Même s’il y met de nombreuses conditions, Jean Arthuis ne dirait pas non si on lui proposait de remplacer Christine Lagarde au poste de ministre de l’Economie, une fois celle-ci nommée directrice du FMI (Fonds monétaire international).
C’est ce que leader d’Alliance centriste a indiqué, une nouvelle fois, ce week-end, cette fois-ci à l’hebdomadaire VSD. Il a ainsi déclaré, «si on m’autorise à instaurer une TVA sociale, si je peux réduire le mille-feuille administratif, supprimer les niches fiscales qui nous coûtent 75 milliards, et créer une tranche d’impôt supérieure à 45 %, eh bien j’accepterai le poste».
Il est peu probable que ces conditions soient remplies mais l’offre de service, elle, est là si l’on considère qu’un homme politique ne fait jamais de déclaration vide de sens et que celle-ci se trouve affichée sur le site de son parti, Alliance centriste.
Ainsi, Jean Arthuis indique, malgré tout, qu’il pourrait accepter de travailler dans un gouvernement de Nicolas Sarkzoy. Une prise de position qui semble aller à l’encontre de ses positions sur l’indépendance du Centre à moins d’un an de la présidentielle et alors que les allies centristes du président de la république semblent plutôt s’éloigner de ce dernier....
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