Nicolas Sarkozy l'emporterait au second tour de l'élection présidentielle avec 52% des voix (-1) face à Ségolène Royal, créditée de 48% (+1) des intentions de vote, selon la 16e vague du baromètre électoral quotidien d'Ipsos/Dell pour SFR et Le Point. 17% (=) des personnes certaines d'aller voter n'ont pas exprimé d'intention de vote. Au premier tour, M. Sarkozy arrive en tête avec 29,5% (=) des intentions de vote. Ségolène Royal avec 25 % (+1) se situe devant François Bayrou 21% (-1). A la quatrième place arrive Jean-Marie Le Pen, crédité de 12,5 % (=) des intentions de vote. D'autre part, selon un sondage IFOP à paraître dimanche dans le JDD, Nicolas Sarkozy l'emporterait sur Ségolène Royal par 51,5% des voix contre 48,5%, si le second tour de la présidentielle avait lieu dimanche. Le premier tour a été testé sur les 11 candidats ayant affirmé avoir rassemblé les parrainages nécessaires pour concourir, ainsi que sur José Bové, qui demeure incertain. Le candidat de l'UMP recueillerait 26% des suffrages (-2), la candidate socialiste 24% (+1),François Bayrou (UDF) 22,5% (-0,5) et Jean-Marie Le Pen (FN) 14% (+1). A un second tour organisé dimanche prochain, Nicolas Sarkozy l'emporterait sur Ségolène Royal par 51,5% (-0,5) contre 48,5% (+0,5). 5% des personnes interrogées ne se sont pas prononcées. D'autre part, selon un sondage IFOP à paraître dimanche dans le JDD,Nicolas Sarkozy l'emporterait sur Ségolène Royal par 51,5% des voix contre 48,5%, si le second tour de la présidentielle avait lieu dimanche.
(Baromètre IPSOS actualisé chaque jour sauf les dimanches, jusqu'au 4 mai, avant-veille du second tour de l'élection présidentielle et réalisé par téléphone les 12, 13 et 14 mars auprès d'un échantillon national de 1.105 personnes, représentatif de la population inscrite sur les listes électorales / méthode des quotas / ± 3 points de marge d’erreur - Sondage IFOP réalisé par téléphone du 16 au 17 mars auprès d'un échantillon national représentatif de 911 personnes / méthode des quotas / ± 3 points de marge d’erreur).
Site politique sur le Centre et le Centrisme
dimanche 18 mars 2007
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 Simone Veil : « Le centre ce sont tous les centristes qui ont rejoint l’UMP »
Dans un entretien à l’hebdomadaire Marianne, Simone Veil a déclaré : "Le centre, ce n'est pas François Bayrou, c'est Pierre Méhaignerie et tous les centristes qui ont rejoint l'UMP". Dans une campane présidentielle, « on doit prendre position. On ne peut pas se défausser », souligne l'ancienne membre du Conseil constitutionnel.
Actualités du Centre. Etats-Unis Toujours en tête des sondages, Hillary Clinton dévoile son programme de couverture santé
Toujours en tête des sondages pour devenir la prochaine présidente des Etats-Unis, Hillary Clinton, la candidate « centriste » à l’investiture du Parti démocrate pour les élections présidentielles a présenté un plan de réforme radicale du système de soin américain. Ce plan a pour but de permettre à tous les Américains d'être couverts par une assurance maladie, une assistance fédérale les aidant à financer leurs frais médicaux. Treize ans après ses premiers efforts déployés dans ce but, mais abandonnés lors de la présidence de son mari Bill Clinton, la sénatrice de l'Etat de New York a qualifié son nouveau plan de nécessaire afin de résoudre la crise touchant les 47 millions de personnes non assurées aux Etats-Unis, sur une population totale de 300 millions d'Américains. « Je crois que toute personne - tout homme, femme et enfant- devrait avoir accès à un système médical de qualité et abordable aux Etats-Unis », a déclaré Hillary Clinton depuis l'Iowa. En cas d'élection à la Maison Blanche, Hillary Clinton s'engage à atteindre cet objectif au cours de son premier mandat. Elle estime le coût de cette réforme d'envergure à 110 milliards de dollars (79,27 milliards d'euros) par an. Son plan originel dans les années 90 représentait une initiative sans précédent pour une « First Lady ». Hillary Clinton a beaucoup appris de cette expérience qui était alors risquée. Ses assistants rapportent en effet qu'elle a abandonné la complexité de son dernier projet, en faveur d'un nouveau plan qui insiste sur la simplicité, sur le contrôle des dépenses et sur le choix du consommateur. La pièce maîtresse de son « American Health Choices Plan » est ce qu'elle appelle le « mandat individuel », demandant à tout le monde d'avoir une assurance maladie, tout comme la plupart des Etats américains exigent des automobilistes qu'ils s'assurent. Les candidats à l'investiture démocrate pour la présidentielle de 2008, dont John Edwards, sont tous d'accord sur la nécessité d'une couverture maladie universelle. De leur côté, les républicains estiment pour leur part que ce système restreindrait la liberté et le choix personnels. Les démocrates libéraux ont quant à eux exprimé leur préoccupation quant au poids financier que représenterait une telle initiative pour les ménages à faible revenu. Cette préoccupation est partagée par le candidat démocrate « centriste » Barack Obama (qui par ailleurs vient de présenter un plan de réduction d’impôts pour les 150 millions d’Américains des classes moyennes et peu aisées), qui estime que nul ne peut être contraint à acheter une assurance tant que le coût de la couverture n'est pas réduit de façon substantielle. Mais pour Hillary Clinton, le « mandat individuel » est la seule façon de permettre à tous d'accéder aux soins. Une composante-clef de son plan serait une subvention fédérale aidant les individus à financer cette couverture universelle.
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