Nicolas Sarkozy l'emporterait au second tour de l'élection présidentielle avec 53,5% des voix face à Ségolène Royal, créditée de 46,5% des intentions de vote, selon la 1ère vague du baromètre électoral quotidien d'Ipsos pour SFR et Le Point. Le candidat UMPenregistre un gain de 0,5 point par rapport à la précédente enquête Ipsos réalisée les 23 et 24 février, tandis que la candidate socialiste recule d'autant. 12% des personnes certaines d'aller voter n'ont pas exprimé d'intention de vote.
Au premier tour, M. Sarkozy arrive en tête, crédité de 32% des intentions de vote (+1 point). Mme Royal en recueille 25% (-1), tandis que François Bayrou arrive en troisième position à 18% (+0,5). Jean-Marie Le Pen recule de 0,5 point à 12,5%. 9% des personnes certaines d'aller voter n'ont pas exprimé d'intention de vote.
Ce sondage sera désormais actualisé chaque jour (excepté les dimanches), jusqu'au 4 mai, avant-veille du second tour de l'élection présidentielle.
(Sondage réalisé par téléphone les 26, 27 et 28 février auprès d'un échantillon national de 1.009 personnes, représentatif de la population inscrite sur les listes électorales / méthode des quotas / ± 3 points de marge d’erreur)
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jeudi 1 mars 2007
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 62 % des électeurs de François Bayrou pourraient changer d’avis
François Bayrou poursuit sa progression dans les sondages où il atteint jusqu'à 19% des intentions de vote au premier tour, réduisant l'écart qui le sépare de ses principaux rivaux, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy. Le candidat UDF, qui bataille inlassablement contre le clivage droite-gauche et promet de former un gouvernement d'union nationale s'il accède à l'Elysée, ne cesse de monter depuis janvier. De 6% en début d'année, il a atteint 17% dans quatre sondages publiés depuis une semaine et même 19%, son plus haut niveau.
Progressivement, le candidat centriste réduit l'écart qui le sépare des deux premiers. Ainsi, pour l'Ifop, il n'est plus qu'à 6,5 points de Ségolène Royal, comparé à 16 points d'écart mi-janvier. Une autre étude Ifop a montré qu'il talonne Mme Royal dans l'électorat enseignant, traditionnellement à gauche, avec 27% d'intentions de vote au premier tour contre 31% pour la candidate socialiste.
Les sondeurs relativisent cependant ces résultats en soulignant la fragilité de son électorat. « C'est chez les électeurs de François Bayrou que la part des indécis est la plus élevée: 62% pourraient choisir un autre candidat », relève Frédéric Dabi, directeur du département opinion publique de l'Ifop.
Selon M. Dabi, l'électorat de M. Bayrou reste majoritairement à droite, même si la part de l'électorat de gauche a tendance à s'accroître. Et pourtant, « son électorat se reporte majoritairement sur Ségolène Royal au second tour ». Selon un sondage LH2 publié lundi, 62% des électeurs de M. Bayrou voteraient Royal au second tour. Ce qui accrédite l'idée que le candidat UDF attire aussi bien au premier tour la droite anti-sarkozyste que les déçus de la campagne de Ségolène Royal.
« Il a gagné successivement sur des déçus de la gauche puis des gens qui étaient un peu déçus par les orientations excessivement libérales à leur goût de Nicolas Sarkozy », commentait lundi Roland Cayrol, directeur de CSA.
Progressivement, le candidat centriste réduit l'écart qui le sépare des deux premiers. Ainsi, pour l'Ifop, il n'est plus qu'à 6,5 points de Ségolène Royal, comparé à 16 points d'écart mi-janvier. Une autre étude Ifop a montré qu'il talonne Mme Royal dans l'électorat enseignant, traditionnellement à gauche, avec 27% d'intentions de vote au premier tour contre 31% pour la candidate socialiste.
Les sondeurs relativisent cependant ces résultats en soulignant la fragilité de son électorat. « C'est chez les électeurs de François Bayrou que la part des indécis est la plus élevée: 62% pourraient choisir un autre candidat », relève Frédéric Dabi, directeur du département opinion publique de l'Ifop.
