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jeudi 14 juin 2007
Actualités du Centre. Législatives 2007 - Daniel Cohn-Bendit appelle le PS et le Mouvement démocrate à s’entendre
Le député Verts européen, Daniel Cohn-Bendit, a appelé jeudi le PS et le MoDem de François Bayrou a arrêter ce jeu de « poker menteur » électoral, et à discuter ouvertement du second tour des législatives pour favoriser le pluralisme à l'Assemblée nationale. « Les électeurs du MoDem doivent voter pour les candidats Verts ou socialistes. Le PS doit arrêter de mentir: au niveau national on refuse de négocier avec le MoDem et dans le cadre des circonscriptions tout le monde négocie avec le MoDem, ça devient impossible », a déclaré le député Verts sur France 2. Le député européen a apporté son soutien à la stratégie d'alliance PS-MoDem souhaité par Ségolène Royal, appelant à l'arrêt de ce « poker menteur » électoral. « Il y en a assez de ce positionnement politique qui est un positionnement mensonger. La position de Ségolène Royal c'est du bon sens. Ce que je trouve ridicule c'est que François Bayrou et Ségolène Royal ne se soient pas rencontrés pour discuter de la chose, et que l'on fasse les choses en catimini et à moitié, ça déshonore la politique », a conclu l'ancien leader de Mai 68.
Actualités du Centre. Irlande - Bertie Ahern (centre droit) réélu Premier ministre pour un 3e mandat consécutif
Par Andrew BUSHE (AFP)
Le Premier ministre irlandais Bertie Ahern a été réélu jeudi pour un troisième mandat consécutif par le nouveau Parlement issu des élections législatives du 24 mai et mènera une coalition comprenant pour la première fois le parti écologiste. M. Ahern, 55 ans, au pouvoir depuis 1997, avait été proposé pour être reconduit à son poste par son parti de centre droit, le Fianna Fáil, arrivé en tête du scrutin avec 78 sièges. Il a été réélu dans l'après-midi, au cours de la première réunion du nouveau Dail, chambre basse irlandaise qui compte 166 députés, par 89 voix contre 76 (le speaker, membre du Fianna Fáil ne votant pas). Sa réélection a été accueillie par une ovation.
M. Ahern devient le premier Taoiseach (Premier ministre) à être élu pour trois mandats successifs de cinq ans, à la tête de gouvernements de coalition. Il est désormais l'un des plus anciens dirigeants de l'Union européenne. « Je me réjouis de l'opportunité de servir les gens dans les années à venir avec mes collègues du parti Vert et des Démocrates progressistes et le soutien de tous ceux qui voient les mérites de notre programme », a-t-il déclaré. Il a axé son discours sur la paix conclue en Irlande du Nord après la relance d'un gouvernement partagé entre protestants et catholiques, sous l'égide de Dublin et Londres début mai. « La paix sera toujours la cause la plus chère à mon cœur », a-t-il assuré. « Il existe maintenant entre les Britanniques et les Irlandais, entre les Nationalistes et les Unionnistes, un consensus sur notre avenir commun. Ce n'est pas la fin de l'histoire, mais un nouveau commencement ».
Ne disposant pas de la majorité absolue au Dail, M. Ahern a dû former une nouvelle coalition. Après dix jours d'intenses négociations, il est parvenu à un accord mercredi avec le chef des Verts Trevor Sargent, qui a annoncé dans la foulée sa démission. Les Verts (six sièges) entrent ainsi pour la première fois au gouvernement, où ils obtiennent deux portefeuilles de ministres: ceux du Gouvernement local et des Communications, Energie et Ressources naturelles. Le vice-Premier ministre est Brian Cowen, du Fianna Fáil, le successeur pressenti de M. Ahern. Cette coalition comprend aussi les Démocrates progressistes (deux sièges), partenaire historique des gouvernements Ahern depuis 1997 mais qui ont perdu six sièges. Quatre députés indépendants sur cinq ont enfin décidé d'apporter leur soutien à M. Ahern sans rejoindre formellement la coalition, qui disposera donc d'une majorité absolue.
