Selon le baromètre TNS-Sofres sur la confiance des Français dans les médias du quotidien La Croix, 51 % des Français trouvent que les médias accordent la place qu’il mérite à François Bayrou contre 35 % qui estiment qu’il est sous-représenté et 8 % qu’il occupe une place trop importante.
Par ailleurs, une majorité de Français estime que les médias accordent une place trop importante aux candidats Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal.
Parmi les candidats à la présidentielle, c'est Nicolas Sarkozy qui est jugé le plus surmédiatisé aux yeux des sondés: 58% jugent que les médias lui accordent une place trop importante, contre 35% qui la trouvent conforme à ce qu'il représente dans la société française, et seulement 5% qui la considèrent pas assez importante. La marge d'erreur est de plus ou moins trois points de pourcentage.
Le candidat UMP est suivi par la candidate PS Ségolène Royal (50% trop importante, 40% conforme et 8% pas assez importante), José Bové (30% trop importante, 43% conforme, 21% pas assez importante) et Jean-Marie Le Pen (28% trop importante, 49% conforme, 20% pas assez importante).
En outre, en cette période de campagne électorale, 63% des sondés (contre 30%) pensent par ailleurs que les journalistes ne sont pas indépendants face aux pressions des partis politiques et du pouvoir et 60% (contre 29%) qu'ils ne résistent pas aux pressions de l'argent.
(Sondage réalisé en face à face au domicile les 7 et 8 février auprès d'un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas / marge d’erreur ± 3 %).
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mardi 13 février 2007
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 - Sondage Ipsos : Bayrou à 14 % / Sondage LH2 : Bayrou à 13 %
Selon un sondage Ispos, au premier tour, Nicolas Sarkozy est crédité de 33,5% d'intentions de vote (+ 2,5 points par rapport au 25-26 janvier), contre 26% à Ségolène Royal (- 1,5 point). Le candidat de l'UDF François Bayrou arrive en troisième position (14%, + 3 points), devançant celui du Front National Jean-Marie le Pen (10%, - 3 points).
Viennent ensuite Olivier Besancenot (LCR) et José Bové (3%), Arlette Laguiller (Lutte ouvrière, 2,5%), Marie-George Buffet (PCF, 2%) et Dominique Voynet (Verts, 2%), Philippe de Villiers (MPF, 1,5%), Corinne Lepage (Cap 21, 1%) et Nicolas Dupnt-Aignant (Debout la République 1%), et enfin Gérard Schivardi (0,5%).Au second tour de l'élection présidentielle, le candidat de l'UMP Nicolas Sarkozy l'emporterait sur Ségolène Royal avec 54% des voix contre 46% pour sa rivale socialiste, selon un sondage Ifop pour "Paris-Match" rendu public lundi. Le président de l'UMP gagne deux points par rapport à l'enquête précédente (25-26 janvier) alors que la candidate du PS en perd autant.
(Sondage réalisé par téléphone et au domicile des sondés le 12 février auprès d'un échantillon de 879 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et inscrite sur les listes électorales / La marge d'erreur est d'environ plus ou moins trois points de pourcentage.)
Selon un sondage LH2, Nicolas Sarkozy est crédité de 31% d'intentions de vote au premier tour (- 2 points par rapport au 2-3 février) et Ségolène Royal de 27% (stable). Le candidat UDF François Bayrou est stable, à 13% d'intentions de vote. Il est talonné par le président du Front national Jean-Marie Le Pen (12%, +3 points). Olivier Besancenot (LCR), Arlette Laguiller (LO) et Marie-George Buffet (PCF) sont crédités de 3% d'intentions de vote, Philippe de Villiers (MPF) de 2,5%, José Bové et Dominique Voynet (Verts) de 2%, Corinne Lepage (Cap 21) de 1%.
Au second tour de la présidentielle, Nicolas Sarkozy l'emporterait avec 53% des voix contre 47% pour Ségolène Royal, selon un sondage pour RMC, BFM-TV et "20 minutes" réalisé par LH2 rendu public lundi.Pour autant, 58% des personnes interrogées disent pouvoir encore changer d'avis.
(Sondage réalisé par téléphone les 9 et 10 février auprès d'un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas / marge d’erreur ± 3 %.)
Viennent ensuite Olivier Besancenot (LCR) et José Bové (3%), Arlette Laguiller (Lutte ouvrière, 2,5%), Marie-George Buffet (PCF, 2%) et Dominique Voynet (Verts, 2%), Philippe de Villiers (MPF, 1,5%), Corinne Lepage (Cap 21, 1%) et Nicolas Dupnt-Aignant (Debout la République 1%), et enfin Gérard Schivardi (0,5%).Au second tour de l'élection présidentielle, le candidat de l'UMP Nicolas Sarkozy l'emporterait sur Ségolène Royal avec 54% des voix contre 46% pour sa rivale socialiste, selon un sondage Ifop pour "Paris-Match" rendu public lundi. Le président de l'UMP gagne deux points par rapport à l'enquête précédente (25-26 janvier) alors que la candidate du PS en perd autant.
(Sondage réalisé par téléphone et au domicile des sondés le 12 février auprès d'un échantillon de 879 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et inscrite sur les listes électorales / La marge d'erreur est d'environ plus ou moins trois points de pourcentage.)
Selon un sondage LH2, Nicolas Sarkozy est crédité de 31% d'intentions de vote au premier tour (- 2 points par rapport au 2-3 février) et Ségolène Royal de 27% (stable). Le candidat UDF François Bayrou est stable, à 13% d'intentions de vote. Il est talonné par le président du Front national Jean-Marie Le Pen (12%, +3 points). Olivier Besancenot (LCR), Arlette Laguiller (LO) et Marie-George Buffet (PCF) sont crédités de 3% d'intentions de vote, Philippe de Villiers (MPF) de 2,5%, José Bové et Dominique Voynet (Verts) de 2%, Corinne Lepage (Cap 21) de 1%.
Au second tour de la présidentielle, Nicolas Sarkozy l'emporterait avec 53% des voix contre 47% pour Ségolène Royal, selon un sondage pour RMC, BFM-TV et "20 minutes" réalisé par LH2 rendu public lundi.Pour autant, 58% des personnes interrogées disent pouvoir encore changer d'avis.
(Sondage réalisé par téléphone les 9 et 10 février auprès d'un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas / marge d’erreur ± 3 %.)
Actualités du Centre. Présidentielles 2007 - François Bayrou pour une nouvelle constitution européenne
François Bayrou s'est prononcé lundi à Strasbourg en faveur d'un nouveau référendum sur un nouveau traité constitutionnel de l'Union européenne après une phase de « clarification » sur le contenu du texte.
« Pour moi, lorsque cette question sera posée, il est hors de question qu'elle soit traitée en dehors du référendum des citoyens », a déclaré le candidat de l'UDF à l'élection présidentielle lors d'une conférence de presse au Parlement européen. « Je m'opposerai à ce qu'une ratification parlementaire élude la réponse extrêmement forte que les citoyens français ont énoncée en mai 2005 », a ajouté le candidat centriste en faisant allusion au rejet français par référendum du projet de Constitution européenne il y a près de deux ans.
Le nouveau référendum pourrait, selon lui, se tenir en 2009, au moment des élections européennes, après une phase de clarification, suivie d'une conférence intergouvernementale chargée d'arrêter les termes du nouveau traité. « Il faut un texte bref, dense, significatif, pas mini mais solide, lisible par tout le monde », a-t-il précisé.
Lors d’un meeting à Strasbourg le même jour, François Bayrou a opposé ceux qui veulent « l'Europe pour en faire un grand marché » et ceux qui veulent « l'union de l'Europe pour changer le monde et défendre notre modèle de société européen, nos valeurs d'efficacité et de solidarité, notre modèle social et culturel ».
« Ma conviction est que ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est d'une Europe pour changer le monde », a-t-il dit sans exclure une Europe formée de deux cercles concentriques ou « une fédération dans une confédération », selon les termes de François Mitterrand, qu'il a cité. François Bayrou a proposé « sept grands chantiers » qui doivent être au coeur du premier cercle, c’est-à-dire « l'Europe politique » : politique économique, diplomatie, défense, politique environnementale, politique énergétique, immigration et codéveloppement ainsi que recherche.
« Pour moi, lorsque cette question sera posée, il est hors de question qu'elle soit traitée en dehors du référendum des citoyens », a déclaré le candidat de l'UDF à l'élection présidentielle lors d'une conférence de presse au Parlement européen. « Je m'opposerai à ce qu'une ratification parlementaire élude la réponse extrêmement forte que les citoyens français ont énoncée en mai 2005 », a ajouté le candidat centriste en faisant allusion au rejet français par référendum du projet de Constitution européenne il y a près de deux ans.
Le nouveau référendum pourrait, selon lui, se tenir en 2009, au moment des élections européennes, après une phase de clarification, suivie d'une conférence intergouvernementale chargée d'arrêter les termes du nouveau traité. « Il faut un texte bref, dense, significatif, pas mini mais solide, lisible par tout le monde », a-t-il précisé.
Lors d’un meeting à Strasbourg le même jour, François Bayrou a opposé ceux qui veulent « l'Europe pour en faire un grand marché » et ceux qui veulent « l'union de l'Europe pour changer le monde et défendre notre modèle de société européen, nos valeurs d'efficacité et de solidarité, notre modèle social et culturel ».
« Ma conviction est que ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est d'une Europe pour changer le monde », a-t-il dit sans exclure une Europe formée de deux cercles concentriques ou « une fédération dans une confédération », selon les termes de François Mitterrand, qu'il a cité. François Bayrou a proposé « sept grands chantiers » qui doivent être au coeur du premier cercle, c’est-à-dire « l'Europe politique » : politique économique, diplomatie, défense, politique environnementale, politique énergétique, immigration et codéveloppement ainsi que recherche.
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