Interrogé par le site internet Marianne2, Jean Arthuis estime que l’Alliance centriste, dont il est le président, «est toujours dans le projet de confédération» des centres dont il a été l’initiateur au début de l’année.
D’autant qu’il a été satisfait par la décision du Parti radical de quitter l’UMP: «la première condition que j’avais posée était l’indépendance politique, ce qui s’est passé ce weekend». Cependant, il ne peut accepter le positionnement de Jean-Louis Borloo qui se considère dans la majorité présidentielle: «c’est inimaginable qu’il y ait deux candidats de la majorité, il faut que les choses se clarifient».
Jean Arthuis espère malgré tout que les conditions seront réunies pour que sa formation fasse partie de la confédération, choix qui sera décidé lors du congrès de l’Alliance centriste, le 2 juillet prochain à Angers.
Et, parmi elles, il y a la présence de François Bayrou dans l’aventure: «je vivrai comme un échec qu’il y ait deux candidats centristes, cela amenuise nos chances. Je vais être l’avocat inlassable du rassemblement intégral!».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires anonymes ne sont pas publiés ainsi que ceux qui seraient insultants ou qui ne concernent pas le Centre et le Centrisme.