La deuxième force politique du pays, le parti de centre gauche Fine Gael ne compte que 51 sièges. Malgré un scrutin annoncé comme serré, M. Ahern avait su désamorcer les attaques à son encontre et convaincre les électeurs qu'il était toujours le mieux placé pour diriger le pays, faisant preuve d'une longévité politique record en Irlande. Après les élections, Bertie Ahern dont la réputation de négociateur n'est plus à faire avait indiqué qu'il voulait constituer une coalition stable pour diriger l'Irlande pendant un mandat complet. M. Ahern, homme politique roué dont les Irlandais apprécient la simplicité et qu'ils appellent par son prénom, a précisé qu'il n'envisageait pas de quitter son poste avant ses 60 ans qui coïncideront avec les prochaines élections législatives. Il a été réélu député dans sa circonscription à Dublin mais avait été attaqué au cours de la campagne électorale dans les médias à la suite de soupçons sur des revenus perçus au début des années 1990. Il a clamé son innocence et un procès est en cours.
Le Premier ministre irlandais Bertie Ahern a été réélu jeudi pour un troisième mandat consécutif par le nouveau Parlement issu des élections législatives du 24 mai et mènera une coalition comprenant pour la première fois le parti écologiste. M. Ahern, 55 ans, au pouvoir depuis 1997, avait été proposé pour être reconduit à son poste par son parti de centre droit, le Fianna Fáil, arrivé en tête du scrutin avec 78 sièges. Il a été réélu dans l'après-midi, au cours de la première réunion du nouveau Dail, chambre basse irlandaise qui compte 166 députés, par 89 voix contre 76 (le speaker, membre du Fianna Fáil ne votant pas). Sa réélection a été accueillie par une ovation.
M. Ahern devient le premier Taoiseach (Premier ministre) à être élu pour trois mandats successifs de cinq ans, à la tête de gouvernements de coalition. Il est désormais l'un des plus anciens dirigeants de l'Union européenne. « Je me réjouis de l'opportunité de servir les gens dans les années à venir avec mes collègues du parti Vert et des Démocrates progressistes et le soutien de tous ceux qui voient les mérites de notre programme », a-t-il déclaré. Il a axé son discours sur la paix conclue en Irlande du Nord après la relance d'un gouvernement partagé entre protestants et catholiques, sous l'égide de Dublin et Londres début mai. « La paix sera toujours la cause la plus chère à mon cœur », a-t-il assuré. « Il existe maintenant entre les Britanniques et les Irlandais, entre les Nationalistes et les Unionnistes, un consensus sur notre avenir commun. Ce n'est pas la fin de l'histoire, mais un nouveau commencement ».
Ne disposant pas de la majorité absolue au Dail, M. Ahern a dû former une nouvelle coalition. Après dix jours d'intenses négociations, il est parvenu à un accord mercredi avec le chef des Verts Trevor Sargent, qui a annoncé dans la foulée sa démission. Les Verts (six sièges) entrent ainsi pour la première fois au gouvernement, où ils obtiennent deux portefeuilles de ministres: ceux du Gouvernement local et des Communications, Energie et Ressources naturelles. Le vice-Premier ministre est Brian Cowen, du Fianna Fáil, le successeur pressenti de M. Ahern. Cette coalition comprend aussi les Démocrates progressistes (deux sièges), partenaire historique des gouvernements Ahern depuis 1997 mais qui ont perdu six sièges. Quatre députés indépendants sur cinq ont enfin décidé d'apporter leur soutien à M. Ahern sans rejoindre formellement la coalition, qui disposera donc d'une majorité absolue.
