lundi 17 avril 2017

Présidentielle 2017. Sondage: Macron en hausse, Fillon et Mélenchon en baisse

Les 11 candidats à la présidentielle 2017
Selon un sondage Odoxa pour l’Express et BFMTV, Emmanuel Macron demeure en tête des intentions de vote au premier tour de la présidentielle avec 24% (+0,5 point) devant Marine Le Pen (23%).
Il devance en outre François Fillon (19,5%) et Jean-Luc Mélenchon (18%) en baisse.
On trouve ensuite Benoit Hamon (8%), Nicolas Dupont-Aignan (4%) et Philippe Poutou (2%), les autres candidats à 1% ou moins.
Au second tour, Emmanuel Macron l’emporte avec 62% des intentions de vote contre 38% à la candidate d’extrême-droite (il bat également Fillon avec 65% des intentions de vote et Mélenchon avec 59%).
(Sondage Odoxa réalisé les 16 et 17 avril 2017 par internet auprès d’un échantillon de 1501 personnes âgées de plus de 18 ans et représentatives de la population française / méthode des quotas / marge d’erreur de 3 points)

Alexandre Vatimbella



A lire aussi:


Présidentielle 2017. Sondage «rolling»: Macron passe en tête et distance Fillon et Mélenchon de 4,5 points

Emmanuel Macron
Voici les résultats du sondage Ifop «rolling» (quotidien) pour Paris Match, CNews et Sud radio publié aujourd’hui.
Il met Emmanuel Macron en tête avec 23% des intentions de vote devant Marine Le Pen à 22,5% au premier tour et 60% pour Macron contre 40% pour Le Pen au second tour.
Emmanuel Macron est donc devant Marine Le Pen au premier tour tout en distançant François Fillon et Jean-Luc Mélenchon et possède une avance substantielle de 20 points sur la candidate d’extrême-droite au second tour.
Viennent ensuite, au premier tour François Fillon et Jean-Luc Mélenchon à 19,5%, Benoit Hamon à 7,5%, Nicolas Dupont-Aignan à 4%, Philippe Poutou à 1,5% (les autres candidats à 1% ou moins).
Pour information, voici les résultats du sondage Opinionway «rolling» pour Les Echos et Radio classique (pour lequel nous avons émis quelques réserves) publié aujourd’hui avec Emmanuel Macron également en tête et avec 28 points d’avance au second tour.
Emmanuel Macron et Marine Le Pen (22%), François Fillon (21%), Jean-Luc Mélenchon (18%), Benoit Hamon (8%), Nicolas Dupont-Aignan (3%), Philippe Poutou et Jean Lassalle (2%), les autres candidats à 1% ou moins.
Au deuxième tour: Macron (64%), Marine Le Pen (36%).
Macron est donc derrière Le Pen au premier tour mais la devance de 26 points au second tour.
(Sondage «rolling» Ifop réalisé quotidiennement par internet auprès d’un échantillon de 1500 personnes – dont 500 interrogées quotidiennement par roulement –  âgées de plus de 18 ans et représentatives de la population française / méthode des quotas / marge d’erreur de 3 points // Sondage «rolling» Opinionway réalisé quotidiennement par internet auprès d’un échantillon de 1500 personnes – dont 500 interrogées quotidiennement par roulement – âgées de plus de 18 ans et représentatives de la population française / méthode des quotas / marge d’erreur de 3 points)

Alexandre Vatimbella



A lire aussi:


Présidentielle 2017. Macron: «notre bien commun à tous, c’est la démocratie»

Lors d’une interview sur BFMTV, Emmanuel Macron a estimé que «notre bien commun à tous, c’est la démocratie» alors même que cette élection présidentielle fait la part belle aux extrémistes de droite et de gauche qui la remettent plus ou moins en cause et aux candidats accusés de malhonnêteté par la justice.
Il a également estimé que Jean-Luc Mélenchon était un homme d’extrême-gauche de par ses propos et ses positions qui rappellent ceux et celles du Parti communiste français d’hier et d’aujourd’hui.
En outre, il affirmé que, pour le poste de premier ministre, il prendrait une personnalité politique (homme ou femme) chevronnée car, pour ce poste, il convient d’avoir une capacité et une expérience politiques fortes.
Ce qui ne serait pas le cas pour les autres postes de ministres où il devrait y avoir, dans un gouvernement Macron, beaucoup de membres de la société civile.
Ensuite, pour faire taire les rumeurs naissantes qui vont tenter de polluer la dernière semaine de sa campagne avant le premier tour, il a détaillé ses revenus passés et présents, il a indiqué qu’il n’avait pas fait d’héritage de plusieurs millions comme le font croire des «trolls» sur internet, pas plus qu’il n’a de comptes à l’étranger, notamment dans des paradis fiscaux comme commencent à le répandent des journalistes affiliés selon lui à certains candidats.
Il a annoncé que son plan d’économie des deniers publics concernerait, à la fin de son mandat, 60 milliards d’euros par an et que sur cette somme, dix milliards seraient consacrés à des aides pour la création d’emplois et à la compétitivité pour les entreprises françaises et que dix autres milliards financeront l’exonération de la taxe d’habitation pour 80% des ménages français (précisant donc que les communes n’auront rien à payer ou à financer pour une telle mesure).
Enfin, il a expliqué qu’il n’avait jamais attendu pas de ralliements mais qu’il se félicitait des nombreux soutiens de personnalités de tous bords politiques à sa candidature.

Alexandre Vatimbella



A lire aussi: