Emmanuel Macron |
Selon
Emmanuel Macron, il mène une «politique de justice et de mérite» et qu’il
l’«assume totalement».
Quant
aux Français qui «chaque jour, étudient, travaillent, s’occupent de leurs
familles, veulent bien vivre, vivre le mieux possible, construire un avenir
pour leurs enfants et veulent que la France soit ce pays où ils peuvent
construire cet avenir et où il y a un progrès pour chacun et redevienne un pays
fort, je veux leur dire que c’est mon projet».
En
outre, il a affirmé que «les réformes vont continuer».
Défendant
son action depuis un an, lors d’un entretien sur BFMTV, il a estimé que «nous
avons mis fin à l’impuissance française».
Notamment
parce que «nous avons profondément transformer le pays pour reconstruire les
bases d’une économie plus solide qui produise et se faisant peut être plus
juste» et que «nous avons aussi construit les bases pour une éducation plus
juste (…) pour plus d’égalité».
Et
de poursuivre en déclarant qu’il s’agissait d’«une transformation qui n’a
jamais été faite en matière d’éducation» et d’«une transformation du monde du
travail qui a pour but plus de souplesse et de meilleurs protections».
Dans
la foulée, il a expliqué que s’il «ne bloque pas ceux qui sont en train de
réussir», c’est «parce que je pense que ceux qui réussissent sont bon pour le
pays mais je leur demande d’investir, d’embaucher, de faire davantage, d’être
responsables dans le pays».
Et
de rappeler quel était l’état de la France à son arrivée à l’Elysée:
«Est-ce
que le système dans lequel nous vivions était bon et juste? Un système qui
faisait de la reproduction sociale à l’école (…) un système qui fait que l’on
vit depuis des décennies dans un chômage de masse (…) et où parmi les grands
pays européens le chômage des jeunes est le plus élevé.»
Quant
aux mouvements sociaux initiés par certains syndicats et qui ont un aspect
souvent plus politique que social, il a été très clair:
S’il
a «besoin des syndicats pour animer la démocratie sociale», ceux-ci «ne
sauraient se substituer à la représentation nationale et à la légitimité
populaire».
Par
ailleurs, il a estimé que les «engagements que j’ai pris pendant la campagne,
je les ai faits».