La deuxième force politique du pays, le parti de centre gauche Fine Gael ne compte que 51 sièges. Malgré un scrutin annoncé comme serré, M. Ahern avait su désamorcer les attaques à son encontre et convaincre les électeurs qu'il était toujours le mieux placé pour diriger le pays, faisant preuve d'une longévité politique record en Irlande. Après les élections, Bertie Ahern dont la réputation de négociateur n'est plus à faire avait indiqué qu'il voulait constituer une coalition stable pour diriger l'Irlande pendant un mandat complet. M. Ahern, homme politique roué dont les Irlandais apprécient la simplicité et qu'ils appellent par son prénom, a précisé qu'il n'envisageait pas de quitter son poste avant ses 60 ans qui coïncideront avec les prochaines élections législatives. Il a été réélu député dans sa circonscription à Dublin mais avait été attaqué au cours de la campagne électorale dans les médias à la suite de soupçons sur des revenus perçus au début des années 1990. Il a clamé son innocence et un procès est en cours.
Actualités du Centre. Législatives 2007 - Baromètre quotidien IPSOS : Nouveau Centre de 20 à 23 sièges ; Mouvement démocrate de 2 à 3 sièges / Sondage BVA : UMP & Nouveau Centre de 394 à 434 sièges ; Mouvement démocrate de 1 à 3 sièges
La majorité présidentielle obtiendrait entre 408 à 440 sièges et la gauche de 132 à 167 sièges lors du second tour des élections à 434 dimanche, selon la 21e vague du baromètre quotidien Ipsos/Dell pour SFR et Le Point, publiée jeudi. L'UMP et ses alliés (DVD/Nouveau Centre/MPF) totaliseraient une fourchette comprise entre 408 et 440 sièges. L'UMP et les Divers Droite obtiendraient de 386 à 415 sièges, le Nouveau Centre de 20 à 23 sièges et le MPF de Philippe de Villiers 2 sièges, selon le sondage. Pour le PS et ses alliés (PRG, MRC, DVG, PCF et Verts), les projections donnent entre 132 à 167 sièges. Le PS associé au PRG, MRC et Divers Gauche obtiendrait de 121 à 149 sièges, le Parti communiste de 10 à 15 sièges et les Verts de 1 à 3 sièges. Le Mouvement démocrate de François Bayrou est crédité de 2 à 3 sièges et aucun pour le Front National. La modélisation en sièges a été élaborée à partir des résultats du premier tour de chaque circonscription et des données du sondage pour les 184 circonscriptions incertaines (niveau d'intention de vote au second tour et reports de vote entre le 1er et le 2ème tour), indique l'enquête. Pour les autres circonscriptions, l'analyse des résultats du premier tour a permis d'attribuer le siège à l'un des grands courants politiques. Cette modélisation permet d'obtenir un résultat pour chaque circonscription. Leur somme conduit à des sièges pour chaque grand courant politique (PCF,PS/DVG, Verts, MoDem, Nouveau Centre, UMP/DVD et FN). Les résultats de cette modélisation doivent être appréciés dans leur globalité et ne peuvent être exploités par circonscription. Les résultats sont présentés en fourchette pour tenir compte des éléments d'incertitude. Ils ne constituent pas une prévision de la composition de la future assemblée. Dans les 184 circonscriptions incertaines, 40% des personnes interrogées ont souhaité une victoire de la droite et 42% une victoire de la gauche. 18% des personnes interrogées n'ont pas répondu. Concernant un duel entre le Parti communiste et la droite dans 17 circonscriptions où le PCF pourrait l'emporter, 47% des personnes interrogées se sont prononcées pour la victoire du candidat de gauche et 36% pour celui de la droite. 17% des personnes interrogées n'ont pas répondu.
