une
obligation légale mais aussi morale !
- Comment financer notre programme politique ? Le bureau
fédéral du plan a validé le financement des mesures de notre programme !
- Nous devons rééquilibrer les choses, nous avons un régime
fiscal qui date de l’après guerre qui n’intègre pas la transition écologique,
la révolution numérique, nous devons agir sur les salaires les plus bas !
- Il faut réinvestir dans les transports en commun! Le cdH
défend un péage inversé, une dynamique plus positive qui n’est pas
stigmatisante ou culpabilisatrice. Le cdH ne veut pas prendre dans la poche des
travailleurs alors qu’on n’arrête pas de parler de pouvoir d’achat
- Nous devons nous fédérer sur les enjeux climatiques. On
doit mieux habite la terre
- Nous devons améliorer la qualité de vie de chacun quelque
soit sa situation, son lieu de vie, zone rurale ou urbaine, quelque soit son
origine parce que ce qui fait la richesse, la valeur ajoutée de notre société, ce
sont les liens qui sont tissés!
- Nous proposons au cdH, le délai de 3 mois pour fixer les
demandeurs d’asile. Aujourd’hui des familles attendent 5,8, 10 ans avec des
enfants scolarisés, une vie de famille créée, ce n’est pas normal!
- Le pouvoir d’achat c’est ce que l’on gagne et ce que l'on
paye, il faut agir sur les deux aspects
pour pouvoir (sur)vivre. Agissons sur les leviers du logement car le coût du
loyer pèse lourdement dans les budgets des ménages et sur les coûts de soins de
santé.
- Nous avons une obligation de solidarité pour ceux qui
quittent des scènes de guerre, de violences. On a aussi un devoir de
responsabilité. La politique menée ces dernières années a été indigne pour un
pays comme le nôtre.
- Le maintien des centres fermés pour les enfants: non. Pour
un parti comme le notre qui met l’humain au centre de son projet, enfermer un
enfant dans un centre c’est aux antipodes de nos valeurs. Au cdH, nous ne
l’accepterons pas.
- Le climat doit être une priorité du prochain gouvernement.
Des gens ont du mal à nouer les deux bouts, il faut les accompagner et non les
culpabiliser: isolation des bâtiments, circuits courts,…il faut être dans une
démarche vertueuse plutôt que vert tueuse.
► Monde
● Canada
Justin Trudeau (Premier
ministre)
- On offre à la Nation crie Poundmaker des excuses pour les
injustices historiques, les difficultés et l'oppression qu’elle a subies.
J'espère que cette exonération marquera un nouveau départ vers un avenir
meilleur, alors qu’on continue ensemble sur la voie de la réconciliation.
- Le chef Poundmaker était un leader honorable qui a
toujours lutté pour la paix. En 1885, le Canada l'a traité à tort comme un
criminel et un traître. Aujourd'hui, on l'innocente totalement et on l’honore
en tant qu'homme d'État et artisan de la paix.
● Etats-Unis
Joe Biden (Parti démocrate,
candidat à la primaire des présidentielles de 2020)
- Nous sommes nés d'une idée selon laquelle chaque personne
- peu importe d'où elle vient - peut tout accomplir si elle y travaille.
- Notre politique aujourd'hui est devenue si mesquine et médiocre:
elle divise et notre président est le diviseur en chef. Ce n'est pas qui nous
sommes.
- Je sais comment faire fonctionner le gouvernement - non
pas parce que j’en ai parlé ou tweeté. Mais parce que je l’ai fait.
- Je suis fier d’être aux côtés des travailleurs de tout le
pays aujourd’hui. Nous devons restaurer la dignité du travail et veiller à ce
que tout le monde soit traité avec respect. Cela commence par l'augmentation du
salaire minimum à 15 dollars, le renforcement de nos syndicats et la création
de milieux de travail sécuritaires.
- Au cours de la dernière année, six enfants sont morts
tragiquement sous la garde des États-Unis à la frontière. C’est inacceptable.
Ce n’est pas ce que nous sommes. Et le silence est complicité. C’est à nous
tous de prendre la parole. L'Amérique est une nation d'immigrés. Nous devons
garantir à chacun d'être traité avec dignité.
- Au cours des 25 années écoulées depuis l’adoption de la
loi sur la violence à l’égard des femmes, nous avons fait de grands progrès
dans la protection des femmes contre les abus. Mais la dernière réautorisation
est bloquée au Sénat. C’est scandaleux. Cela ne devrait pas être une question
partisane – le Sénat devrait adopter la loi sur la violence à l’égard des
femmes immédiatement.
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