Voici une sélection des derniers propos tenus par des
centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux.
Jean-Michel Blanquer (ministre
de l’éducation)
- La non-fermeture d’écoles primaires, est une mesure
historique. Elle rompt avec des décennies de fermetures massives dues à l’exode
rural. De plus, il y aura beaucoup plus d’ouvertures que de fermetures de
classes. Pour tenir compte simplement du nombre d’élèves dans chaque école
- L’école, c’est la vie d’un village. Nous voulons que les
écoles primaires rurales persistent. Plus aucune école ne fermera sans l’avis
favorable du maire.
-L’école primaire est plus que jamais notre priorité. Avec
une attention particulière pour l’école primaire rurale, essentielle pour la
vie de tous nos territoires. Pour la première fois depuis plusieurs décennies,
nous mettons fin aux fermetures d’écoles dans les villages: Aucune école
primaire ne sera fermée "sans un avis favorable du maire",
Julien Denormandie (ministre
du logement)
Le Grand Débat a été un moment démocratique historique.
Le drame de notre pays, plus que l’inégalité salariale,
c’est l’injustice de destin
Stanislas Guerini (LREM,
délégué général)
Je n’ai jamais confondu les Gilets jaunes. Il y a ceux des
ronds-points qui ont exprimé des revendications sociales, à qui on apporte des
réponses concrètes. Il y a ceux du samedi dont les Français ne peuvent plus,
pour qui la seule réponse doit être l’ordre républicain.
Aurore Bergé (LREM, porte-parole)
Alors que ce dimanche aura lieu dans nos communes la journée
du souvenir pour les victimes de la déportation, des Juifs ont été pris pour
cibles ce soir encore parce qu'ils sont Juifs. Notre combat contre
l'antisémitisme n'aura jamais de relâche.
Laurianne Rossi (LREM,
députée)
Nous n’avions pas attendu le mouvement des gilets jaunes
pour redonner du pouvoir d’achat aux français. Nous irons encore plus loin.
Yaël BraunPivet (LREM,
députée)
Un virage à 180 degrés aurait trahi le choix démocratique
des électeurs en 2017. Mais nous changeons de méthode en associant mieux les
citoyens à la décision et nous allons plu loin en développant les maisons de
service public ou en accélérant la baisse des impôts.
François Bayrou (MoDem,
président)
- La France est à la recherche d'un grand projet national,
où chacun doit avoir sa chance. La philosophie des mesures du Président de la
République va dans ce sens.
- Les choses proposées par le président de la République
sont les choses les plus profondes qu'on pouvait proposer.
- Ces annonces sont une révolution! Pas seulement les
mesures, mais la philosophie autour de ces mesures: le progrès pour tous en
demandant le meilleur de chacun. (…)C'est la réponse aux inquiétudes de toutes
les démocraties occidentales.
- Une intervention de cet ordre doit être à la hauteur
symbolique nécessaire, ce fut le cas ce jour-là.
- J'ai toujours soutenu l'idée de baisser le nombre de
parlementaires. Mon souhait est un Parlement fort qui puisse faire preuve
d'autorité, avec une meilleure organisation.
- Il faut rendre une réalité à la méritocratie française.
- Emmanuel Macron propose un projet de société qui porte sur
ce que nous avons de plus précieux.
- Dans le moment où sommes, il y a besoin que l'économie
soit soutenue. Il faut de l'investissement, c'est ce qui ressort du projet du
Président.
- [Ecologie absente
du débat] Le président de la République voulait apporter des précisions mais
les journalistes n'ont pas posé les questions.
- L'effet de la proportionnelle dépend de la façon dont on
attribue les siège : ou tout le monde pioche dans un pot commun ou cela permet
de compenser la représentation parlementaire.
- Il serait intéressant que les décisions sur les 80km/h
soient prises au plus près, au niveau local, selon la dangerosité de la route
en question. Je trouve que ça devrait être des arbitrages locaux.
- La France a une tradition trop jacobine, il faut
décentraliser certaines décisions
Jean-Louis Borloo (ancien
ministre, fondateur de l’UDI)
- La démocratie représentative est formidable. Je veux
rendre hommage aux 500.000 élus locaux français. Ce sont les vrais hussards de
la République. Je sais qu’il est de bon ton de remettre en cause la démocratie
représentative mais attention, pour l’instant, on n’a pas trouvé mieux.
- Je pense que cette crise aura peut-être été salutaire car
elle aura ouvert les yeux d’une oligarchie brillante mais qui pensait tout
savoir et qui était en train de construire des éléments de grandes difficultés
dans notre pays". Mais comme ce sont des gens intelligents, j’ai bon
espoir qu’ils aient vraiment compris ce qu’il s’est passé. Qu’ils raisonnent
différemment.
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