(Sondage, a été réalisé auprès de 603 personnes interrogée le 13 juin constituant un échantillon représentatif de la population iscrite sur les listes électorales dans les 17 circonscriptions où le Parti communiste pourrait l'emporter / méthode des quotas)
Par ailleurs, selon une projection de l'institut BVA pour Orange et la Presse régionale, UMP, le Nouveau centre et les divers droite obtiendraient entre 394 et 434 sièges à l'issue des élections législatives tandis que le Parti socialiste en compterait de 105 à 131. Le Parti communiste obtiendrait entre 10 et 16 députés, ce qui serait insuffisant pour constituer un groupe, les Verts auraient 3 ou 4 élus, le Mouvement démocrate de François Bayrou 1 à 3 (projection faite sur 555 députés de France métropolitaine). Dans l'Assemblée nationale sortante, les députés UMP et apparentés sont 359, les PS et apparentés 149, les communistes et républicains 21 et les UDF et apparentés 29. Les députés non inscrits sont 14, dont trois Verts. Selon le sondage de BVA, 53% des personnes interrogées souhaitent la victoire de la droite (+3 par rapport au 7 mai) et 40% celle de la gauche (-4), soit 13 points d'écart, 7% ne sachant pas (+1). Les électeurs de François Bayrou du 22 avril dernier souhaitent très majoritairement une domination parlementaire de la droite (56%) plutôt que de la gauche (35%). L'intérêt pour la campagne électorale a faibli par rapport à ce que montrait une enquête précédente des 14 et 15 mai: 61%, contre 77% à l'époque, se disent intéressés alors que 39% se disent "pas intéressés" aujourd'hui contre 22%. Ce sont les électeurs de Ségolène Royal du 22 avril qui se disent les moins intéressés: 61% seulement, contre 69% pour les électeurs de François Bayrou et 71% pour ceux de Nicolas Sarkozy. Les Français attendent toujours que le nouveau gouvernement s'occupe en priorité duchômage, du pouvoir d'achat et de la pauvreté-précarité. Le thème du pouvoir d'achat est celui qui a le plus progressé récemment dans l'opinion en termes de priorité. La confiance faite au gouvernement pour améliorer la situation du pouvoir d'achat a en revanche baissé de six points, à 50% contre 56%, entre les 21 et 22 mai et cette nouvelle enquête.
(Sondage réalisé par téléphone le 12 juin auprès d'un échantillon de 806 personnes inscrites sur les listes électorales, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus / méthode des quotas)
(Sondage, a été réalisé auprès de 603 personnes interrogée le 13 juin constituant un échantillon représentatif de la population iscrite sur les listes électorales dans les 17 circonscriptions où le Parti communiste pourrait l'emporter / méthode des quotas)
Par ailleurs, selon une projection de l'institut BVA pour Orange et la Presse régionale, UMP, le Nouveau centre et les divers droite obtiendraient entre 394 et 434 sièges à l'issue des élections législatives tandis que le Parti socialiste en compterait de 105 à 131. Le Parti communiste obtiendrait entre 10 et 16 députés, ce qui serait insuffisant pour constituer un groupe, les Verts auraient 3 ou 4 élus, le Mouvement démocrate de François Bayrou 1 à 3 (projection faite sur 555 députés de France métropolitaine). Dans l'Assemblée nationale sortante, les députés UMP et apparentés sont 359, les PS et apparentés 149, les communistes et républicains 21 et les UDF et apparentés 29. Les députés non inscrits sont 14, dont trois Verts. Selon le sondage de BVA, 53% des personnes interrogées souhaitent la victoire de la droite (+3 par rapport au 7 mai) et 40% celle de la gauche (-4), soit 13 points d'écart, 7% ne sachant pas (+1). Les électeurs de François Bayrou du 22 avril dernier souhaitent très majoritairement une domination parlementaire de la droite (56%) plutôt que de la gauche (35%). L'intérêt pour la campagne électorale a faibli par rapport à ce que montrait une enquête précédente des 14 et 15 mai: 61%, contre 77% à l'époque, se disent intéressés alors que 39% se disent "pas intéressés" aujourd'hui contre 22%. Ce sont les électeurs de Ségolène Royal du 22 avril qui se disent les moins intéressés: 61% seulement, contre 69% pour les électeurs de François Bayrou et 71% pour ceux de Nicolas Sarkozy. Les Français attendent toujours que le nouveau gouvernement s'occupe en priorité duchômage, du pouvoir d'achat et de la pauvreté-précarité. Le thème du pouvoir d'achat est celui qui a le plus progressé récemment dans l'opinion en termes de priorité. La confiance faite au gouvernement pour améliorer la situation du pouvoir d'achat a en revanche baissé de six points, à 50% contre 56%, entre les 21 et 22 mai et cette nouvelle enquête.
