Le sénateur de New York, Charles Schumer et quatre nouveaux élus démocrates au Sénat viennent de proposer une législation fiscale pour aider la classe moyenne qu’ils estiment avoir été sacrifiée par le précédent Congrès et le président George W. Bush. Parmi les mesures proposés figurent des exonérations fiscales pour les étudiants, pour les familles qui doivent s’occuper d’un de leurs parents âgés, pour les familles avec de jeunes enfants ainsi qu’un doublement de l’exonération des dépenses de soins pour les enfants.
Selon Anne Kim, directrice à Third Way du programme pour la classe moyenne, « Cette importante législation fiscale va permettre aux familles de pouvoir choisir leur mode de vie. Elles sont destinées avant tout à la classe moyenne qui a été ignorée par la plupart des programmes du gouvernement et qui n’a pratiquement aucune aide dans le code des impôts ». Si elle reconnaît que ces mesures devraient coûter de l’argent, elle note qu’il y a plein d’avantages fiscaux sur lesquels on peut revenir pour les financer. « Si vous croyez que la classe moyenne est le moteur de notre économie, conclue-t-elle, alors ces exonérations doivent être tout en haut de la liste des priorités. »
Site politique sur le Centre et le Centrisme
vendredi 16 février 2007
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 - Romano Prodi : « La Gauche française et le Centre peuvent faire beaucoup ensemble »
Le président (centre-gauche) du Conseil italien, Romano Prodi fait l'éloge dans Le Parisien de François Bayrou, dont il vante le courage, la simplicité et l'engagement européen. Il apprécie particulièrement « le courage avec lequel il mène son combat politique. Il possède aussi cette simplicité typique de la province ». « Il a une idée très positive de l'Europe, une Europe des citoyens et non pas technocratique. Nous sommes tous deux convaincus que notre avenir commun sera européen ou ne sera pas », ajoute l'ancien président de la Commission européenne.
Interrogé sur la proposition de François Bayrou de créer en France un gouvernement d'union nationale, comme il en existe actuellement, sous des formes différentes, en Italie et en Allemagne, Romano Prodi répond : « Je ne veux pas rentrer dans le débat présidentiel français, ni tenter de l'influencer (...) Selon moi, la gauche française et le centre peuvent faire beaucoup ensemble ».
Interrogé sur la proposition de François Bayrou de créer en France un gouvernement d'union nationale, comme il en existe actuellement, sous des formes différentes, en Italie et en Allemagne, Romano Prodi répond : « Je ne veux pas rentrer dans le débat présidentiel français, ni tenter de l'influencer (...) Selon moi, la gauche française et le centre peuvent faire beaucoup ensemble ».
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 - 74 % des Français approuvent François Bayrou de dénoncer « la foire aux promesses »
Près des trois-quarts des Français (74%) estiment que François Bayrou est le plus crédible des candidats à la présidentielle quand il dénonce « la foire aux promesses », selon un sondage OpinionWay pour LCI et Le Figaro. Le candidat centriste conteste depuis le début de la campagne « la foire aux promesses » et la distribution « comme si c'était Noël, à chaque catégorie, des promesses de chèques, des promesses de subventions, des promesses de virements ». « Je ne peux pas supporter l'incroyable gabegie des promesses dans laquelle on est parti », a-t-il indiqué jeudi soir sur France 2, en faisant référence à Ségolène Royal est Nicolas Sarkozy.
François Bayrou est aussi le candidat qui, d'après 30% les personnes sondées, a le plus marqué de points au cours de la semaine écoulée.
(Sondage réalisé en ligne auprès d'un échantillon national représentatif de 1.046 personnes âgées de 18 ans et plus / méthode des quotas)
François Bayrou est aussi le candidat qui, d'après 30% les personnes sondées, a le plus marqué de points au cours de la semaine écoulée.
(Sondage réalisé en ligne auprès d'un échantillon national représentatif de 1.046 personnes âgées de 18 ans et plus / méthode des quotas)
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 - Selon François Bayrou, son programme coûtera 20 milliards d’euros
Invité jeudi soir de l'émission « A vous de juger » sur France 2, François Bayrou a chiffré son programme présidentiel à « 20 milliards à peu près », un coût « entièrement équilibré par des économies »; selon le candidat UDF à la prochaine élection présidentielle. On attend dans les prochaines semaines le détail de son programme et son chiffrage.
Le candidat UDF à la présidentielle a précisé que le député de la Marne Charles de Courson, spécialiste des questions économiques à l'UDF, présenterait à la presse "dans les premiers jours de mars l'intégralité du financement et du coût de ce programme".
François Bayrou doit exposer son programme dans un livre à paraître fin février ou début mars chez Plon. Il a précisé que sa proposition de permettre à toutes les entreprises de créer deux emplois sans charges (sauf 10% pour les retraites) coûterait « 6 milliards d'euros ».
A ce propos, il se dit persuadé « qu'on peut créer plusieurs centaines de milliers d'emplois » en France par ce biais, en précisant que « les deux tiers des entreprises françaises n'ont pas de salariés du tout ». Il a chiffré leur nombre à 1,5 million.
Par ailleurs, il a estimé « qu'il faut que l'on inscrive dans la constitution l'interdiction de présenter un budget en déficit de fonctionnement, de manière que tout budget présenté en déficit de fonctionnement soit illégal, c'est-à-dire les dépenses courantes de l'Etat qu'on emprunte pour financer les dépenses courantes ». « Il faut l'interdire, et pour cela, il faut inscrire cette règle dans la constitution », a-t-il précisé.
Le candidat UDF à la présidentielle a précisé que le député de la Marne Charles de Courson, spécialiste des questions économiques à l'UDF, présenterait à la presse "dans les premiers jours de mars l'intégralité du financement et du coût de ce programme".
François Bayrou doit exposer son programme dans un livre à paraître fin février ou début mars chez Plon. Il a précisé que sa proposition de permettre à toutes les entreprises de créer deux emplois sans charges (sauf 10% pour les retraites) coûterait « 6 milliards d'euros ».
A ce propos, il se dit persuadé « qu'on peut créer plusieurs centaines de milliers d'emplois » en France par ce biais, en précisant que « les deux tiers des entreprises françaises n'ont pas de salariés du tout ». Il a chiffré leur nombre à 1,5 million.
Par ailleurs, il a estimé « qu'il faut que l'on inscrive dans la constitution l'interdiction de présenter un budget en déficit de fonctionnement, de manière que tout budget présenté en déficit de fonctionnement soit illégal, c'est-à-dire les dépenses courantes de l'Etat qu'on emprunte pour financer les dépenses courantes ». « Il faut l'interdire, et pour cela, il faut inscrire cette règle dans la constitution », a-t-il précisé.
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