Selon M. Dabi, l'électorat de M. Bayrou reste majoritairement à droite, même si la part de l'électorat de gauche a tendance à s'accroître. Et pourtant, « son électorat se reporte majoritairement sur Ségolène Royal au second tour ». Selon un sondage LH2 publié lundi, 62% des électeurs de M. Bayrou voteraient Royal au second tour. Ce qui accrédite l'idée que le candidat UDF attire aussi bien au premier tour la droite anti-sarkozyste que les déçus de la campagne de Ségolène Royal.
« Il a gagné successivement sur des déçus de la gauche puis des gens qui étaient un peu déçus par les orientations excessivement libérales à leur goût de Nicolas Sarkozy », commentait lundi Roland Cayrol, directeur de CSA.
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 Sondage CSA : Bayrou à 17 %
Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy recueillent chacun 29% des intentions de vote au premier tour de l'élection présidentielle, devançant François Bayrou à 17%, selon un sondage CSA pour Le Parisien et i-Télé. D'après cette étude, réalisée le 28 février auprès de 871 personnes, la candidate du PS est stable par rapport à un sondage effectué le 20 février, le candidat de l'UMP gagne un point et celui de l'UDF est stable. Au deuxième tour, Nicolas Sarkozy gagne un point à 52% contre 48% pour Ségolène Royal (-1 point). Jean-Marie Le Pen est stable au premier tour à 14%, devant Marie-George Buffet à 2,5% (+0,5), Olivier Besancenot à 2% (-0,5), José Bové à 2% (stable), Dominique Voynet à 1% (stable), Arlette Laguiller à 1% (stable) et Philippe de Villiers à 1% (-1).Au premier tour, 25% des personnes interrogées déclarent qu'elle voteront blanc, nul ou s'abstiendront. Elles sont 27% à vouloir le faire au second tour.
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 L’électorat potentiel de François Bayrou plus intéressé par la campagne présidentielle
La fixation du choix des électeurs pour la présidentielle, ou « cristallisation », est déjà très avancée à moins de deux mois du premier tour le 22 avril, selon un sondage BVA pour Orange. 55% des personnes interrogées par BVA affirment savoir pour qui elles vont voter et être sûres de ne pas changer d'avis (61% chez les sympathisants de droite et 52% chez ceux de gauche). 25% disent savoir pour qui elles vont voter, mais qu'elles peuvent encore changer d'avis (28% à gauche et 25% à droite). 10% déclarent hésiter entre plusieurs candidats et 9% ne pas savoir du tout pour qui elles vont voter.
L'intérêt pour la campagne est élevé, « plus qu'en 2002 », et va « de manière croissante au fil des semaines », note Jérôme Sainte-Marie, directeur de BVA Opinion. 28% des sondés se disent très intéressés par la campagne et 44% plutôt intéressés. A l'inverse, 19% se déclarent pas vraiment intéressés et 9% pas du tout intéressés, soit 28%.
Ces résultats varient fortement en fonction de la position sociale: 90% des cadres supérieurs se disent intéressés, mais seulement 58% des ouvriers et 68% des employés. Les jeunes se distinguent: 75% des 18-34 ans se disent intéressés. Une écrasante majorité (77%) des personnes interrogées considèrent que la manière dont se déroule la campagne les incite plutôt à aller voter. La moitié des Français affirment parler souvent de la campagne. Ceux qui disent n'en parler jamais ne sont que 17%.
(Sondage réalisé par téléphone les 26 et 27 février auprès de 954 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus / méthode des quotas / ± 3 points de marge d’erreur)
L'intérêt pour la campagne est élevé, « plus qu'en 2002 », et va « de manière croissante au fil des semaines », note Jérôme Sainte-Marie, directeur de BVA Opinion. 28% des sondés se disent très intéressés par la campagne et 44% plutôt intéressés. A l'inverse, 19% se déclarent pas vraiment intéressés et 9% pas du tout intéressés, soit 28%.
Ces résultats varient fortement en fonction de la position sociale: 90% des cadres supérieurs se disent intéressés, mais seulement 58% des ouvriers et 68% des employés. Les jeunes se distinguent: 75% des 18-34 ans se disent intéressés. Une écrasante majorité (77%) des personnes interrogées considèrent que la manière dont se déroule la campagne les incite plutôt à aller voter. La moitié des Français affirment parler souvent de la campagne. Ceux qui disent n'en parler jamais ne sont que 17%.
(Sondage réalisé par téléphone les 26 et 27 février auprès de 954 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus / méthode des quotas / ± 3 points de marge d’erreur)
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