(Sondage réalisé par téléphone le 12 juin auprès d'un échantillon de 806 personnes inscrites sur les listes électorales, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus / méthode des quotas)
Actualités du Centre. Législatives 2007 - Hervé Morin indique que le Nouveau Centre défendra ses idées dans la majorité présidentielle
Le Nouveau centre, la nouvelle formation centriste créée par les ex-députés UDF en rupture avec François Bayrou, sera en mesure d'avoir un groupe parlementaire à l'Assemblée sauf « retournement électoral peu prévisible », déclare le ministre de la Défense Hervé Morin dans une interview au Figaro. Le Nouveau centre devrait compter « entre 22 et 25 » élus, explique M. Morin, qui est l'un des chefs de file du Nouveau Centre. « Nous aurons bien un groupe parlementaire, à moins d’un retournement électoral peu prévisible », ajoute-t-il, en précisant que le nouveau groupe devrait « créer les conditions d’un dialogue avec le groupe UMP ». « Notre soutien à Nicolas Sarkozy implique bien entendu notre loyauté à l’égard de la majorité. Mais cette exigence de loyauté n’est pas contradictoire avec le fait de défendre nos idées », déclare-t-il. Interrogé sur le nom du futur président du Nouveau centre, M. Morin répond que la question est en discussion, mais qu'une « grande majorité de parlementaires (lui) ont demandé » d'assumer ce rôle. « Mais je souhaite que nous ayons la direction la plus collective et le plus collégiale possible », ajoute-t-il. M. Morin estime par ailleurs que M. Bayrou aurait dû « aller jusqu'au bout de sa logique et passer un accord avec le PS ». « Chaque député centriste aurait alors pris ses responsabilités : soit s’allier avec le PS, soit rejoindre la nouvelle majorité présidentielle. Les choses auraient été plus claires », indique-t-il. Selon lui, les candidats du MoDem « ne pourront être élus qu'avec un accord explicite ou implicite avec le PS ».
Actualités du Centre. Pour François Sauvadet, le choix de François Bayrou « manque beaucoup de lisibilité »
François Sauvadet, réélu dimanche député de la Côte d'Or sous l'étiquette Nouveau Centre (NC), estime que François Bayrou, dont il fut longtemps un proche, risque de connaitre un grand isolement. « Je crois qu'il a choisi sa route qui n'est pas la nôtre », a-t-il dit dans le cadre du journal de la chaîne parlementaire LCP-Assemblée nationale. " »l a fait un choix dont je ne sais pas où ça va le conduire, tout ça manque beaucoup de lisibilité ». « Considérer qu'aucune stratégie d'alliance n'est possible et bonne pour un mouvement politique, c'est aller tout droit vers l'isolement. Je crois que c'est le risque qu'il a pris », a déclaré le député qui s'est rallié à la candidature de Nicolas Sarkozy entre les deux tours du scrutin présidentiel. « Je n'ai pas de mot sévère à l'égard de François Bayrou, je n'en aurai pas », a poursuivi l'ancien porte-parole de l'UDF et du groupe centriste au Palais-Bourbon. « J'étais son compagnon de route, j'apprécie son intelligence mais je ne partage pas aujourd'hui son chemin et je crois que cela va le conduire à un grand isolement », a-t-il conclu.
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